Face à la chute quasi constante de son titre en bourse, Facebook cherche à rassurer les investisseurs par tous les moyens. Un porte-parole du réseau social a estimé que ces décisions devraient réduire d'environ 101 millions le nombre d'actions en circulation par le biais de ces deux décisions.
Les impôts qui devaient être financés par l'arrivée sur le marché de nouveaux titres seront finalement payés en puisant dans la trésorerie de l'entreprise, et en ayant recours « aux lignes de crédits disponibles » a expliqué Facebook. De son côté, Mark Zuckerberg a annoncé qu'il ne vendrait pas d'actions durant une période minimum d'un an, et que les administrateurs Marc Andreessen et Donald Graham vendront une partie de leurs actions pour payer leurs dettes au fisc. Enfin, la levée de lock-up prévue pour le 14 novembre pour les employés de Facebook a été avancée au 29 octobre, ce qui signifie que ces derniers pourront commencer à vendre leurs parts plus tôt.
Des nouvelles qui ont un peu redynamisé le titre, qui gagnait mardi 1,8 dans les transactions hors-séance après les annonces, pour atteindre 18,05 dollars. Peu de temps avant, l'action était passée sous la barre symbolique des 18 dollars pour atteindre 17,7 dollars.