Parmi les sociétés incriminées, nous retrouvons Skootle proposant l'outil TweetAdder. Ce dernier est décrit comme un logiciel de marketing permettant d'envoyer des messages réguliers à des membres en fonction de leurs activités. Concrètement, le spammeur était en mesure d'effectuer une recherche par mot-clé ou par position géographique et de programmer l'envoi de tweets ou de messages directs.
Le magazine ComputerWorld, qui rapporte l'affaire, explique que Twitter vient de gagner une bataille et l'application TweetAdder ne permet plus de publier de messages sur le réseau, ni d'entrer en communication avec un internaute. En faisant fermer ces outils indispensables pour organiser des campagnes de spam, Twitter espère donc sécuriser davantage son service.