Sur son blog, Jean-Luc Roméro livre quelques exemples des attaques formulées à son encontre : « on peut aussi rêver d'une lapidation de l'immonde Romero en place publique en Iran... Juste écœuré de voir cette saloperie de @JeanLucRomero vivre sa vie honteuse de sodomite avec mon pognon et ne rien produire. Un grand homme ce @JeanLucRomero ? Non, une sangsue, un parasite ! Une grosse merdre ! Une pourriture qui mériterait d'être pendue. @JeanLucRomero Et les « cathos friendly » te pissent dessus. Pour ma part j'aimerais t'euthanasier au 9 mm ».
Le responsable se dit ainsi victime « des homophobes de tous horizons » et interpelle également la société Twitter. Il lui demande de « lutter contre ces dérives qui ne relèvent en rien de la liberté d'expression même au sens le plus libéral du terme - à moins que les insultes et les appels au meurtre en fassent partie ? ».
Pour l'instant, Twitter France a réagi en précisant que des outils permettaient à chacun de bloquer les comptes de personnes trop véhémentes ou même de « signaler tout comportement inapproprié ». Une attitude attentiste mais le service pourrait devoir changer son fusil d'épaule si les propos sont reconnus comme étant manifestement illicites.