Parker aurait accédé à des informations pour le compte de scientifiques spécialisés dans l'étude des données océaniques. Ces informations appartenant à la Nasa transitaient depuis les satellites vers les services américains. Le hacker indique qu'il aurait même reçu des paiements de certains membres de la communauté scientifique en vue de la fourniture de ces informations.
Le texan risque 10 ans de prison si la charge de hacking est retenue contre lui, comme le précise The Register. Une sentence qui pourrait s'alourdir si le juge prend en compte également l'introduction illégale dans les serveurs d'une société de e-commerce.
Ce cas rappelle sans conteste celui de Gary McKinnon. Le hacker risque jusqu'à 70 ans de prison dans les geôles de l'Oncle Sam pour s'être introduit dans les serveurs de la Nasa. Même si son cas est un entrelacs judiciaire, celui qui expliquait pour sa défense vouloir rechercher des preuves de vie extraterrestres risque toujours l'extradition du Royaume-Uni vers les Etats-Unis. Sur le cas McKinnon, Flock résumait plutôt bien la situation...