MegaChat lancé en bêta, refonte et nouveau nom de domaine pour Mega

Romain Heuillard
Publié le 22 janvier 2015 à 15h59
Comme il l'avait indiqué en toute fin d'année 2014, Kim Dotcom a annoncé la disponibilité d'une version inachevée de MegaChat, accompagnée d'un nouveau client Web et d'un nouveau nom de domaine pour Mega.

Contrairement à ce qui était prévu en revanche, la nouvelle alternative sécurisée de Skype n'a pas été ouverte qu'à une sélection d'invités. Le service de communications est finalement accessible à tous, mais en contrepartie, le lancement intervient pas à pas. Pour la première étape, qui a démarré aujourd'hui, seuls les appels audio et vidéo sont disponibles. La messagerie texte et le partage d'écran « suivront bientôt », précise Kim Dotcom dans un tweet.

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On peut néanmoins découvrir l'essentiel de l'interface. Pour commencer, MegaChat est en fait intégré au client Web de Mega, le service de stockage en ligne, et plus précisément à la future nouvelle version. Un onglet Conversations a fait son apparition, sous les onglets Drive, Shared et Contacts existants, et c'est depuis ce dernier qu'on prend connaissance de la présence d'amis et qu'on démarre une communication.

Sur le plan fonctionnel, MegaChat est un service de communication banal : c'est avec le chiffrement de bout-en-bout au travers d'un navigateur Internet, qu'il se distingue.

Mega a donc lancé conjointement la bêta du nouveau client Web, qui ne semble apporter qu'une modeste refonte esthétique. Elle est dès à présent accessible à tous, par le biais du futur nouveau nom de domaine du service : mega.nz (au lieu de mega.co.nz).

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Romain Heuillard
Par Romain Heuillard

C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.

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