Le Leica V-Lux 20 hérite ainsi de la quasi totalité de la fiche technique de son modèle. On retrouve notamment le puissant zoom stabilisé 12 fois équivalent à un 25-300 mm, le capteur multi ratio de 14,5 millions de pixels, capable de photographier au ratio traditionnel 3:2, et de filmer en haute définition 720p, ou encore le récepteur GPS associé à un demi-million de points d'intérêts qui complètent les informations de géolocalisation brutes (latitude, longitude et altitude) d'intitulés en toutes lettres (Taj Mahal par exemple).
Le clone de Leica ne se distingue en fait de l'original que par deux aspects, aux implications diamétralement opposées. L'un est on ne peut plus extériorisé et n'affecte en aucun cas le rendu photographique, c'est son esthétique, plus sombre et plus sobre. L'autre à l'inverse est on ne peut plus intériorisé, bien qu'il soit l'un des protagonistes du rendu photographique, c'est la puce de traitement.
Leica dispose effectivement de sa propre puce, dont les spécificités ne sont pas connues, la Venus Engine HD II restant réservée à Panasonic. On sait en revanche que, contrairement à cette dernière, la puce de Leica ne prend pas en charge l'encodage vidéo AVCHD Lite (H.264), plus efficace que le Motion JPEG dont elle se contente.
Pour autant, le macaron se paie au prix fort puisque le bien né Leica V-Lux 20 est proposé au prix public de 550 euros, soit 150 euros de plus que son jumeau.