Un peu plus d'un an après leur annonce, les nouveaux E-PL et E-PM passent ainsi du vieillissant capteur Live MOS de 12 millions de pixels au format 4/3 au dernier né de 16 millions de pixels. Toujours associé à la puce de traitement TruePic VI, il culmine désormais à 25600 ISO (contre 12800), et porte la cadence de prise de vue à 8 i/s (contre 3).
Comme avec le XZ-2, l'essentiel des retouches sont d'ordre ergonomique. Leurs écrans LCD de 3 pouces affichant une définition HVGA (480 x 320 pixels soit 460 800 pixels) passent ainsi au tactile. Sur l'« E-PL5 », le plus avancé des deux, cet écran est orientable sur l'axe vertical, jusqu'à près de 180° vers le haut, ce qui permet de cadrer des autoportraits. Les deux appareils accueillent également une poignée, amovible sur l'« E-PL5 ».
L'« E-PM2 », hybride le plus abordable du fabricant, tant sur le plan économique qu'ergonomique, se distingue toujours de l'« E-PL5 » par l'absence de plusieurs boutons physiques et du barillet de sélection de mode.
Les « Olympus PEN E-PL5 » et « E-PM2 » seront mis en vente au mois de novembre, pour respectivement 700 et 600 euros. Ils seront tous deux accompagnés du zoom 14-42 mm f/3,5-5,6 existant, mais aussi d'une carte mémoire Wi-Fi Toshiba FlashAir de 8 Go.