La justice du Texas vient de rendre sa décision et fait droit aux arguments de Zynga. Elle considère que l'éditeur n'a violé aucun brevet. Pourtant, PMC estimait que son opposant utilisait sans autorisation un moyen de « contrôler les signaux inclus dans certains contenus afin de générer des préconisations pertinentes pour le consommateur ».
Ces brevets étaient donc, selon la société, utilisés pour contrôler l'accès à des contenus spécifiques, personnaliser les contenus en fonction des compétences et préférences du joueur, renforcer la gestion des téléchargements ou bien encore apporter un ciblage publicitaire. Autant d'éléments importants pour le fonctionnement des services de Zynga.
De son côté, Zynga se dit satisfait de la décision judiciaire rappelant que ces droits ne peuvent pas, en l'état, s'appliquer aux jeux sociaux. Il précise également qu'il se défendra contre toute attaque portant sur l'utilisation présumée frauduleuse de brevets.