Suite à plusieurs plaintes et après avoir mené une enquête, la commission avait estimé que le site affichait des informations pour lesquelles les utilisateurs n'avaient pas donné de consentement. Elle demandait alors que la société se conforme aux règles relatives à la protection des données.
Si PagesJaunes a expliqué avoir suspendu le service, le temps de faire le nécessaire, il a toujours dit qu'il contesterait l'avertissement de la Cnil. Selon L'Express, cette stratégie ne porte visiblement pas ses fruits puisque le Conseil d'Etat vient une nouvelle fois de rejeter cette demande.
L'avertissement ne sera donc pas annulé, l'argument selon lequel ces éléments provenaient de profils publics accessibles à tous n'a pas été retenu. Malgré ce revers, SoLocal précise avoir mis un terme à ce type de pratiques.