Le choix de l'Australie n'est pas anodin. Le pays est vaste et se prête facilement au transport par les airs et sa réglementation autorise ce type d'expérimentation. Google a donc les mains plus libres qu'aux Etats-Unis ou qu'en France, pays dans lesquels l'utilisation d'engins volants reste strictement encadrée.
C'est pourquoi Google admet également mener des tests aux Etats-Unis, mais de manière plus réduite. La livraison à domicile est donc encore lointaine, le groupe se contentant pour le moment de tests pour des besoins spécifiques.
Google n'est pas le seul à tester ce moyen de livraison. Amazon a déjà présenté son concept baptisé Prime Air, le groupe a même annoncé qu'il essaierait de livrer des objets en Inde. De son côté, le groupe Disney a récemment déposé plusieurs brevets afin de d'utiliser ce type d'appareils dans ses parcs d'attraction.
Pour en savoir plus
