La représentation nationale a donc adopté le texte par 305 voix contre 187 (8 abstentions). La majorité politique a soutenu le texte, l'adoption était donc logique. Même le Sénat avait déjà donné son aval.
Pour rappel, les principales dispositions du texte se trouvent dans l'article 4 de la loi qui énonce qu'un site considéré comme pédopornographique peut être bloqué sans même l'intervention d'un juge. De même, l'article 2 de la Loppsi met en place un délit d'usurpation d'identité en ligne. Chaque contrevenant est désormais passible de 2 ans de prison et de 20 000 euros d'amende.