Le Brick est ouvertement inspiré du Motorola DynaTAC, l'un des sinon le premier téléphone GSM de l'histoire. S'il est relativement léger (206 g), il est presque aussi encombrant que ce dernier et ne logera dans aucune poche, surtout avec son antenne proéminente.
Essentiellement artificiel, cet encombrement lui permet néanmoins de remplir certaines fonctions intéressantes. Outre la fonction téléphone, il fait également office de combiné mais aussi et surtout de haut-parleur Bluetooth, pour écouter de la musique. À défaut de capteur photo, il dispose en outre d'une LED plus puissante qu'en temps normal, pour s'éclairer dans le noir.
S'il ne se contente pas d'un afficheur monochrome à 8 chiffres, il s'en tient néanmoins à un petit écran couleur de 1,8 pouces affichant 160 x 128 pixels, et à une interface élémentaire. Entre autres « applications », il embarque une adaptation du fameux jeu vidéo Snake.
Last but not least, le Brick est décliné en version Power, un modèle disposant d'une batterie lui conférant une autonomie... de 3 mois en veille et d'une quarantaine d'heures en communication. Cette nouvelle version est vendue 100 euros, par un distributeur belge livrant dans toute l'Europe notamment, contre 70 euros pour le modèle standard 3 fois moins autonome.