Sur son blog, l'éditeur NetQin affirme que ces malwares étaient intégrés à des mini-jeux. Ils se seraient par la suite développés via e-mail et SMS à tous les contacts de l'utilisateur. Des messages contenant des liens malveillants ensuite effacés de la machine infectée après envoi. Une technique qui serait, à première vue, relativement efficace puisque 100.000 smartphones auraient ainsi été touchés, d'où le terme de réseau botnet.
Il semble donc que les menaces sur mobiles commencent à prendre forme. Attendues par la plupart des éditeurs comme la prochaine source de malwares visant le grand public, elles restent pourtant encore méconnues. Enfin, la thématique de la sécurité des portables pourrait bien à l'avenir plutôt concerner la protection des données personnelles que la simple infection traditionnelle.