Les mobiles de seconde main seraient une véritable manne d'informations pour les revendeurs de téléphones portables. Selon Jason Hart, la moitié des produits étudiés contenaient encore des informations qualifiées de « sensibles ».
Grâce à un simple lecteur de carte SIM, quelques logiciels de récupération de données et de solides connaissances, 247 informations ont été recueillies. Au menu des découvertes du hacker, photographies, données bancaires, identifiants pour les réseaux sociaux, code PIN mais aussi des e-mails et autres documents écrits.
Comme le souligne Jason Hart dans les colonnes de The Register : « la manière la plus sécurisée de retirer toutes les données de son téléphone est encore de détruite physiquement la carte SIM et de vérifier plusieurs fois que toutes les données ont bien été retirées avant de s'en séparer ».
Un autre axe de réflexion serait aussi d'obliger les revendeurs à supprimer totalement toute information. A ce jour, aucune obligation légale n'existe en ce sens...