Les Emirats regrettent que cette méthode de gestion Data aille à l'encontre d'une loi portant sur la sécurité nationale de 2007. Selon l'agence de presse AP, citant le régulateur local, certaines applications BlackBerry permettraient une mauvaise utilisation du service et entraînerait de « graves répercussions sociales, judiciaires et de sécurité nationale ».
Ce n'est pas la première fois que le canadien RIM est contesté dans sa manière de traiter les données transitant sur ses smartphones. Cette fois c'est un Etat qui s'intéresse de près à la sécurité des portables présents sur son territoire. En France, même la Cnil avait lancé un avertissement auprès des utilisateurs.
De son côté, RIM n'a pas réagi à cette nouvelle prise de position. En matière de sécurité, le constructeur préfère se retrancher derrière sa politique de certifications régulières...