Un ingénieur australien a passé deux ans à concevoir une machine qui trie les LEGO. Sa particularité : elle est elle-même construite en LEGO et se sert d'une IA pour effectuer cette tâche, plus compliquée qu'il n'y paraît.
Jouets indémodables, les LEGO peuvent également sortir de la sphère ludique pour servir à des constructions plus laborieuses. Un passionné a ainsi modelé un cockpit d'AirBus A320 avec les petites briques, tandis qu'un adolescent s'est lui-même confectionné sa prothèse de bras. La machine que nous vous présentons aujourd'hui prouve elle aussi que les LEGO peuvent faire des merveilles.
Fabriquée avec 10 000 LEGO
En voyant le nombre incalculable de LEGO qu'il avait accumulés depuis son enfance, Daniel West a eu la brillante idée de fabriquer une machine afin de les trier. Pour y parvenir, il s'est notamment inspiré d'un dispositif construit en 2011 qui rangeait les briques en prenant compte leur forme et leur poids.Dans une vidéo publiée sur YouTube, l'ingénieur est revenu en détails sur la conception de sa machine : ses six moteurs et neuf servomoteurs sont également construits à partir des petites briques. On comprend aisément pourquoi sa conception a duré deux ans... Pour la voir en action, il suffit de déposer les jouets dans un bac, et elle se chargera du reste.
Son efficacité est impressionnante : la Universal LEGO Sorting Machine est capable de reconnaître tous les types de LEGO qui existent, et de les trier dans 18 catégories différentes en seulement deux secondes pour chaque brique, comme l'explique son concepteur. Mais comment y parvient-elle ?
Un système neuronal convolutif
Lorsque les briques ont été déposées dans la machine, cette dernière va les aligner une par une afin qu'elles puissent être filmées individuellement par une petite caméra. C'est à ce moment que le travail de l'IA entre en jeu. Mise au point grâce à une technique appelée « réseau neuronal convolutif », elle a été entraînée à reconnaître les briques en se basant sur des reconstitutions 3D de ces dernières. Après avoir déterminé de quelle sorte de LEGO il s'agit, la machine va l'acheminer dans l'un de ses 18 paniers de rangement.En plus des LEGO, Daniel West a également utilisé un ordinateur, un Raspberry Pi ainsi que des logiciels open-source tels que Blender et TenserFlow. Il a d'ailleurs expliqué comment il avait conçu son IA dans une vidéo passionnante.
Source : The Verge.
oui mais pourquoi faire ?
Bonjour
Toujours “conquête” ? Le mot conquête a un sens guerrier, militaire, politique. Il a eu son usage dans les années 60 à l’époque de la guerre froide, où envoyer des engins dans l’espace était une preuve de supériorité militaire et politique. Il n’a plus de sens aujourd’hui, où les différentes agences spatiales collaborent largement entre-elles, pour explorer l’espace, pas le conquérir.
Quand allez-vous revoir votre vocabulaire ?
A part ceci, le fond de l’article est vide …
Pas trop d’accord avec toi Badulesla. Le terme conquête désigne l’appropriation de lieu, de terre, prendre pied sur un nouveau lieu. Dans le Larousse ils parlent meme de découverte.
La conquête de l’Himalaya, la conquête de l’Ouest date du 18-19eme siècle, tu n’as jamais entendu ?
Quelle defaite ? Les USA ne sont jamais alles sur la lune.
clubic: a effacer, doublon à cause d’un bug de votre espace commentaire
Ah bon ? t’as des preuves de ça ?
Les USA non, juste quelques américains
Une calamité ce système de commentaire. Dire que ça leur a pris des mois pour le rendre dispo…
Dès la première phrase ça part sur une posture anti-Russe. On est pas dans un comics les gars.
Pas mal hé hé, bonne réponse !
C’est clair que cela en devient maladif cette propagande, surtout que de nos jours dans le domaine scientifique la coopération est plutôt bonne je trouve.
L’impression 3d est une excellent idée, le reste mouais avoir.
Surtout que le 1er homme à être allé dans l’espace n’est pas amerloque. Mais cela, bien des médias l’oublient.
Oui entre autres.
C’est clairement dommage que les journalistes entretiennent toujours de telles tensions inutiles.