Le collectif fait donc le choix d'adresser une lettre à Google lui intimant de retirer de son index une liste de sites proposant du téléchargement illégal. Une quarantaine de liens sont ainsi visés de type MegaUpload, 4shared.com, Zippyshare, et MediaFire.
De son côté, Google aurait obtempéré et les URL pointées seraient à, l'heure actuelle, inaccessibles. Il semble donc que cette technique (qui n'est pas nouvelle) soit une manière de cacher le problème puisque si certains liens sont supprimés, les fichiers existent toujours. Pourtant, selon les ayants-droit, cette pratique présenterait l'avantage de rendre indisponible des contenus depuis Google, principal « pourvoyeur » de l'information.