Devenu très rapidement un incontournable sur le marché des ordinateurs ultraportables, le MacBook Air 13 revenait il y a peu sur le devant de la scène avec, cette fois, un processeur Apple M3 à son bord. À la clé, des performances en hausse, mais pas grand-chose de plus de prime abord. Voyons ce que ce nouveau modèle nous réserve et s’il s’avère toujours aussi intéressant en 2024.
- La puce M3, ses performances, son efficacité énergétique
- Travailler dans le silence absolu et sans chauffe
- Autonomie diabolique
- L’écran IPS inchangé, mais de qualité
- 8 Go de mémoire vive en 2024, et SSD toujours trop lent
- Connectiques réduites, mal réparties, et la vilaine encoche
- La lenteur du chargeur 30 W
- Le coloris noir Minuit perpétuellement cracra
Annoncé en février, parallèlement au modèle de 15 pouces que nous testions il y a quelques semaines, le MacBook Air 13 M3 prend la succession d’un modèle M2 commercialisé depuis l’été 2022 — et qui reste d’ailleurs disponible sur le catalogue d’Apple au tarif (abaissé) de 1199 euros. Avec cette nouvelle mouture, la marque ne réinvente pas la roue, se contentant plutôt d’une mise à jour matérielle très classique. Comme pour son grand-frère, ce nouveau MacBook Air embarque néanmoins quelques modifications intéressantes qui méritent d’être mises en exergue.
Avant de vous en dire plus sur ce MacBook, voici la fiche technique du MacBook Air M3 de 13 pouces qu’Apple France nous a fait parvenir en prêt :
Notre configuration de test est la plus abordable en version M3. Elle se négocie à 1299 euros sur le site officiel d’Apple. La mouture la plus haut de gamme de ce nouveau MacBook Air 13 est pour sa part dotée de 16 Go de mémoire unifiée, de 512 Go de SSD et d’une puce M3 avec GPU 10 coeurs, le tout pour un prix de 1759 euros en France. Il est bien sûr toujours possible d’ajouter plus de mémoire vive et plus de stockage en option… pour un prix qui s’envole alors à bien plus de 2000 euros.
Design : aucun changement, mais un coloris noir toujours aussi salissant
Avec ses 30,41 x 21,50 x 1,13 cm pour 1,24 kg, le nouveau MacBook Air M3 de 13 pouces reprend le même gabarit que son prédécesseur et ne change rien au design qu’on lui connaissait.
On retrouve donc un châssis très fin et léger, intégralement en aluminium, aux finitions une nouvelle fois impeccables. Apple a bâti une bonne partie de de sa réputation sur le look et la qualité d’assemblage de ses différents produits, et le MacBook Air ne fait pas exception… du moins à un détail près : le coloris noir « Minuit » reste toujours aussi salissant — Apple explique l’avoir modifié pour le rendre moins sensible aux traces de doigts, mais l’on reste dubitatif sur l’efficacité du nouveau traitement évoqué par la marque.
Quoi qu’il en soit, après deux ans d’existence, l’effet de surprise n’est plus, certes, mais le plaisir d’utiliser ce Mac reste intact. Compact, solide et élégant, le MacBook Air est un ordinateur agréable au quotidien, plaisant transporter partout avec soi.
Par rapport au modèle de 15 pouces (presque aussi fin), ce modèle de 13 pouces a d’après nous pour principal avantage d’être sensiblement moins lourd et plus adapté aux personnes cherchant avant tout la mobilité. Il souffre par contre d’une diagonale d’écran fatalement plus réduite, qui le pénalise dans le cadre d’un usage un peu plus sédentaire. Un point à prendre en compte, qui permet au final de savoir assez vite lequel des deux modèles est le plus adapté à ses besoins.
Sur le plan du clavier, Apple ne change rien non plus à la formule proposée depuis le MacBook Air M2. C’est tant mieux. Ce clavier est en effet toujours aussi efficace. Bien qu’un peu bruyant, il s’avère d’une précision redoutable et d’un confort indiscutable, notamment grâce à la profondeur de course offerte par les touches et à leur rebond très tonique. Même constat pour le trackpad, qui se paye le luxe d’être le meilleur actuellement disponible sur le marché des ultraportables. Car si Dell et quelques autres constructeurs comme Lenovo se sont récemment essayés à l’exercice (délicat) des pavés tactiles haptiques, ceux du géant de Cupertino restent loin, très loin, au-dessus de la mêlée. Les essayer, c’est l’assurance de ne plus jamais pouvoir revenir en arrière.
Apple fait également du bon travail en matière de haut-parleurs en installant une nouvelle fois quatre petits speakers au niveau de la charnière. Un emplacement plutôt judicieux pour un son globalement supérieur à celui offert par les modèles concurrents comme le Dell XPS 13 ou le ZenBook S13 OLED d’ASUS, pour ne citer qu’eux. Les graves sont là, les médiums ne prennent pas toute la place et les aigus restent précis dans la majorité des cas. On regrette par contre le relatif manque de puissance de ces haut-parleurs, qui restent globalement moins bons que ceux des MacBook Pro et, dans une moindre mesure, moins bons que ceux du MacBook Air 15.
À design identique, remontrances identiques en ce qui concerne par contre l’encoche juchée en haut de l’écran. Non contente d’être laide, cette dernière est rigoureusement inutile puisqu'aucun capteur n’est d’actualité pour permettre l’identification faciale via Face ID. Il faut se contenter d’une simple captation 1080p et d’une qualité d’image très relative. Dites-vous que la netteté offerte par le capteur frontal d’un simple iPad est meilleure.
Pour l’identification biométrique, Apple s’en tient donc une nouvelle fois à un capteur Touch ID logé dans la touche de mise sous tension. Un bonne solution… en attendant la reconnaissance faciale que l’on aimerait un jour trouver sur les MacBook.
Avant de passer à la suite, pestons rapidement (et une énième fois) contre la présence de connectiques toujours aussi chiches sur le MacBook Air. Il faut en effet faire avec seulement deux ports USB-C Thunderbolt / USB 4, une prise d’alimentation magnétique MagSafe et une prise casque Jack 3,5 mm. Les trois premiers ports sont regroupés sur le flanc gauche, tandis que la prise casque est toute seule sur le côté droit. Cette mauvaise répartition des connectiques, souvent casse-pied au quotidien, est l’un des points faibles du MacBook Air.
L’appareil souffre aussi, comme l’ensemble des autres ordinateurs portables d’Apple, d’une conception rendant impossible toute évolution matérielle en cours de route. La mémoire vive est en effet intégrée à la puce M3, et le SSD soudé à la carte mère. Dans ce contexte, démonter le Mac pour accéder à ses composants n’a donc quasiment aucun intérêt. Il faudra par ailleurs bien réfléchir avant d’acheter le modèle le plus abordable du MacBook Air, une nouvelle fois limité à 8 Go de RAM et 256 Go de SSD… des capacités que l’on ne pourra absolument pas augmenter par la suite.
Écran : une dalle LCD IPS de qualité
MacBook Air oblige, Apple se contente une nouvelle fois d’un écran LCD IPS moins efficace que les panneaux Mini-LED installés à bord des derniers MacBook Pro. On retrouve donc une dalle « Retina » classique, de 13,6 pouces, en définition 2,5K (2560 par 1664 pixels pour 224 ppp). Cette dalle est capable d’afficher une luminance maximale de 500 cd/m², tout en couvrant à 100 % l’espace de couleurs DCI-P3. Ces caractéristiques restent flatteuses, même si la concurrence propose désormais, et de plus en plus souvent, des écrans OLED offrant (entre autres) un contraste infiniment supérieur à celui de l’écran LCD auquel nous sommes ici confrontés.
Ce dernier demeure quoi qu’il en soit de qualité. Les couleurs affichées sont fidèles, la calibration proposée par défaut est globalement juste, et la luminosité suffisante dans la majorité des cas. Cette dalle, brillante, est par contre sujette aux reflets, mais sans que la chose ne s’avère réellement handicapante au quotidien. Nous l’évoquions plus haut, le contraste est pour sa part dans la fourchette basse par rapport à la concurrence, mais cela est dû au recours à la technologie IPS, qui reste fatalement en retrait sur ce plan face à l’OLED et plus marginalement au Mini-LED. Dans l’ensemble, la qualité d’affichage est néanmoins de très bon niveau sur le MacBook Air, dans la continuité de ce que proposaient les précédentes générations d’appareils de la gamme Air. Aucune surprise ici, donc.
Comme par le passé, l’écran est par contre limité à une fréquence de rafraîchissement 60 Hz. Rien de très gênant en pratique, même si nous aimerions là aussi une montée en gamme à l’avenir. En réalité, notre MacBook ne souffre d’aucun problème majeur en termes d’affichage, et son format 3:2 s’avère une nouvelle fois très plaisant en utilisation bureautique. Il faut toutefois bien garder en tête, qu’en la matière, Apple n’a pas revu sa copie depuis maintenant plusieurs années. Si vous cherchez une expérience d’affichage hors du commun, l’écran de ce nouveau modèle M3, identique ou presque à celui des générations passées, pourrait vous laisser sur votre faim. Cela étant dit, pour la vaste majorité des utilisateurs, il fera parfaitement l’affaire.
Performances : comment se comporte la puce M3 sur le petit MacBook Air 13 ?
La puce M3 est désormais bien connue de nos services. Cette nouvelle génération de processeurs Apple Silicon a en effet été testée par nos soins à deux reprises : d’abord sur l’iMac M3 en novembre, puis sur le MacBook Air M3 de 15 pouces en février. Nous avons également eu l’opportunité d’apprendre à bien connaître la variante « Max » de cette puce sur le dernier MacBook Pro. Autant dire que nous sommes sereins quant à ses capacités sur le MacBook Air de 13 pouces qui nous intéresse présentement. Car avec elle, Apple peaufine une formule qu’il commence à connaître sur le bout des doigts.
Résultat des courses : des performances particulièrement appréciables sur cette nouvelle génération de MacBook Air 13, qui parvient à exploiter dans de bonnes conditions le potentiel du dernier APU d’Apple. Cela dit, on relève quand même des performances (légèrement) moins bonnes que celles développées par le dernier MacBook Air M3 de 15 pouces. Sur Cinebench l’écart entre les deux modèles est ainsi visible, sans être abyssal, et uniquement en multi-core.
Notre modèle de 13 pouces obtient en effet 9 337 points en multi-core et 1 896 points en single-core, tandis que son grand frère glanait 9 754 points en multi-core et 1 900 points en single-core sur le même outil. L’explication est d’après nous à chercher du côté de la configuration du MacBook Air 13 qu’Apple nous a fait parvenir. Ses 8 Go de mémoire unifiée « seulement » empêchent vraisemblablement son processeur de s’étirer suffisamment les jambes par rapport aux configurations 16 Go.
Cette piste nous amène d’ailleurs à pointer du doigt la politique minimaliste d’Apple, qui limite une nouvelle fois ses utilisateurs à des configurations « de base » trop chiche en mémoire vive (et en stockage) au regard des 1300 euros demandés.
Apple assure que 8 Go de mémoire unifiée suffisent à macOS et aux processeurs M3, et que l’intégration de cette mémoire dans son architecture, couplée à un système de compression propriétaire, permet d’obtenir de solides performances et, au bout du compte, une prestation équivalente à celle de machines Windows équipées de 16 Go de RAM. Dans les faits et à l’heure actuelle, c’est encore vrai… mais l’on commence sérieusement à discerner les limites de cet argument, en particulier dans un contexte multi-tâche ou en utilisation avancée. 8 Go sont par ailleurs insuffisants pour permettre de voir venir, a fortiori en 2024 et sur une machine qu’on ne peut pas faire évoluer sur le plan matériel.
Face à la concurrence, et en dépit de ses 8 Go de mémoire seulement, notre MacBook Air 13 millésime 2024 s’en sort toutefois avantageusement. À titre de comparaison, et toujours sous Cinebench R23, le nouveau Core Ultra 7 155H d’Intel fait fatalement mieux en multi-core grâce à ses 16 cœurs et 22 threads, mais reste un cran derrière l’Apple M3 pour les calculs sur un seul cœur. La puce « Meteor Lake » d’Intel récoltait en effet 12 531 points en multi-core et 1 816 points en single-core sur le dernier ASUS Zenbook 14 OLED… mais le tout avec une efficacité énergétique infiniment moins probante que celle d’Apple et de ses puces ARM.
Quant à la comparaison avec le MacBook Air 13 M2 elle est sans appel. Ce dernier développait « seulement » 8249 points en multi-core, contre 1584 points en utilisation single-core sur Cinebench R23. La puce M3 développe donc de bien meilleures performances, et ce sur un appareil qui n’a pourtant pas changé de châssis ou de design.
Le processeur d’Apple fait par ailleurs bonne impression sur le plan graphique. Outre sa prise en charge native du ray tracing, la puce M3 se montre capable en jeu, du moins à condition de rester raisonnables sur les réglages. Sur Shadow of the Tomb Raider, avec les préréglages « Élevés », les textures x16, et en définition Full HD+, nous parvenons par exemple à tenir le cap des 30 FPS dans la majorité des cas sur notre petit MacBook Air. La progression par rapport au modèle M2 est notable parce qu’il fallait alors se contenter de réglages graphiques inférieurs pour obtenir la même fluidité. Cette marge de manœuvre sur le plan graphique ouvre au MacBook Air un peu plus de possibilités en multimédia avancé et en utilisation créative. La retouche photo ou le montage vidéo occasionnel sont à sa portée.
L’autre grande force du MacBook Air, est de se passer une nouvelle fois de dissipation active. L’appareil n’embarque aucun ventilateur et fonctionne donc dans le plus absolu des silences, en toutes circonstances. Une qualité d’autant plus estimable que l’efficacité énergétique de la puce M3 permet à l’appareil de peu chauffer. Au toucher, et même lorsque le processeur est fortement sollicité, le MacBook Air se montre donc tiède, tout au plus, et s’apparente presque à un iPad de ce point de vue. Le confort d’utilisation est donc infini par rapport à nombre d’ultraportables Windows, y compris lorsqu’on pousse ce nouveau Mac dans ses derniers retranchements.
Le bilan est par contre bien moins dithyrambique en ce qui concerne le SSD. Les 256 Go de notre modèle de prêt ont beau être un peu plus véloces que ceux du MacBook Air M2 en son temps, on reste loin des standards du marché en 2024. Et pour cause, les vitesses de transfert plafonnent ici à 2775 Mo/s en lecture et 1927 Mo/s en écriture. Pour un usage basique et quotidien ce n’est pas bien grave, mais ces vitesses sont équivalentes à celles d’un SSD d’il y a quatre ou cinq ans. Difficile dans ces conditions d’être satisfaits. Apple doit faire mieux.
Autonomie : endurance, j’écris ton nom
Le passage de la puce M3 à la gravure en 3 nm de TSMC a permis à Apple de procéder à un arbitrage : doper les performances face à la puce M2 ; ou bien offrir à ses utilisateurs une meilleure efficacité énergétique, et donc une meilleure autonomie. En l’occurrence, la firme s’en est principalement tenue à la première alternative. Comprenez par là que face au MacBook Air M2, l’autonomie de notre modèle M3 ne progresse pas vraiment, elle reste peu ou prou au même niveau.
Apple l’admet d’ailleurs en évoquant 15 à 18 heures d’endurance sur la page officielle de son MacBook Air M3. Une fourchette que nous trouvons réaliste. Même dans le cadre d’une utilisation soutenue de l’appareil, on tient sans problème la journée sur batterie. Et dans certains cas, notamment quand on se contente de travailler en bureautique et de naviguer sur le web, on approche assez facilement les deux jours d’autonomie sur ce nouveau MacBook Air. Ce dernier s’érige donc en digne successeur du modèle M2, et offre à ce stade l’une des toutes meilleures endurances disponibles sur le marché (pourtant touffu) des ultraportables.
Pour la recharge, c'est une autre paire de manches. Apple fournit par défaut un chargeur USB-C de 30 W, compact, certes, mais d’une lenteur assez vertigineuse : comptez plus de deux heures sur secteur pour une charge complète de la batterie (52,6 Wh). Autant dire qu’on sera très vite tentés de mettre la main sur un chargeur plus puissant.
Apple MacBook Air M3 de 13 pouces : l’avis de Clubic
Avec son MacBook Air M3 de 13 pouces, Apple tient tout simplement l’un des meilleurs ordinateurs ultraportables du marché. Élégant, extrêmement agréable à utiliser en situation de mobilité, encore plus puissant et toujours aussi endurant, l’appareil ne souffre au final que de petits défauts relativement marginaux au regard de l’expérience globalement proposée. On attend toutefois qu’Apple fasse à l’avenir un réel effort sur la quantité de mémoire vive embarquée par défaut sur ses Mac, mais aussi sur la vitesse de leurs SSD.
- La puce M3, ses performances, son efficacité énergétique
- Travailler dans le silence absolu et sans chauffe
- Autonomie diabolique
- L’écran IPS inchangé, mais de qualité
- 8 Go de mémoire vive en 2024, et SSD toujours trop lent
- Connectiques réduites, mal réparties, et la vilaine encoche
- La lenteur du chargeur 30 W
- Le coloris noir Minuit perpétuellement cracra
Concurrence : quelles alternatives au MacBook Air M3 13 pouces ?
- Le concept modulaire et réparable jusqu'au-boutiste
- Bonne qualité d'affichage
- De bonnes performances, même sur le modèle i5
- Placement tarifaire assez compétitif
- Clavier perfectible, trackpad à revoir
- Des finitions moins soignées que chez la concurrence
- Autonomie correcte, sans plus (8 à 9 heures)
- Dissipation un peu bruyante
- Le nouveau départ d’Intel avec « Meteor Lake »
- Design et châssis améliorés
- Écran OLED quasi parfait
- Autonomie copieuse (11 à 12 heures)
- Des capacités en IA qu’on a pour l’instant du mal à apprécier
- « Meteor Lake » : une belle évolution, mais pas (encore ?) une rupture technologique
- Trackpad perfectible
Fiche technique Apple MacBook Air M3 13 pouces
Processeur | Apple M3 |
Taille de la mémoire | 8Go |
Carte graphique | Apple GPU M3 |
Taille de l'écran | 13.6 pouces |
Taux de rafraîchissement | 60Hz |
Système d'exploitation | MacOS |
Processeur | Apple M3 |
Type de processeur | Puce Apple M3 |
Taille de la mémoire | 8Go |
Carte graphique | Apple GPU M3 |
Taille de l'écran | 13.6 pouces |
Taux de rafraîchissement | 60Hz |
Type d'écran | LED |
Résolution d'écran | 2560 x 1664 pixels |
Format de l'écran | 16/10 |
Écran tactile | Non |
Configuration disque(s) | SSD |
Disque principal | 256 Go |
Lecteur optique | Aucun |
Lecteur de carte mémoire | Aucun |
Connectiques disponibles | Thunderbolt 4/USB-C, Micro (Jack 3.5mm Femelle) |
Wi-Fi | Oui |
Version Wi-Fi | 6 |
Bluetooth | Oui |
Version Bluetooth | 5.3 |
Webcam | Oui |
Haut-parleurs | Intégrés |
Clavier | Azerty |
Clavier rétroéclairé | Oui - Couleur unique |
Pavé numérique | Non |
Lecteur d'empreinte digitale | Oui |
Épaisseur | 1.13cm |
Longueur | 30.41cm |
Largeur | 21.5cm |
Poids | 1.24kg |