Annoncé courant décembre, le Zenbook 14 OLED est l’un des tout premiers PC portables du marché équipé des nouvelles puces « Meteor Lake » d’Intel. Basées sur une nouvelle architecture, et profitant d’une nouvelle finesse de gravure, ces dernières sont censées donner le change face à Apple et ses puces « M »… tout en misant très fortement sur l’IA. Voyons ce qu’il en est.
Le Zenbook 14 OLED 2024 n’a rien de très différent de son prédécesseur, du moins extérieurement. Connu de nos services, puisque testé en 2022, l’appareil ne change cette année rien à la formule qui a fait son succès : châssis hyper fin, écran OLED de 14 pouces et performances enviables. Sauf que cette fois, ASUS peut compter sur une nouvelle génération de processeur très ambitieuse signée Intel : « Meteor Lake ».
- Le nouveau départ d’Intel avec « Meteor Lake »
- Design et châssis améliorés
- Écran OLED quasi parfait
- Autonomie copieuse (11 à 12 heures)
- Des capacités en IA qu’on a pour l’instant du mal à apprécier
- « Meteor Lake » : une belle évolution, mais pas (encore ?) une rupture technologique
- Trackpad perfectible
Avec elle, tout change : la finesse de gravure (on passe enfin au 7 nm d’Intel), l’architecture interne avec l’utilisation (enfin) à grande échelle du design « Foveros » permettant un empilement des puces novateur, et même la nomenclature de cette nouvelle gamme. C’est bien simple, Intel communique depuis des mois sur ce qui s’apparente à une révolution pour ses processeurs mobiles… et cache d’ailleurs à peine son intention de revenir pour de bon dans la course face à Apple et ses redoutables puces ARM sur le plan de l’efficacité énergétique. Tout un programme, mais qu’en est-il sur le terrain ? Avec le Zenbook 14 OLED 2024, nous allons le savoir.
Avant d’aller plus loin, voici la configuration détaillée du modèle qu’ASUS France nous a fait parvenir en prêt :
Fiche technique ASUS Zenbook 14 OLED (2024)
Processeur | Intel Core Ultra 7 155H |
Taille de la mémoire | 32Go |
Carte graphique | Intel Arc (8 coeurs Xe à 2,25 GHz) |
Taille de l'écran | 14 pouces |
Taux de rafraîchissement | 120Hz |
Système d'exploitation | Windows 11 |
Processeur | Intel Core Ultra 7 155H |
Type de processeur | 16 coeurs et 22 threads |
Fréquence du processeur | 4.8GHz |
Finesse de gravure | 7nm |
Taille de la mémoire | 32Go |
Type de mémoire | DDR5 |
Fréquence(s) Mémoire | 7,467Hz |
Carte graphique | Intel Arc (8 coeurs Xe à 2,25 GHz) |
Taille de l'écran | 14 pouces |
Taux de rafraîchissement | 120Hz |
Type de dalle | Dalle AMOLED |
Type d'écran | OLED |
Résolution d'écran | 2.8K |
Format de l'écran | 16/10 |
Dalle mate / antireflet | Non |
NVIDIA G-SYNC | Non |
Écran tactile | Oui |
Configuration disque(s) | SSD |
Disque principal | 1 To |
Emplacement mSATA/M.2 | M.2 (occupé) |
Lecteur de carte mémoire | Aucun |
Connectiques disponibles | Thunderbolt 4/USB-C, USB 3.2, HDMI 2.1, Micro (Jack 3.5mm Femelle) |
Wi-Fi | Oui |
Version Wi-Fi | 6 |
Bluetooth | Oui |
Version Bluetooth | 5.3 |
Webcam | Oui |
Haut-parleurs | Intégrés |
Clavier | Azerty |
Clavier rétroéclairé | Oui - Couleur unique |
Pavé numérique | Non |
Lecteur d'empreinte digitale | Non |
Épaisseur | 1.49cm |
Longueur | 31.24cm |
Largeur | 22.01cm |
Poids | 1.29kg |
Dans cette configuration Ultra 7 et 32 Go, le Zenbook 14 OLED se négocie à 1 799,99 euros en France. Le prix de départ de l’appareil sous nos latitudes est toutefois fixé à 1 499 euros. La fiche technique reste alors identique, mais l’on se limite à 16 Go de RAM seulement cette fois. Nous obtenons ainsi un bon rapport équipement/prix sur le papier.
Design : quelques changements bénéfiques
Avec 31,24 x 22,01 x 1,49 cm pour 1,29 kg le nouveau Zenbook 14 rabote son châssis de deux millimètres en épaisseur et perd environ 100 grammes par rapport au modèle 2022. L’appareil conserve pour le reste la même conception que son prédécesseur, avec quand même quelques petits ajustements ici et là.
Car si le design est globalement le même (même alliage de magnésium-aluminium, même silhouette, même coloris peu ou prou, même motif sur le capot, même clavier…), on remarque assez vite que le châssis a évolué en bien : la charnière paraît nettement plus solide que par le passé, le cadre d’écran est beaucoup plus rigide, et l’ensemble inspire bien plus confiance qu’il y a deux ans en termes de solidité. Sur le plan des plus petits détails, on remarque aussi que le vilain cadre en plastique qui entourait l’écran a disparu au profit d’un revêtement plus élégant. C’est agréable, on a vraiment l’impression qu’ASUS a corrigé le tir en prenant en compte les remarques de la presse et de ses clients.
Sur un autre registre, on salue par ailleurs le passage à une webcam 1080p (contre 720p auparavant), dotée d’une meilleure qualité d’image (en partie grâce au traitement par IA permis par le processeur Meteor Lake), et surtout l’apparition de capteurs nécessaires à la reconnaissance faciale.
Ces capteurs permettent de remplacer le lecteur d’empreintes digitales du Zenbook 14 OLED 2022, pour offrir une identification instantanée à l’ouverture de session. On ne s’en plaindra pas. On remarque par contre que les connectiques sont (un chouia) moins complètes qu’auparavant puisqu’on perd un lecteur de cartes microSD, certes peu utile, mais néanmoins bienvenu, du moins pour certains utilisateurs.
On retrouve cela dit l’essentiel, avec un port USB 3.2 Gen 1 Type-A, deux ports Thunderbolt 4 prenant en charge l’affichage et l’alimentation, une sortie HDMI 2.1 et une prise casque jack 3,5mm. Tout ce qu’il faut où il faut… et un pied de nez appréciable aux modèles concurrents faisant l’apologie du tout USB-C (comme les derniers MacBook Air ou le XPS 13 Plus pour ne citer qu’eux). Bien joué ASUS.
La marque nous livre par ailleurs, et une nouvelle fois, un excellent clavier. Précis et plutôt très silencieux, ce dernier offre une belle profondeur de course et une frappe confortable. Nous n’avons rien à lui reprocher.
Le pavé tactile qui l’accompagne n’est pas mauvais non plus, même si l’on reste loin de la précision et du confort offerts par les formidables trackpads haptiques d’Apple ou — dans une moindre mesure —, par ceux proposés chez Dell (sur le XPS 13 Plus), ou encore chez Microsoft (sur le Surface Laptop Studio 2), notamment. On regrette ainsi que les coins du pavé tactile de notre Zenbook s’enfoncent toujours trop… et qu’il manque encore un peu de précision sur les clics appuyés.
Le démontage de l’appareil révèle pour sa part un unique ventilateur et un seul gros caloduc chargés de tenir le processeur au frais. Un SSD est par ailleurs visible sous la forme d’une barrette M.2 (remplaçable) et la batterie est relativement facile d’accès. Impossible par contre de remplacer la RAM, qui est soudée à la carte mère, comme sur la vaste majorité des ultraportables.
Écran : la beauté de l’OLED en petit format
Il devient de plus en plus difficile de prendre en défaut ASUS sur le plan de l’affichage. Depuis environ 3 ans, l’entreprise s’attache en effet à démocratiser la technologie OLED sur PC portable, en installant des dalles organiques sur la plupart de ses modèles en milieu et haut de gamme.
Comme son nom l’indique sans la moindre ambiguïté, le Zenbook 14 OLED ne fait pas exception. L’appareil est équipé cette année d’une dalle OLED tactile de 14 pouces, offrant une définition 2,8K (2880 x 1800 pixels), un format d’image 16:10, et une fréquence d’affichage pouvant monter à 120 Hz. En SDR, cet écran est censé atteindre une luminosité maximale de 400 cd/m2 (contre 600 cd/m2 au maximum en HDR), et permet sur le papier une couverture à 100 % du gamut DCI-P3.
Armés de nos outils, nous sommes en mesure de vous confirmer que cet écran est excellent.
Fabriquée par Samsung Display, la dalle du Zenbook 14 monte bien à 387,3 cd/m2, soit pratiquement au niveau promis par ASUS, tandis que le contraste est infini… OLED oblige. Sans établir de record, la luminosité maximale est donc satisfaisante pour le quotidien, même si nous pouvons en apercevoir les limites en extérieur par exemple. Le contraste est pour sa part suffisant pour offrir une superbe profondeur à l’image, magnifiant ainsi tous les contenus affichés.
Côté calibration, ASUS met enfin les petits plats dans les grands, avec un DeltaE mesuré à 2,6, soit pile en dessous des 3 attendus pour jouir d’une fidélité colorimétrique optimale. La température des couleurs s’installe quant à elle à 6 544 kelvins. Nous sommes donc à deux doigts des 6 500 kelvins idéalement attendus. La couverture du spectre DCI-P3 est pour sa part supérieure à celle annoncée par ASUS, avec une prise en charge à 113,4 % d’après nos outils. Parfait, tout simplement.
Performances : « Meteor Lake »… belle évolution, sans révolution ?
Nous l’avons dit, avec sa nouvelle génération de processeurs mobiles « Meteor Lake », Intel change pas mal de choses. Nous n’allons pas revenir ici sur les détails architecturaux et techniques de cette nouvelle gamme de processeurs, nous l’avons déjà fait dans un article dédié il y a quelques semaines. Ce que nous retenons dans le cas présent, c’est que l’Intel Core Ultra 7 155H de notre Zenbook 14 OLED passe à la gravure en 7 nm d’Intel, qu’il comporte une partie CPU fortement remaniée par rapport aux anciennes générations de processeurs mobiles Intel, mais aussi un nouvel iGPU, et, surtout, un NPU entièrement dédié au calcul de l’intelligence artificielle.
Dans le détail, notre Core Ultra 7 155H regroupe ainsi 16 cœurs (6 cœurs hautes performances, 8 cœurs haute-efficacité et 2 cœurs « LP E-cores » à très haute efficacité énergétique) et 22 threads cadencés entre 1,4 GHz et 4,8 GHz, 24 Mo de cache, et une partie graphique Intel Arc (comprenant pour sa part 8 cœurs Xe à 2,25 GHz). L’ensemble se voit par ailleurs attribuer un budget TDP de 28 W. Notre Zenbook 14 OLED de test était enfin équipé de 32 Go de RAM en LPDDR5x à 7467 MHz. Voyons maintenant ce que ces nouveautés valent dans le feu de l’action.
Sur le plan CPU tout d’abord, on remarque une montée en puissance (assez probante) sur le plan des performances en multi-core. Sur Cinebench R23, notre puce récolte en effet 12 531 points en multi-core, contre 1 816 points en single-core. À titre de comparaison, le Core i7-1360P se situait aux environs des 10 000 à 11 000 points en multi-core contre 1800 points environ en single-core. La puissance de calcul offerte aux logiciels capables d’exploiter en totalité ou en partie les 16 cœurs du nouveau Core Ultra 7 155H est donc conséquente.
Face à la concurrence d’AMD, et faute d’avoir pu tester la 8e génération de processeurs Ryzen au moment de rédiger cet article, on peut néanmoins dire qu’Intel se contente de revenir dans la course face à son rival question calcul multi-core. Sur le Framework Laptop, le Ryzen 7 7840U parvenait par exemple à développer 13 828 points en calcul multi-core pour 1 674 points en single-core. Quant à la puce M2 du dernier MacBook Air en date, elle ne tient plus la comparaison sur le plan des performances strictes, se contentant de 8 726 points en multi-core et 1 582 points en single-core « seulement ».
Côté GPU cette fois, on sent bien qu’Intel est passé à une partie graphique plus musclée. Par rapport aux anciens iGPU Iris Xe, la montée en gamme est appréciable. Comprenez par là qu’elle permet une marge de manœuvre plus généreuse en jeu que par le passé, mais aussi de meilleures performances en multimédia avancé (retouche photo, montage vidéo léger).
Par exemple, sur Cyberpunk 2077, avec les texture en niveau élevé, le reste des détails en niveau bas, l’Intel Xe Super Sampling activé, le ray-tracing coupé et une définition Full HD+, nous avons réussi à atteindre un peu plus de 30 FPS en moyenne sur le benchmark intégré au jeu. Cela étant dit, l’iGPU d’Intel se montrera nettement plus à son aise sur les titres peu gourmands et/ou compétitifs. Vous pouvez ainsi espérer jouer à Overwatch 2 ou Fortnite dans de bonnes conditions… et avec une définition plus élevée que le Full HD+ auquel nous nous sommes limités pour des raisons évidentes sur Cyberpunk 2077.
En benchmark sur 3DMark Time Spy Extreme, l'iGPU Intel Arc de notre Core Ultra 7 155H développe pour le reste 1 654 points en score graphique. On dépasse les performances offertes sur le même utilitaire par une NVIDIA GeForce GTX 1650. Pour comparaison, cette dernière obtenait tout juste 1 507 points sur le HP Victus 15, tandis que la GeForce RTX 2050 du Medion Erazer Crawler E30e obtenait 1 748 points en indice GPU sur le même outil.
Mais alors quid des performances du NPU intégré au Core Ultra 7 155H ? En l’état, la chose est encore difficile à évaluer puisque nous n’avons pas accès à d’autres processeurs dotés de ce genre de technologie pour comparaison. Les puces Meteor Lake sont les premières de ce type avec les nouveaux processeurs Ryzen 8000 mobiles d’AMD… que nous n’avons pas encore reçus en test sur laptop.
Pour avoir une petite idée du potentiel de ce NPU, nous nous sommes donc cantonnés à suivre les recommandations d’Intel en installant Stable Diffusion, un logiciel de génération d’images par IA. L’idée ? Comparer les performances obtenues en ne faisant fonctionner que la partie CPU de notre Core Ultra 7 155H, puis celles offertes lorsqu’on utilise cette fois le NPU. Et effectivement, le bilan est favorable à la direction prise par Intel sur ce terrain.
En clair, tablez sur une quinzaine de secondes pour un rendu complet avec le NPU… contre plus de deux minutes lorsqu’on procède « à l’ancienne » et qu’on se contente du CPU. Deux salles, deux ambiances, même s’il est évident que l’IA sur laptop n’en est encore qu’à ses débuts et qu’il faudra vraisemblablement attendre plusieurs mois pour voir apparaître des fonctions, liées à cette technologie, et réellement importantes dans le quotidien de monsieur et madame Tout-le-Monde.
Nous n’avons pas encore abordé la question des températures de notre Core Ultra 7 155H en fonctionnement. Il est temps de le faire. Ce que l’on remarque en premier lieu, c’est qu’au quotidien, le Zenbook est parfaitement silencieux et qu’il est vraiment rare de le sentir chauffer en bureautique, en navigation web ou en multimédia.
Dans le cadre d’une utilisation intensive, avec le mode performances activé dans l’utilitaire MyASUS (pour permettre au processeur de délivrer son plein potentiel lorsqu’il est sur secteur), on entend cette fois le ventilateur se déclencher à plein régime au bout de quelques minutes. Le bruit est là, mais sans être insupportable non plus, et les températures sont globalement maîtrisées : la chauffe ne se fait en réalité sentir que sous le châssis, principalement au niveau des grilles d’aération.
Terminons enfin par un point sur les performances du SSD. En l’occurrence, on ne peut malheureusement pas dire que la barrette M2 de 1 To choisie par ASUS impressionne, avec « seulement » 5008,6 Mo/s en lecture et 3463,8 Mo/s en écriture. C’est bien, mais nous sommes loin d’atteindre les vitesses ébouriffantes obtenues par certains modèles concurrents.
Autonomie : la journée sur batterie sans broncher
Sur le plan de l’efficacité énergétique, le Core Ultra 7 155H nous fait vraiment meilleure impression que les Core i7-1360P de l’an dernier, par exemple. Pour autant, cette puce Meteor Lake ne sonne pas non plus comme une rupture technologique en la matière. Comprenez que s’il y a du mieux, et que les bases techniques mises en place par Intel sur cette génération de puces seront vraisemblablement salutaires par la suite, le bond en avant n’est pas spectaculaire.
Très concrètement, avec une batterie vraiment copieuse de 75 Wh (sur les ultraportables de 14 pouces, les constructeurs se limitent souvent à 50 Wh environ), sa puce Meteor Lake et son écran OLED 120 Hz, notre Zenbook parvient à faire du bon travail, mais sans impressionner non plus sur le plan de l’autonomie.
Avec le mode d’affichage dynamique 60/120 Hz sélectionné depuis les paramètres de Windows 11, le rétroéclairage du clavier désactivé, la luminosité de l’écran à 100 %, un casque branché et le mode silencieux activé depuis les réglages d’alimentation MyASUS, nous avons été en mesure de tenir un peu plus de 11 heures en lecture vidéo. Dans le cadre d’une utilisation quotidienne, et en fonction des réglages adoptés, le cap des 12 heures peut même être atteint.
C’est donc bien, très bien même, mais l’on ne peut pas s’empêcher de penser qu’avec leurs puces ARM « Apple Silicon », les derniers MacBook Air et Pro continuent de faire mieux. De quoi nous amener à penser qu’en matière d’efficacité énergétique, Intel en arrive peut-être tout simplement aux limites de ce que peut permettre le design x86 de ses processeurs.
ASUS Zenbook 14 OLED 2024 : l’avis de Clubic
Excellent, tout simplement. C’est ce que l’on peut dire du Zenbook 14 OLED 2024 qui est décidément un produit difficile à prendre en défaut. Avec lui, ASUS prouve être capable d’écouter les retours de la presse et de ses clients pour améliorer tout ce qui peut l’être. On profite ainsi cette année d’un châssis encore mieux conçu et nettement plus solide, couplé cette fois encore à un écran OLED quasi parfait.
Armé d’un processeur Intel « Meteor Lake », l’appareil développe par ailleurs un niveau de performances très flatteur pour son format et parvient à nous offrir une autonomie solide pour travailler toute la journée sans s’embarrasser d’un chargeur.
Intel, de son côté, nous fournit une nouvelle génération de puces prometteuse, mais qui ne marque pas encore de rupture technologique selon nous. La puissance de calcul est au rendez-vous, l’efficacité énergétique en progrès, et l’IA définitivement au centre de la partie, mais l’effet « waouh » que nous aurions aimé trouver avec « Meteor Lake », et que nous avons connu chez Apple avec les puces « M » en 2020, n’est pas encore tout à fait là.
- Le nouveau départ d’Intel avec « Meteor Lake »
- Design et châssis améliorés
- Écran OLED quasi parfait
- Autonomie copieuse (11 à 12 heures)
- Des capacités en IA qu’on a pour l’instant du mal à apprécier
- « Meteor Lake » : une belle évolution, mais pas (encore ?) une rupture technologique
- Trackpad perfectible
Concurrence : quelles alternatives à l’ASUS Zenbook 14 OLED ?
- Les performances de la puce M2 et le silence absolu (pas de ventilateur)
- Appareil raffiné, aux finitions impeccables
- Clavier divin, trackpad orgasmique
- Écran plus grand et plus lumineux
- Autonomie impressionnante
- Prestation insuffisante du SSD sur le modèle de base
- Hausse de prix par rapport au MacBook Air M1
- Connectique chiche et mal répartie
- Encoche moche et inutile (peu de progrès sur la webcam, pas de capteurs FaceID)
- Recharge lente
- Le design, toujours aussi ravissant, et les finitions parfaites
- La beauté de l’OLED en format ultra compact
- Le clavier bord à bord, toujours aussi cool, et son trackpad haptique
- Appareil globalement silencieux
- Processeur fortement bridé par défaut
- Autonomie en retrait (7 à 8 heures)
- Un produit encore un peu cher (mais c’est mieux !)
- Dell toujours aussi radin sur les connectiques