Annoncée au Computex 2024, l'ASUS ProArt PZ13 est une tablette Windows à clavier détachable, similaire dans son concept à Son Éminence, la Surface Pro 11 de Microsoft. Positionnée comme une ardoise renforcée, adaptée aux créateurs de contenu baroudeurs, la PZ13 remplit-elle pleinement cette part du contrat ? Réponse dans ce test.
- Placement tarifaire intéressant (nombreux accessoires fournis)
- La dalle OLED parfaitement calibrée
- Autonomie généreuse (10 à 12 heures)
- Le lecteur de cartes SD plein format (rarissime sur une tablette)
- Performances limitées du Snapdragon X Plus en usage créatif
- Tablette peu adaptée à une vraie utilisation en extérieur
- Écran très brillant, pas assez lumineux
- Pas de prise jack de 3,5 mm
ProArt PZ13, PX13 et P16 : c'est le trio qu'ASUS proposait aux utilisateurs créatifs lors du Computex 2024. Avec ce triptyque, la marque tentait de couvrir à peu près tous les usages, allant de la création en mobilité, avec les PZ13 et PX13, à la production de contenu plus sédentaire, au travers du ProArt P16, que nous testions il y a peu sur Clubic.
La petite tablette PZ13 nous est pour sa part vendue en tant « qu'ordinateur portable détachable classé IP52 testé au niveau militaire, destiné aux créateurs actifs, qui se distingue par son excellence dans un environnement extérieur », lit-on sur le site officiel d'ASUS. En clair, l'ardoise du constructeur taïwanais veut être une acolyte précieuse pour la création en plein air. Nous allons voir si cette tablette est réellement l'aventurière qu'ASUS prétend, mais commençons par détailler son positionnement tarifaire.
La ProArt PZ13 qu'ASUS France nous a fait parvenir en prêt est équipée d'une dalle OLED 2,8K, d'un processeur Snapragon X Plus, épaulé par 16 Go de LPDDR5x et de 1 To de SSD. Ce modèle est affiché en France à 1 399,99 euros. Pour ce prix, le clavier détachable est inclus, au même titre qu'une coque/béquille aimantée. Un stylet est aussi fourni, en plus d'un sac à dos destiné au transport de cette panoplie.
Pour contexte, la Surface Pro 11 de Microsoft est vendue, nue (sans clavier ni rien d'autre) à partir de 1 169 euros.
Design : une baroudeuse… qui fait surtout de l'esbroufe
Avec 29,75 x 20,29 x 0,90 centimètres pour 0,85 kilo (pour la tablette seule, hors clavier et béquille), l'ASUS ProArt PZ13 est une ardoise Windows de taille moyenne. À titre de comparaison, la Surface Pro 11 affiche de son côté à 28,7 x 20,9 x 0,93 centimètres pour 0,89 kilo. Nous sommes donc face à un gabarit tout à fait comparable à celui de la tablette la plus iconique de ce marché. Un marché pas si peuplé au bout du compte, qui s'entrechoque par ailleurs avec ce que proposent Apple et l'iPad Pro (disponible à partir de 1 200 euros environ, en version 11 pouces et sans clavier).
La ProArt PZ13 est équipée d'une coque/béquille sur le dos © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
En matière d'encombrement, Apple conserve toutefois un net avantage sur ses concurrents Windows, puisque l'iPad Pro est dépourvu de système de dissipation actif, ce qui lui permet (au-delà d'un silence absolu à l'usage) d'être largement plus fin et léger qu'une Surface Pro 11 ou une ProArt PZ13. La tablette haut de gamme d'Apple culmine en effet à 5,1 millimètres en version 13 pouces, pour tout juste 579 grammes. Un autre monde. Bref, si vous cherchez la légèreté et la finesse à tout prix (littéralement), c'est donc plutôt vers le dernier iPad Pro qu'il faudra vous tourner.
Comme évoqué juste au-dessus, notre PZ13 mise pour sa part sur un système de dissipation actif, axé sur un unique ventilateur. Ce dernier requiert donc un peu plus d'épaisseur, certes, mais aussi de fines ouvertures permettant de faire entrer de l'air frais dans le châssis, et bien sûr d'en faire sortir l'air chaud. Contrairement à ce que nous aurions pu penser lors de l'annonce des puces Snapdragon X Plus/Elite, l'adoption à grande échelle de processeurs Arm par les appareils Windows n'a pas encore permis à leurs constructeurs de se passer de ventilateurs.
Il y a un trou pour l'objectif de la caméra © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Dans le cas de la PZ13, c'est particulièrement dommage. Son dispositif de refroidissement actif empêche, par essence, la tablette d'ASUS d'offrir une vraie résistance aux aléas d'une utilisation, fréquente, en extérieur. En dépit d'une certification « militaire » MIL-STD 810H, censée attester d'une bonne capacité à encaisser les chocs et les mauvais traitements accidentels, notre PZ13 ne profite en réalité que d'une protection superficielle aux éléments.
Dans le détail, l'appareil dispose en effet d'une « simple » certification IP52 lui conférant, jusqu'à un certain point, une protection contre les poussières « et autres résidus microscopiques », mais aussi contre « les chutes de gouttes d'eau à un maximum de 15 degrés de la verticale », selon la formule consacrée. Cette certification, il ne faut surtout pas la confondre avec l'IP68 (protection totale contre toutes les poussières et l'immersion), ou même l'IP64 (protection contre toutes les poussières et les projections d'eau).
Le clavier ajoute du poids à la tablette, jusqu'à ce qu'elle se rapproche d'un ultraportable © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
En l'occurrence, une pluie allant au-delà de la simple bruine posera donc un problème à la PZ13. Du moins, si vous voulez vraiment l'utiliser en extérieur de façon récurrente. Au-delà de son look de baroudeuse, la tablette d'ASUS est donc plutôt une créature d'intérieur, comme en attestent d'ailleurs la luminosité (modeste) de son écran et sa sensibilité aux reflets.
Pour le reste, nous n'avons, à vrai dire, pas grand-chose à reprocher à la ProArt PZ13 sur les plans du design ou de sa conception. Il s'agit d'une tablette bien construite, dotée d'accessoires de qualité. La béquille est efficace, permet une inclinaison pratiquement à plat et s'aimante solidement au dos de l'ardoise, sans trop alourdir ou épaissir l'ensemble. D'ailleurs, avec son clavier et sa béquille, la PZ13 fait à peu près le poids d'un ultraportable de 13 pouces (1,3 kilo au total environ).
Le clavier est lui aussi convaincant, même s'il ne permet pour le coup qu'une utilisation complètement à plat sur un bureau ou une table, contrairement à celui de la Surface Pro, qui peut offrir une légère inclinaison au besoin, au travers de deux zones d'ancrage distinctes.
La profondeur de course y est en tout cas étonnante pour un clavier détachable, et le confort de frappe est tout à fait satisfaisant, proche de ce que permettrait celui d'un bon PC ultraportable. On apprécie aussi la présence d'un grand trackpad, meilleur qu'il en l'air. Précis et cliquable sur toute sa surface, il ne souffre en réalité que de clics un peu trop durs à notre goût.
Côté connectiques, ASUS souffle le chaud et le froid, mais nous réserve tout de même une belle surprise. D'un côté, on peste sur l'absence le prise casque jack 3,5 millimètres, mais de l'autre, on trouve sur le flanc gauche de la tablette deux ports USB-C 4.0 Gen 3 (prenant en charge l'affichage et l'alimentation) et, attention les yeux, un lecteur de carte SD Express 7.0 plein format. Il s'agit d'une véritable rareté sur une tablette, ou même plus largement sur un appareil de 13 pouces.
La tablette embarque pour le reste deux modules photo : un premier de 5 mégapixels en façade, un second de 13 mégapixels au dos. Le premier sert surtout de webcam. Il affiche une image QHD assez médiocre en basse lumière, mais tout à fait exploitable en journée, dans une pièce normalement éclairée. Ce capteur frontal a surtout l'avantage d'être compatible avec l'identification faciale.
La ProArt PZ13 embarque deux modules photo © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Le résultat est correct, sans plus © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Le capteur dorsal sert pour sa part principalement à numériser des documents à la volée, ou pour prendre des photos de manière (très) occasionnelle. Il offre un assez bon piqué de jour, et l'on obtient avec lui des résultats exploitables en soirée. Globalement, on continue néanmoins d'avoir affaire à une qualité d'image proche de celle d'un smartphone d'il y a 10 ans.
Terminons par un mot sur les haut-parleurs. Ces derniers nous proposent un rendu plutôt dans la moyenne, sans s'illustrer nulle part. Les médiums sont, comme souvent, les plus représentés, tandis que les graves sont en retrait. On évite toutefois pour l'essentiel l'effet de boîte auquel on s'attendait, et l'on profite d'aigus plutôt clairs, sans saturation à plein volume. Il faut dire que ce dernier n'est de toute façon guère très élevé.
Écran : une dalle OLED exceptionnellement bien calibrée (mais il y a un mais)
Notre petite ASUS ProArt PZ13 est équipée d'une dalle OLED 2,8K (2 880 x 1 800 pixels) de 13,3 pouces, limitée à une fréquence de 60 Hz. Cet écran OLED, désormais très fréquemment employé sur les PC portables ASUS, nous fait excellente impression… à un détail près : sa luminosité est loin d'être suffisante pour permettre une utilisation confortable en extérieur.
Aidés de nos outils et du logiciel de mesure DisplayCal, nous relevons en effet un pic de luminosité SDR situé à tout juste 377 cd/m2. C'est suffisant pour nous assurer une lisibilité décente en intérieur, mais cela reste beaucoup trop juste pour permettre la même chose dans le cadre d'une utilisation en extérieur, d'autant que le revêtement de l'écran est très brillant, sujet aux reflets. La promesse d'ASUS pour la ProArt PZ13, censée se « distinguer par son excellence dans un environnement extérieur », rappelez-vous, s'effrite donc un peu plus.
Heureusement, l'expérience d'affichage offerte est autrement irréprochable. La technologie OLED nous propose en effet, comme d'habitude, un contraste infini et des noirs d'une profondeur inégalée. Ce contraste confère une belle impression de relief à l'image affiché et contribue à magnifier n'importe quel contenu diffusé à l'écran. On note en revanche un léger effet de blooming lorsque, par exemple, un élément parfaitement blanc est affiché sur un fond parfaitement noir. Mais ce souci reste marginal. Les angles de vision sont quant à eux parfaits, au même titre que l'homogénéité de la dalle.
Malheureusement, l'écran est sujet aux reflets en extérieur © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Sans grande surprise, les principaux espaces de couleur sont pris en charge intégralement, voire plus : 170 % pour le spectre sRGB et 120 % pour le gamut DCI-P3. Rien à redire, c'est parfait, mais la meilleure surprise de cette dalle est à chercher du côté de la fidélité colorimétrique. ASUS a pris soin de calibrer avec minutie son écran, qui affiche ainsi par défaut un Delta E de 0,78 et tout juste 6 483 kelvins. Pour rappel, le Delta E est censé être inférieur ou égal à 3 pour offrir une parfaite restitution des couleurs, tandis que la température de l'écran doit approcher au maximum les 6 500 kelvins du standard vidéo. Nous y sommes parfaitement.
Performances : parée pour le quotidien, beaucoup moins pour la création
L'iPad Pro a sa puce M4, la Surface Pro 11 peut s'équiper d'un processeur Snapdragon X Elite, mais comme nous l'indiquions en début d'article, notre ProArt PZ13 se cantonne pour sa part à un processeur Arm Snapdragon X Plus X1P-42-100. Lancé cet été, ce dernier représente la version la moins performante de la puce de Qualcomm. On y trouve seulement 8 cœurs et 8 threads cadencés à un maximum de 3,2 GHz et 30 Mo de cache.
Sa partie graphique Adreno est par ailleurs nettement moins rapide que celle intégrée aux autres solutions Snapdragon X (1,7 TFLOPS de puissance brute, contre 3,8 TFLOPS sur le Snapdragon X Plus X1P-64-100, par exemple). On y trouve néanmoins une partie NPU Hexagon développant jusqu'à 45 TOPS de puissance de calcul consacrée à l'IA, soit autant que sur les autres Snapdragon X Plus/X Elite.
Ce SoC, que nous avions déjà testé sur la version la plus abordable du Vivobook S15, en septembre, s'avère efficace pour les tâches du quotidien (bureautique, multimédia léger, navigation web), mais affiche d'importantes limites pour les activités plus avancées, comme l'utilisation de logiciels de création pour du montage vidéo ou de la retouche photo. Ça tombe mal, la PZ13 est censée être à l'aise sur ce type d'usages.
Pour faire court, la retouche photo par Adobe Lightroom est possible sans trop de problèmes, mais l'expérience d'utilisation reste globalement poussive, avec des interactions qui ne sont pas instantanées et des durées de traitement allongées par rapport à ce que proposent des appareils mieux pourvus sur le plan graphique. Le montage vidéo en 4K est quant à lui laborieux et lent sur DaVinci, trop pour conseiller la PZ13 à quiconque souhaiterait en faire régulièrement.
Sur le plan des benchmarks, nous retrouvons peu ou prou le niveau de performances nous observions en septembre sur le Vivobook S15, équipé de la même puce. Malgré tout, format tablette oblige, on sent que le Snapdragon X Plus X1P-42-100 est en partie castré sur la PZ13, en tout cas en calcul multi-core.
Voyez plutôt : sur Cinebench R24, à configuration équivalente, l'ASUS Vivobook S15 obtenait 108 points en single-core et 756 points en multi-core, tandis que notre PZ13 se limite à 106 points en single-core et 673 points en multi-core. Pour comparaison, la Surface Pro 11 en version Snapdragon X Elite (X1E-80-100) glanait 123 points en single-core et 824 points en multi-core sur le même outil.
Autant dire que nous ne sommes pas tout à fait sur les mêmes échelles de valeur, mais ce n'est pas une surprise. La vocation créative de la tablette s'éloigne donc toujours un peu plus, et l'écart entre l'identité marketing de ce produit et la réalité de ce qu'il permet se creuse.
Sur le plan graphique, et sans que cela nous surprenne non plus, l'ardoise d'ASUS se confronte également aux limites intrinsèques de son processeur, mais pas seulement. Dotée d'une puce Arm, la PZ13 se coltine aussi la baisse de performances induite par l'émulation imposée à de nombreux jeux et logiciels Windows non optimisés pour cette architecture.
Dans ce contexte, difficile par exemple d'animer Shadow of the Tomb Raider dans de bonnes conditions sur notre PZ13. Le titre, qui nous sert depuis plusieurs années à tester la partie graphique intégrée de nombreux SoC et APU, n'est pas animé à plus de 14 images par seconde en moyenne sur notre ProArt PZ13, et ce, alors que nous nous limitons à des réglages Full HD+/Moyens seulement. Ces piètres performances 3D confirment là aussi les lacunes du produit en utilisation poussée.
Côté refroidissement en revanche, ASUS s'en tire avec les honneurs. Le ventilateur embarqué reste silencieux en usage intensif, et les températures ne montent pas bien haut. En effet, nous ne relevons que 44 décibels en moyenne lors d'un long stress test sur AIDA64, pour une température maximale d'un peu plus de 40 °C, uniquement sur la tranche supérieure du châssis.
Les performances du SSD, pour leur part, sont supérieures à la moyenne pour ce type de produit, avec 5 278 Mo/s en lecture et 4 952 Mo/s en écriture. C'est excellent. Cela contribue à la réactivité globale du système, mais aussi à des transferts de fichiers rapides.
Autonomie : autant qu'une Surface Pro 11, ou plus ?
L'ASUS ProArt PZ13 est dotée d'une batterie de 70 Wh plutôt conséquente pour une tablette. Couplée à un processeur très sobre sur le plan énergétique, cette capacité permet à l'appareil de nous offrir une autonomie généreuse, que nous estimons à un peu plus de 12 heures en lecture vidéo en continu sur YouTube, en 1080p, avec un casque branché, les réglages d'alimentation favorisant l'endurance sur batterie, et la luminosité de l'écran poussée à 100 %. Avec ses 8 à 10 heures d'autonomie, la Surface Pro 11 est donc battue.
Notez toutefois que cette autonomie est nettement (et assez étrangement) amputée lorsque le clavier est branché. Dans ce contexte, et même lorsqu'on coupe le rétroéclairage, il faut retrancher 1 à 2 heures d'utilisation sur batterie, ce qui limite malheureument la portée de notre PZ13 sur ce terrain. On peut néanmoins imaginer qu'une mise à jour logicielle permettrait d'atténuer l'impact du clavier sur l'autonomie à l'avenir. Reste à savoir si ASUS y travaille. Plus de 6 mois après le lancement de cette tablette, cela serait toutefois surprenant.
La recharge se fait en tout cas à l'aide d'un bloc USB-C de 65 watts, le même fourni par ASUS avec ses ultraportables Vivobook et Zenbook. Il permet de faire le plein d'énergie en plus ou moins 2 heures sur secteur.
ASUS ProArt PZ13 : l'avis de Clubic
Mais pourquoi diable l'avoir positionnée comme une tablette créative et baroudeuse ? Sur ce point, nous ne parvenons pas à comprendre le raisonnement d'ASUS… et c'est à vrai dire surtout cette approche marketing qui est problématique. Car pour le reste, la PZ13 est une excellente tablette Windows. Voilà, c'est dit.
L'ardoise du constructeur taïwanais (qui s'est forgée une certaine expérience sur ce terrain au fil des ans) est convaincante sur bien des points. Elle profite en outre d'un placement tarifaire nettement plus avantageux que ce que proposent actuellement certaines de ses concurrentes. ASUS est également aux petits soins côté affichage et parvient à nous délivrer une autonomie appréciable.
Malheureusement, du point de vue d'un utilisateur créatif, cette petite PZ13 s'avère indubitablement trop limitée sur le plan des performances (notamment graphiques), mais aussi trop juste en matière de luminosité pour autoriser une (véritable) utilisation en extérieur.
Si vous visiez avant tout les usages avancés et au grand air, cette tablette n'est, n'en déplaise à ASUS, pas vraiment faite pour vous.
- Placement tarifaire intéressant (nombreux accessoires fournis)
- La dalle OLED parfaitement calibrée
- Autonomie généreuse (10 à 12 heures)
- Le lecteur de cartes SD plein format (rarissime sur une tablette)
- Performances limitées du Snapdragon X Plus en usage créatif
- Tablette peu adaptée à une vraie utilisation en extérieur
- Écran très brillant, pas assez lumineux
- Pas de prise jack de 3,5 mm
Concurrence : quelles alternatives à l'ASUS ProArt PZ13 ?
- Puissance et maîtrise grâce à ARM
- L’OLED pose enfin ses valises sur la Surface Pro
- Excellent clavier / trackpad détachable
- Une finesse remarquable
- Écran OLED somptueux
- Processeur M4, au-dessus de la mêlée
Fiche technique ASUS ProArt PZ13
Processeur | Snapdragon X Plus X1P-42-100 |
Taille de la mémoire | 16Go |
Carte graphique | iGPU Qualcomm Adreno |
Taille de l'écran | 13.3 pouces |
Taux de rafraîchissement | 60Hz |
Système d'exploitation | Windows 11 |
Processeur | Snapdragon X Plus X1P-42-100 |
Type de processeur | 8 coeurs / 8 threads |
Fréquence du processeur | 3.2GHz |
Finesse de gravure | 4nm |
Taille de la mémoire | 16Go |
Type de mémoire | DDR5 |
Carte graphique | iGPU Qualcomm Adreno |
VR Ready (réalité virtuelle) | Non |
Taille de l'écran | 13.3 pouces |
Taux de rafraîchissement | 60Hz |
Type de dalle | Dalle AMOLED |
Type d'écran | OLED |
Résolution d'écran | 2.8K |
Format de l'écran | 16/10 |
Dalle mate / antireflet | Non |
NVIDIA G-SYNC | Non |
Écran tactile | Oui |
Configuration disque(s) | SSD |
Disque principal | 1 To |
Disque secondaire | 1 slot M.2 NVMe |
Lecteur optique | Aucun |
Emplacement mSATA/M.2 | M.2 (occupé) |
Lecteur de carte mémoire | Carte SD |
Connectiques disponibles | USB 4.0 Type C |
Wi-Fi | Oui |
Version Wi-Fi | 7 |
Bluetooth | Oui |
Version Bluetooth | 5.4 |
Webcam | Oui |
Haut-parleurs | Intégrés |
Clavier | Azerty |
Clavier rétroéclairé | Oui - Couleur unique |
Pavé numérique | Non |
Lecteur d'empreinte digitale | Non |
Épaisseur | 90mm |
Longueur | 297.5mm |
Largeur | 202.9mm |
Poids | 850g |