En France, la Répression des fraudes (DGCCRF) rend son bilan. Elle considère que la marque a bien trompé ses clients de manière intentionnelle. « Il y avait manifestement dans le logiciel qui pilote les véhicules des morceaux qui pouvaient fausser les résultats lors des contrôles des émissions atmosphériques », explique Nathalie Homobono, directrice générale de l'organisme.
Si Volkswagen est donc clairement reconnu coupable, la question subsiste pour d'autres constructeurs (13 au total étaient visés par l'enquête). Pour Renault, les investigations se poursuivent et plusieurs éléments des logiciels embarqués sont toujours en cours d'analyse. Pour autant, rien ne permet encore d'affirmer que la marque française a délibérément trompé ses clients.
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