Un marché longtemps dominé par les opérateurs et leur logique « premium » (type kiosque Gallery) mais qui commence à évoluer vers un modèle de création de trafic et de monétisation par la publicité.
« Le développement de la publicité mobile reste toutefois tributaire de nouveaux forfaits illimités et de nouveaux terminaux multimedia comme le iPhone ou le N95 » ont expliqué les différents intervenants.
Un marché de l'internet mobile qui reste toutefois encore contrôlé ces mêmes opérateurs. Malgré les efforts de pure players du web comme Google, Yahoo ou Microsoft, les intervenants estiment que 80% de l'inventaire publicitaire reste entre les mains des opérateurs pour un budget global estimé à 20 millions d'euros en 2007.
Un environnement qui permet déjà à des sites mobiles comme par exemple Voyage-SNCF de toucher des centaines de mobinautes chaque jour, attirés par des bannières, des mots-clef ou de l'affiliation, et générant déjà plus de 80 ventes de billets.
Une internet mobile encore cher, peu ergonomique, tributaire des politiques marketing des grands opérateurs mais qui commence toutefois à séduire le grand public puisque la dernière étude médiamétrie estimait que 11 millions de « mobinautes » consommaient désormais chaque mois des services multimédia mobiles...
