« Nous avions rencontré les équipes européennes de Google avant de nous lancer dans l'aventure. Entre temps, Google Inc. a pris la décision de ne plus poursuivre sa collaboration avec les moteurs de recherche incitant à utiliser son service via la rémunération d'un tiers (une association par exemple). Les équipes de Google France ne nous ont pas donné de raison précise pour expliquer cette décision. Pour continuer à garantir la meilleure qualité de service, nous avons donc décidé de nous rapprocher de Yahoo pour proposer son flux en exclusivité sur les recherches web et image» nous explique Guillaume Heintz, fondateur de Veosearch.
Un mal pour un bien puisque VeoSearch, qui revendique déjà près de 5 millions de recherches mensuelles sur ses index pour un total de 28 000 euros collectés en neuf mois, estime que ses nouveaux partenariats lui permettront d'améliorer la monétisation de son audience et, in fine, le financement des associations.
