La nouvelle a propulsée le titre NVIDIA à la baisse avec une chute de près de 25% de son cours de bourse. Pour expliquer cette révision de ses résultats, NVIDIA invoque les baisses de prix sur certaines puces graphiques du fait d'une concurrence renouvelée mais aussi le retard de production de certaines puces. Parallèlement la firme fait état d'une charge comprise entre 150 et 200 millions de dollars suite à un problème de fabrication sur de précédentes générations de puces graphiques et de chipsets résultant en des taux de retour anormalement élevés dans certaines configurations d'ordinateurs portables notamment. Ainsi, NVIDIA serait victime de plusieurs facteurs sans oublier un second trimestre particulièrement calme.
NVIDIA chute et revoit ses prévisions à la baisse
La nouvelle a propulsée le titre NVIDIA à la baisse avec une chute de près de 25% de son cours de bourse. Pour expliquer cette révision de ses résultats, NVIDIA invoque les baisses de prix sur certaines puces graphiques du fait d'une concurrence renouvelée mais aussi le retard de production de certaines puces. Parallèlement la firme fait état d'une charge comprise entre 150 et 200 millions de dollars suite à un problème de fabrication sur de précédentes générations de puces graphiques et de chipsets résultant en des taux de retour anormalement élevés dans certaines configurations d'ordinateurs portables notamment. Ainsi, NVIDIA serait victime de plusieurs facteurs sans oublier un second trimestre particulièrement calme.
Passionné d'informatique depuis mon premier Amstrad 3086 XT et son processeur à 8 MHz, j'officie sur Clubic.com depuis ses presque débuts. Si je n'ai rien oublié d'Eternam, de MS-DOS 3.30 et de l'ineffable Aigle d'Or sur TO7, je reste fasciné par les évolutions constantes en matière de high-tech. Bercé par le hardware pur et dur, gourou ès carte graphique et CPU, je n'en garde pas moins un intérêt non feint pour les produits finis, fussent-ils logiciels. Rédacteur en chef pour la partie magazine de Clubic, je fais régner la terreur au sein de la rédaction ce qui m'a valu quelques surnoms sympathiques comme Judge Dredd ou Palpatine (les bons jours). Mon environnement de travail principal reste Windows même si je lorgne souvent du côté de Mac OS X.
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