De fait, Christian Svensson est déçu par les ventes enregistrées de l'autre côté de l'Atlantique alors que le jeu était disponible sur les réseaux Bittorrent le jour même de sa sortie. Il pense qu'une partie du problème pourrait être résolu avec la distribution en ligne, mais la Capacom Japon ne voulait visiblement pas en entendre parler pour Devil May Cry 4... Peut-être pour la venue de Bionic Commando ?
Toutefois, si Capcom fait aujourd'hui de réels efforts sur ses adaptations PC (nous le verrons cette semaine avec le test Devil May Cry 4 justement), on peut raisonnablement estimer que l'éditeur paye plus ou moins le prix de ses conversions calamiteuses du passé comme celle de Dino Crisis ou de Devil May Cry 3... Chat échaudé craint l'eau froide dit le proverbe !