Une sélection de longs métrages tout droit sortis des studios de Sony Pictures rejoindraient ainsi les rares films de Metro Goldwyn Mayer, disponibles exclusivement aux Etats-Unis. Le site internet de partage de vidéos de Google continuerait ainsi son grand virage vers les contenus professionnels, plus rentables. Tout comme pour l'accord qui est sur le point de se conclure avec Disney, c'est de nouveau le studio qui se chargerait de la publicité, dont les revenus seraient partagés avec YouTube.
À en croire les accords signés avec d'autres plateformes de vidéo à la demande, comme l'exclusivement américain Hulu, Sony Pictures ne devrait proposer
Avec cet hypothétique deuxième accord, et non des moindres, Google pourrait attirer d'autres gros poissons et, qui sait, marcher sur les plates bandes d'Hulu. Reste à exporter ces services en dehors du territoire américain pour en faire profiter le plus grand nombre, et endiguer le téléchargement illégal ?