Ces personnes, selon l'étude, souffriraient d'états dépressifs plus fréquents, ces dépressions étant souvent modérées mais parfois sévères. L'article paru dans le journal Psychopathology indique également que les hommes sont plus enclins à ce genre de comportement que les femmes, et que les jeunes y sont également plus sensibles que les personnes plus âgées.
Catriona Morrison, auteur de l'article, précise que cette « étude appuie l'hypothèse largement partagée selon laquelle le surinvestissement sur des sites Internet qui sont utilisés pour remplacer les relations sociales normales pourrait être lié à des désordres psychologiques comme la dépression et l'addiction ».
L'étude ne répond cependant pas à la question que vous vous posez probablement : le Web attire-t-il comme un aimant les gens à tendance dépressive ou déclenche-t-il ces états pathologiques ?
Source : 01net, Reuters