Stephany Nunneley a tout d'abord tenu à clarifier la question « technologique ». The Witcher 2 : Assassins Of Kings ne se repose effectivement pas sur l'Aurora Engine employé sur le premier opus. Il s'agit d'un « nouveau moteur créé pour l'occasion » et de lever les limitations techniques liées à l'Aurora Engine afin que « le travail des designers, des animateurs et des artistes soit facilité et ne nécessite pas l'intervention systématique des programmeurs ».
Notre confrère s'est ensuite penché sur le scénario, un élément que Tomek Gop n'a bien sûr pas souhaité trop détailler. Au début de l'aventure, l'ordre est restauré dans le Royaume de Temeria et il ne reste plus qu'une région « sécessionniste », la baronnie de Maria Luiza La Valette. Le Roi Foltest demande à Geralt, le héros, de l'accompagner afin de mettre au pas ces derniers rebelles. Geralt préférerait pouvoir suivre sa propre voie, mais comme on ne dit pas non à un Roi, il ronge son frein... pour le moment.
Stephany Nunneley a aussi abordé des « sujets qui fâchent » en parlant notamment des plateformes concernées. Tomek Gop a confirmé la venue du jeu sur PC pour le premier trimestre 2011, mais précise que « concernant les autres plateformes, rien n'a encore été annoncé, rien n'a été promis et rien n'a été montré ». Il en va plus ou moins de même du côté des contenus additionnels (DLC) : « nous y pensons évidemment, nous avons beaucoup d'idées et il y a de larges possibilités, mais nous nous focalisons d'abord sur le jeu ».
Enfin, notre confrère a profité de l'occasion qui lui était donnée pour faire le point sur The Witcher : Rise Of The White Wolf, la version console du premier volet des aventures de Geralt. Tomek Gop précise alors que le projet n'est pas annulé. Faute de moyens, CD Projekt RED en a interrompu le développement, mais ajoute que « la seule chose de sure est que tout le monde aimerait pouvoir y revenir »...