La gestion de la physique semble pourtant matériellement activable, comme tend à le montrer la présentation effectuée au salon Computex à l'aide d'un chipset RD600, et ATI pourrait ne pas attendre aussi longtemps. Néanmoins, Dave Orton a indiqué que les tests étaient toujours en cours et ne semble pas vouloir précipiter le mouvement.
Ce long délai pourrait-il être imputé aux récentes prises de bec, par déclarations interposées, entre le canadien et AGEIA, le créateur de la solution PhysX, une carte PPU (Physics Processing Unit) uniquement dédiée à la gestion des effets physiques ? ATI a en effet affirmé que sa solution était deux fois supérieure à celle d'AGEIA en termes de puissance de calcul, ce à quoi AGEIA a rétorqué que les résultats du canadien n'étaient pas représentatifs de la réalité (voir AGEIA revient sur la physique d'ATI).