En 2004, il fallait 50 Processeurs Xeon pour effectuer le rendu temps réel d'une scène en 640x480 avec un débit de 4 images par seconde. En 2007, le processeur quadri-coeurs Yorkfield en 45nm effectuait le rendu temps réel en 768x768 avec un débit de 90 images par seconde. Aujourd'hui, un système octo-coeurs à base de deux processeurs Xeon X5365 permet de faire le rendu en 1280x720 à un taux de 90 images par seconde. La montée en puissance des processeurs facilite donc le Ray Tracing mais Intel s'est arrêté à ces quelques chiffres et n'a pas détaillé plus en avant ses développements en la matière, se bornant à diffuser la même démo de Quake 4 en Ray Tracing qui circule depuis pas mal de temps déjà. Seule petite indication nouvelle à souligner : le Ray Tracing pourrait également être utilisé pour les rendus physiques. De quoi enterrer le GPU d'ici les dix prochaines années ?
Ray Tracing : Intel dresse un état des lieux
En 2004, il fallait 50 Processeurs Xeon pour effectuer le rendu temps réel d'une scène en 640x480 avec un débit de 4 images par seconde. En 2007, le processeur quadri-coeurs Yorkfield en 45nm effectuait le rendu temps réel en 768x768 avec un débit de 90 images par seconde. Aujourd'hui, un système octo-coeurs à base de deux processeurs Xeon X5365 permet de faire le rendu en 1280x720 à un taux de 90 images par seconde. La montée en puissance des processeurs facilite donc le Ray Tracing mais Intel s'est arrêté à ces quelques chiffres et n'a pas détaillé plus en avant ses développements en la matière, se bornant à diffuser la même démo de Quake 4 en Ray Tracing qui circule depuis pas mal de temps déjà. Seule petite indication nouvelle à souligner : le Ray Tracing pourrait également être utilisé pour les rendus physiques. De quoi enterrer le GPU d'ici les dix prochaines années ?
Passionné d'informatique depuis mon premier Amstrad 3086 XT et son processeur à 8 MHz, j'officie sur Clubic.com depuis ses presque débuts. Si je n'ai rien oublié d'Eternam, de MS-DOS 3.30 et de l'ineffable Aigle d'Or sur TO7, je reste fasciné par les évolutions constantes en matière de high-tech. Bercé par le hardware pur et dur, gourou ès carte graphique et CPU, je n'en garde pas moins un intérêt non feint pour les produits finis, fussent-ils logiciels. Rédacteur en chef pour la partie magazine de Clubic, je fais régner la terreur au sein de la rédaction ce qui m'a valu quelques surnoms sympathiques comme Judge Dredd ou Palpatine (les bons jours). Mon environnement de travail principal reste Windows même si je lorgne souvent du côté de Mac OS X.
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