Pour obtenir l'aval de Bruxelles, les autorités françaises ont décidé de redéfinir et de préciser leurs critères de sélection, avec succès. La Commission a été rassurée. Par ailleurs, l'exécutif européen estime que « l'aide aura un effet restreint sur la concurrence et sur le commerce entre les Etats membres de l'UE ».
Dans la pratique, pour une période de 4 ans, les entreprises de production de jeux vidéo soumises à l'impôt en France pourront déduire jusqu'à 20% des coûts de production de certains jeux.