Concernant ces zones moyennement denses, l'autorité de la concurrence estime dans un communiqué : « si un opérateur privé (le plus souvent France Télécom, seul susceptible d'investir significativement dans ces zones) déploie son réseau, il bénéficiera en principe d'un monopole naturel. Compte tenu de ces particularités, l'Autorité estime qu'une régulation spécifique, différente de celle applicable aux zones très denses, est nécessaire. »
L'autorité affirme donc que « des offres de gros adaptées soient par ailleurs disponibles » afin de faciliter l'arrivée de nouveaux entrants. Désormais, les investissements des opérateurs vont pouvoir se répartir entre plusieurs concurrents (co-investissement) voire avec des collectivités territoriales.
Désormais, l'Arcep va devoir rapporter, dans les prochaines semaines, cette nouvelle réglementation auprès de la Commission européenne. L'actualité prochaine de la fibre devrait donc être chargée.