En effet, le site publie des photographies mais également des captures d'écrans de comptes Facebook de gardiens de la paix. Ces derniers apparaissaient à visage découvert et certaines orientations personnelles étaient également mises en ligne. Le motif de l'atteinte à la vie privée avait donc été mis en avant
Suite à cette condamnation, le site était revenu en ligne via de nombreux sites miroirs et les internautes ont pu à nouveau consulter les informations publiées. Cette remise en route a donc une nouvelle fois été condamnée par le ministère de l'Intérieur et par certains syndicats de policiers.
Selon France Inter, un nouveau procès en référé s'ouvrira ce mardi 7 février suite à une plainte du ministère. Ce dernier accuse le portail de surveiller les forces de police et de publier des contenus permettant de les identifier. Cette fois, le blocage DNS de plusieurs noms de domaines devrait être étudié par la justice.