La Corée du nord a donc fait savoir, par le biais du magazine Forbes, qu'elle n'avait aucun compte sur Twitter, Facebook ou même YouTube. Selon Forbes, Les comptes sont gérés par des soutiens au gouvernement, pas par des agents du gouvernement, qui vivent au Japon et en Chine, pas en Corée du Nord ». Ils sont donc tenus par des supporters du régime, à priori...
Pour appuyer sa position, la Corée précise que les trois services en ligne restent interdits dans le pays. La conclusion est, elle aussi surprenante, le régime explique :« Il y a beaucoup de désinformation, de spéculation et de sensationnalisme à propos de la réalité de la Corée du Nord ». Si pour notre part, un mea culpa doit être fait même si nous relayions alors l'AFP, côté communication, le pays a lui aussi encore à apprendre...