Pire. Certains disques durs, directement disponibles au public depuis des conteneurs, contenaient également des informations potentiellement utilisables par des esprits malveillants. Un audit interne à l'agence a permis de découvrir que certains ordinateurs devant être vendus disposaient encore des adresses des protocoles Internet de la Nasa. Ainsi n'importe quel esprit sachant utiliser ces informations aurait pu se connecter au réseau informatique de l'agence spatiale.
A ce rythme, (et sans parler des fuites/ failles de Wikileaks) c'est Gary McKinnon, le hacker accusé d'avoir pénétré indûment dans les serveurs de la Nasa, pour y chercher des traces d'Ovni, qui va être déçu. Il fait actuellement face à des demandes d'extradition répétées de la part des Etats-Unis. Un simple achat lui aurait finalement suffit...