Des années de développement… Des fuites à n’en plus finir… Des interrogations sans fin… De nombreuses inquiétudes, mais aussi de gros espoirs… Aucune autre montre connectée n’a autant fait parler d’elle. Mais ça y est, la première smartwatch de Google est enfin là. Entre séduction et frustration, découvrez notre test complet de la Pixel Watch.
- Design séduisant
- L’intégration réussie de Fitbit au sein de Wear OS
- Écran AMOLED de qualité
- Interface Material You efficace et fluide
- Autonomie limitée à moins de 48 heures (en faisant des sacrifices)
- Capteurs cardio et GPS qui manquent de précision
- Fitbit Premium dispensable
- Absence de certaines fonctionnalités et métriques
- Bracelets propriétaires
Dire que nous attendions avec impatience la montre connectée de Google serait un doux euphémisme. Jamais notre poignet ne nous avait autant démangé !
Mais c’est quoi au juste la Pixel Watch ? Derrière cette smartwatch se cachent de nombreuses années de développement ainsi que le rachat de Fitbit, société spécialisée dans le sport connecté pour le grand public. Une recette pour le moins prometteuse. Google nous offre une montre WearOS dotée d’un solide suivi de la santé et des activités physiques.
Du moins sur le papier. Comme nous allons le voir, la réalité est parfois toute autre…
Fiche technique Google Pixel Watch
Processeur | Exynos 9110 |
Système d'exploitation | WearOS 3.5 |
Autonomie | 24 heures |
Forme du cadran | Rond |
Taille de l'écran | 1.2 pouces |
Processeur | Exynos 9110 |
Système d'exploitation | WearOS 3.5 |
Smartphones compatibles | Android |
Capacité de stockage | 32Go |
Capacité de la batterie | 294 mAh |
Autonomie | 24 heures |
Nombre maximum de profils | 41 |
Carte(s) SIM compatible(s) | eSIM |
Réseaux cellulaires compatibles | Réseau 4G |
Bluetooth | 5 |
Wi-Fi | 4 |
NFC | Oui |
GPS | Oui |
Accéléromètre et boussole électronique | Oui |
Capteur de lumière ambiante | Oui |
Analyse du sommeil | Oui |
Podomètre | Oui |
Capteur de rythme cardiaque | Oui |
capteur ECG | Oui |
Capteur SpO2 | Non |
Forme du cadran | Rond |
Taille de l'écran | 1.2 pouces |
Type d'écran | AMOLED |
Écran tactile | Oui |
Écran couleur | Oui |
Épaisseur | 12.3mm |
Largeur | 41mm |
Longeur | 41mm |
Poids | 63g |
Le développement de la Pixel Watch a commencé il y a un peu moins de cinq ans. Autant dire un siècle à l’échelle de l’informatique. Et ça se sent à la lecture de la fiche technique.
Outre un SoC Exynos 9110 datant de l’époque de la première Galaxy Watch (2018 quand même…), la montre connectée américaine doit se contenter d’une autonomie assez faiblarde de 24h seulement. Elle fait aussi l’impasse sur le capteur de SpO2, un élément pourtant devenu incontournable même sur des smartwatches à 50 euros…
Il serait cependant dommage de s’arrêter à ces détails, même s’ils ont leur importance. La Pixel Watch a quand même de gros atouts à faire valoir, à commencer par l’intégration des services Fitbit au sein de WearOS. Une grande première pour les deux marques qui espèrent ainsi fédérer autour d’elles les sportifs de tout poil.
On ne peut pas nier non plus que le design particulier de cette montre connectée flatte la rétine. Mais nous y reviendrons plus loin dans ce test. Retenons pour l’instant qu’une certaine inquiétude se fait jour suite à la découverte de la fiche technique de la Pixel Watch. Espérons que Google nous détrompe vite !
Pixel Watch : prix et disponibilité
Avant d’aller plus loin, arrêtons-nous quelques secondes sur le prix de la Pixel Watch. Pour le coup, Google fait simple : il n’y a qu’une seule taille de boitier, en 41 mm. Ce dernier est proposé en version WiFi seulement à 379 euros ou avec WiFi + 4G pour 429€.
On constate que la smartwatch américaine vise un niveau tarifaire plus élevé que ses principales concurrentes, à savoir la Galaxy Watch 5 (299 euros) et l’Apple Watch SE (299 euros aussi). Google aurait-elle les dents un peu trop longues ? C’est ce que nous allons vérifier de ce pas dans notre test de la Pixel Watch.
Design et finitions
S’il y a bien un point qui nous a séduit sur la Pixel Watch, c’est son design. Le look rondouillard et très dépouillé de la montre Google fait immédiatement mouche.
Certes, le boitier de 41 mm est très épais. Mais ce défaut s’oublie finalement assez vite une fois la tocante au poignet. Celle-ci est en effet hyper confortable à porter, malgré un poids conséquent de 63 grammes, bracelet inclus.
Parlons-en d’ailleurs de ce bracelet. Conçu en fluoroélastomère, il flatte le toucher par sa grande douceur. Dommage qu’il soit propriétaire, même si cela permet une intégration parfaite avec le boitier.
L'apparence sobre se retrouve aussi dans les boutons. La Pixel Watch en utilise seulement deux, à savoir une couronne rotative et un bouton allongé. Ce dernier passe totalement inaperçu tant il se fond dans le boitier.
Et la solidité dans tout ça ? Il semble d’après les divers retours sur Internet que la montre connectée de Google souffre de certains défauts, à commencer par un écran très fragile comme signalé par nos confrère du site The Verge. Pour notre part, notre exemplaire de test n’a pas montré de défaut de ce côté. En revanche, la couronne rotative présente un petit jeu qu’il sera avisé de surveiller pour l’avenir…
Écran
Parlons maintenant de ce fameux écran. Son verre incurvé contribue largement à l’esthétique unique de la Pixel Watch. Il faut dire aussi que la dalle AMOLED de 1.2’’ fait plaisir à l’œil grâce à ses jolies couleurs et surtout sa grande luminosité. Le rendu colorimétrique nous a semblé un peu trop chaud, mais se révèle finalement très agréable à l’usage. Point positif : le mode Always On s’adapte à la luminosité ambiante.
Malgré de jolis atouts, l’écran de la Pixel Watch souffre d’un défaut gênant : ses bordures. Tout comme sur la Galaxy Watch 5, nous aurions apprécié moins d’épaisseur de ce côté-là… Pour pallier cet écueil, nous vous recommandons de privilégier des cadrans à fond noir.
Un second défaut se fait jour à l’usage : les reflets. Aussi sexy soient-elles, les rondeurs de la smartwatch américaine jouent contre elle une fois en extérieur. Les reflets sont omniprésents, nuisant au confort de lecture. C’est d’autant plus dommage que l’écran arrive à rester bien lumineux même en plein soleil.
Notre ressenti reste donc mitigé pour le début de ce test. Google a de bonnes idées pour le design, malheureusement gâchées par une mise en pratique pas toujours bien réalisée.
Système d’exploitation
Avec sa Pixel Watch, Google mélange son savoir-faire sur WearOS avec le suivi santé de Fitbit. La promesse est donc double : nous offrir une expérience utilitaire complète ainsi qu’un suivi de la santé solide. En bref, le G des GAFAM veut séduire une très large clientèle, sportive ou non.
Pour l’occasion, WearOS 3.5 profite du tout nouveau design Material You. Celui-ci se veut dépouillé afin d’aller à l’essentiel. Il semble que Google veuille se départir de l’image « complexe » qui colle souvent à son OS pour smartwatch.
Les cadrans de base, très simples et très élégants sont facilement personnalisables avec de nombreuses complications et couleurs. La première approche est particulièrement agréable.
Les paramètres rapides sont dans la même veine. Les fonctions essentielles sont à portée de main : mode NPD, mode Cinéma, sonnerie on/off, luminosité ou encore mode Avion. Google oblige, on retrouve dans ces paramètres rapides des boutons dédiés à Google Home et Google Wallet.
Depuis le cadran principal, des glissements à gauche ou à droite vous amèneront aux « cartes ». Vous pouvez en ajouter comme bon vous semble, le nombre n’est plus limité comme auparavant. Les développeurs tiers paraissent d’ailleurs jouer le jeu avec des cartes de leur propre cru. Bien entendu, les cartes dédiées à la santé proviennent des applications Fitbit.
Parlons d’ailleurs de la liste d’applis. Celle-ci s’affiche avec un appui court sur la couronne rotative. C’est à partir de là qu’on commence à constater les limites de la Pixel Watch. En effet, il est impossible de modifier l’ordre des apps, ni même de les désinstaller depuis cette liste. Impossible aussi de mettre les applis favorites en haut de page. WearOS nous avait habitué à mieux…
Ce sentiment de « pas assez » revient d’ailleurs souvent au fil des jours. La montre connectée de Google manque cruellement d’options de personnalisation. Voici quelques exemples :
- Le mode Coucher ne se déclenche pas automatiquement. On ne peut l’activer que manuellement. Idem pour le mode Ne Pas Déranger.
- Les sports ne sont pas détectés automatiquement.
- Comme vu plus haut, on ne peut pas modifier l’ordre d’affichage de la liste d’applications, ni même créer de favoris pour un accès plus rapide.
- L’assistant vocal saccade lorsqu’il nous parle, ce qui n’est guère agréable.
- La couronne n’est pas toujours prise en charge, par exemple, elle ne fonctionne pas pour naviguer au sein des divers cadrans de la montre.
Nous attendions mieux de la Pixel Watch. WearOS semble régresser sur cette montre, revenant presque à ses débuts où tout devait se déclencher manuellement. Peut-être est-ce une volonté de Google de rendre son système pour wearable plus accessible ? Si c’est le cas, le géant américain devrait revoir sa copie, l’exercice se montrant peu convaincant en l’état.
Application Pixel Watch
Nous nous attendions à retrouver la vénérable appli WearOS pour gérer la Pixel Watch. Il n’en est rien. Google a en effet développé sa propre application pour sa première montre connectée. Sobrement nommée Pixel Watch, celle-ci n’est compatible qu’avec les smartphones Android. Après tout, Apple ne laisse pas sortir son Apple Watch de son écosystème, il peut sembler logique que Google fasse de même avec son matériel. C’est néanmoins regrettable pour les utilisateurs qui se voient contraints de choisir une plateforme et de s’y tenir sous peine d’incompatibilité…
Mais passons. Voyons plutôt à quoi ressembler l’application Pixel Watch. Cette dernière est à l’image de la montre connectée : dépouillée et très sobre. Tous les paramètres sont accessibles depuis le menu principal, à commencer par les cadrans et cartes.
Vous pourrez aussi gérer les notifications à afficher ou non sur l’écran de votre tocante. Si vous possédez un modèle LTE avec eSIM, c’est par l’appli qu’il faudra passer pour gérer le réglage de l’opérateur.
Afin de ne pas alourdir ce test, nous ne rentrerons pas dans les détails de chaque paramètre. Retenez juste qu’il y en a finalement assez peu. La plupart sont accessibles depuis la montre. Hormis le réglage des notifications et le premier appairage, vous n’aurez finalement jamais à ouvrir l’appli Pixel Watch.
Application Fitbit
Pour tirer pleinement parti de la Pixel Watch, une seconde application sera à installer sur votre smartphone Android : Fitbit.
Comme vous devez vous en douter, elle sert principalement à suivre vos données de santé. Elle n’a pas changé depuis notre test de la Versa 3 l’an dernier. Nous vous invitons donc à relire nos précédents avis pour vous faire une idée de ses capacités.
Précisons juste que tout achat de Pixel Watch est récompensé par un accès gratuit de six mois au service Fitbit Premium. Celui-ci vous donnera accès à plus de données comme l’analyse du stress, le score d’aptitude ainsi que le score de sommeil détaillé.
Rien ne vous oblige à vous inscrire après la période d’essai. Nous regrettons juste que Google demande un abonnement pour des données que d’autres constructeurs mettent à disposition de leurs utilisateurs sans aucun supplément tarifaire…
Fonctions sport
Continuons ce test de la Pixel Watch en parlant de ses capacités de suivi sport et santé. Avec le rachat de Fitbit, Google dispose de solides bases pour séduire les sportifs. La smartwatch américaine embarque d’ailleurs plusieurs applis Fitbit dont Fitbit Today, Fitbit Exercise et ECG Fitbit. De quoi mettre à genoux la concurrence sous WearOS ?
Profils sportifs et métriques
C’est la mode de l’ECG ces dernières années. Impossible pour Google de faire l’impasse sur cette métrique utile pour détecter d’éventuels symptômes de fibrillation auriculaire. En plus, son utilisation reste très simple puisqu’il suffit de poser l’index sur la couronne durant quelques secondes pour obtenir un résultat. Rappelons quand même que la Pixel Watch ne remplace pas un vrai dispositif médical. Google le rappelle bien au sein de ses diverses apps.
Hormis l’ECG, la montre connectée venue des USA capture la plupart des mesures habituelles sur ce type de matériel : nombre de pas, rythme cardiaque, minutes intensives, qualité du sommeil… Étrangement, le suivi du SpO2 manque à l’appel. C’est pourtant devenu une métrique récurrente, même en entrée de gamme. On imagine que le développement très long de cette montre a dû jouer sur ce choix.
Il manque aussi des métriques poussées comme la charge d’entraînement ou le temps de récupération. Il n’y a pas non plus de coaching par IA comme chez la concurrence. La Pixel Watch reste basique dans son approche.
Précision
Quoi qu’il en soit, voyons maintenant si les relevés de la Pixel Watch sont dignes du prix demandé. La réponse est malheureusement négative. Durant nos essais, le capteur cardio optique a montré quelques lacunes qu’on retrouve d’ordinaire sur des smartwatches à moins de 200 euros.
La règle générale est la suivante : la montre a une tendance à sous-estimer le rythme cardiaque de 2 à 5 bpm. On note parfois même une coupure complète des mesures. La montre tend aussi à avoir un certain retard lors de variations brusques de rythme, mais c’est souvent le cas pour les capteurs optiques qui sont moins précis que des électrodes. Le bilan reste donc mitigé pour nous. La Pixel Watch ne siéra pas à des sportifs exigeants.
Même chose pour le suivi GPS. La petite montre Google a bien du mal à garder le cap et marque vite de gros écarts entre le chemin réel et le tracé représenté en fin d’activité physique. Tout comme pour le rythme cardiaque, on évitera de se fier pleinement aux données relevées. Ajoutons au passage qu’il n’y a aucun système de navigation pas-à-pas sur cette montre.
Voyez plutôt la Pixel Watch comme un outil pour garder un œil sur votre forme. Privilégiez des montres plus spécialisées si le sport est votre priorité.
Fonctions utilitaires
WearOS est probablement le concurrent le plus sérieux de WatchOS en matière de fonctions utiles au quotidien. Ce n’est pas pour rien que même Samsung a cédé aux sirènes de ce système d’exploitation avec sa Galaxy Watch 5.
Difficile de le nier : on peut faire plein de choses avec la Pixel Watch. Ça va du paiement sans contact avec Google Wallet à l’écoute de musique via YouTube Music en passant par la création de notes sur Keep. L’interaction avec les applis Google est évidemment très forte. Pour ça, la Pixel Watch n’a pas à rougir de la concurrence.
Nous attendons maintenant que Google développe encore plus ces interactions dans les mois à venir. La marque américaine promettait par exemple l’utilisation hors-ligne de Maps. Ou l’intégration poussée de sa montre à l’environnement Google Home. À l’heure actuelle, ces promesses n’ont pas été réalisées.
On pourra aussi pointer du doigt quelques petits couacs dûs à l’âge avancé du SoC Exynos 9110. La montre est ainsi particulièrement longue à démarrer. Il arrive parfois que l’assistant vocal américain mette du temps à produire une réponse après une simple demande comme le lancement d’un minuteur. Avec l’augmentation croissante de la demande en puissance des applications, il y a de fortes chances que la Pixel Watch perde vite de sa superbe dans les années à venir.
Soyez quand même rassurés : la smartwatch de Google reste très réactive dans 95% des cas, preuve que le géant de Mountain View maitrise bien le côté logiciel.
Autonomie
Dans sa lutte contre Apple, il semble que Google cherche un peu trop à ressembler à son rival de toujours. Cela se traduit par une autonomie annoncée à 24 h. On savait WearOS gourmand, mais là ça fait beaucoup, surtout face à d’autres montres qui utilisent ce système et tiennent au moins 48 h entre chaque charge.
C’est donc avec une certaine appréhension que nous avons lancé nos essais d’autonomie pour la Pixel Watch. Devinez quoi ? Nous avons eu une bonne surprise de ce côté !
Lors des premiers jours, nous avons suivi le protocole suivant :
- Mode Coucher activé de 23 h à 8 h du matin ;
- Allumage de l’écran lors de la réception de notifications ou d’un appui sur la dalle.
- 20 minutes de marche avec suivi cardio + GPS par jour ;
- Écran Always On activé en permanence ;
Dans ces conditions, la montre aura vidé intégralement sa batterie en 26 h environ. Plutôt pas mal sachant que le boitier reste cantonné à une taille de 41 mm.
Par la suite, nous avons coupé le mode Always On et n’avons pas fait de sport. En gros, nous avons tenté de garder la batterie pleine le plus longtemps possible. Dès lors, le temps d’utilisation a grimpé à 43 h approximativement.
Soyons clair : ces temps n’ont rien d’exceptionnel. Ils indiquent cependant que Google ne nous vend pas une autonomie gonflée comme c’est souvent le cas chez la concurrence. Vous ne couperez donc pas à la recharge quotidienne, vous êtes prévenus !
D’ailleurs, cette fameuse recharge se veut assez rapide. Google annonce ainsi un gain de 50 % de batterie en seulement 30 minutes sur le socle magnétique. Une fois de plus, ce temps est respecté par la filiale d’Alphabet. Comptez quand même 1 h 15 pour passer de 0 à 100 %. C’est suffisamment rapide pour ne pas devenir trop pénalisant à faire cette recharge chaque jour.
Google Pixel Watch : l’avis de Clubic
Attendue de longue date, la Pixel Watch est finalement une petite déception. Non pas qu'elle soit mauvaise. Mais cette montre connectée a bien du mal à se démarquer face à une concurrence mieux équipée, mieux optimisée et moins onéreuse… On retiendra d’elle son design rondouillard qui flatte l’œil ainsi que son grand confort et son bel écran AMOLED. C’est malheureusement tout ce qui fait la différence, le reste ayant du mal à se hisser au niveau de la concurrence.
Le suivi sportif n’est pas à la hauteur des standards actuels à 400 euros. Idem pour l’autonomie, limitée à une journée (sauf à faire pas mal de concessions). À moins que le design de la Pixel Watch ne vous tape dans l’œil, nous vous conseillerons plutôt de vous orienter vers la Galaxy Watch 5, bien plus complète et moins chère. Ou alors, attendez l’arrivée des futures smartwatches Wear OS avec les SoC Snapdragon W5.
- Design séduisant
- L’intégration réussie de Fitbit au sein de Wear OS
- Écran AMOLED de qualité
- Interface Material You efficace et fluide
- Autonomie limitée à moins de 48 heures (en faisant des sacrifices)
- Capteurs cardio et GPS qui manquent de précision
- Fitbit Premium dispensable
- Absence de certaines fonctionnalités et métriques
- Bracelets propriétaires
15 octobre 2024 à 11h45