Panasonic GX1 : le retour du compact à objectif interchangeable expert
Le retour d'une ergonomie pour expert
Le nouveau « Panasonic Lumix GX1 » reprend effectivement les aspects du GF1 qui sont chers aux photographes expérimentés, et qui ont depuis disparu du GF3, dernier descendant de la famille offrant l'ergonomie d'un compact grand public.
On retrouve donc pour commencer un barillet de sélection de mode, évincé dès le GF2, offrant deux modes personnalisés (avec le C de custom), une molette de réglage qui tombe sous le pouce et des boutons supplémentaires, au dos du boîtier et dans l'interface tactile, dont quatre commandes assignables à 25 fonctions.
Le « GX1 » marque également le grand retour de la griffe porte accessoire et d'un nouveau port d'extension, qui peuvent tout particulièrement accueillir un nouveau viseur électronique, le « LVF2 », variante amovible et orientable du viseur du G3, affichant une confortable définition SVGA (800 x 600 pixels soit 1,44 millions de points). L'écran tactile de 3 pouces (7,6 cm) affiche quant à lui 460 000 points.
La fiche technique d'un G3
Le « DMC-GX1 » hérite d'ailleurs de l'essentiel de la fiche technique de ce dernier, à commencer par son capteur Live MOS de 16 millions de pixels au format Four Thirds (17,3 x 13 mm). Associé à une puce de traitement Venus Engine FHD triple-cœur, il photographie jusqu'à 12 800 ISO et jusqu'à 4,2 images par seconde, et filme au format AVCHD en Full HD 1080i (et non en 1080p en dépit de l'avènement de l'AVCHD 2.0) avec son stéréo. L'autofocus amélioré promet une mise au point en 1/10 de seconde.
Enfin, il sera livré en standard avec le nouveau zoom motorisé Lumix G X 14-42 mm (équivalent 28-84 mm), qui présente l'intérêt d'être à peine plus épais au repos que la focale fixe ultraplate (pancake), ce qui facilite son transport.
Le « Panasonic Lumix GX1 » et son zoom 14-42 mm seront commercialisés en France d'ici Noël au prix public de 800 euros. Le viseur électronique optionnel sera quant à lui vendu la coquette somme de 200 euros.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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