De son côté, Honeywell possède une division baptisée « Automatismes et solutions de contrôle » produisant et vendant également des ordinateurs portables renforcés. C'est pourquoi les autorités communautaires avaient scruté le marché afin d'estimer si ce rachat risquait de nuire à l'ensemble de la concurrence, et donc au consommateur.
Après avoir mené ses investigations, la Commission européenne précise dans une note que « Honeywell continuera, après l'opération, de faire face à la concurrence d'un certain nombre de fournisseurs crédibles sur tous ces marchés ». La conclusion est identique sur le segment des fournisseurs de logiciels de reconnaissance vocale.