Ces derniers permettent alors de proposer des résultats de recherche a priori pertinents au regard des habitudes d'un utilisateur. Certains sites comme TechCrunch ou le Huffington Post intégreront donc ce type d'outil afin de favoriser la recommandation de ces contenus texte ou vidéo.
AOL indique avoir mis 83 millions de dollars sur la table des négociations pour obtenir la technologie développée par Gravity. La solution, déjà proposée auprès de clients tels que Sony, Intel ou USA Today sera déployée en direction de nouveaux supports.
Dans un communiqué, Tim Armstrong, le p-dg du groupe précise sa pensée. Il explique : « le Web tend désormais vers une ère dans laquelle tout est personnalisé, et un filtre Web personnel va remodeler la manière dont les consommateurs ont accès à des informations et des services ».
L'enjeu n'est donc pas uniquement éditorial puisque l'ambition du groupe américain est également de permettre aux annonceurs publicitaires en contrat avec AOL de fournir des contenus spécifiques. Par ce biais, le groupe pourra donc proposer des campagnes de publicité plus ciblées.