Cette déclaration est la confirmation de l'opposition de l'administration Obama au projet CISPA (Cybersecurity Intelligence Sharing and Protection Act). La semaine dernière, la porte-parole de la Maison-Blanche chargée de la sécurité nationale ne citait pas directement le texte sur la sécurité mais souhaitait que les projets de loi similaires à CISPA comportent à l'avenir des mesures visant à protéger les internautes.
Malgré cette opposition, des sociétés comme Facebook ou encore Microsoft, IBM, et Symantec ont tenu à défendre la loi en expliquant qu'aucune donnée personnelle ne pourra être échangée entre les plateformes en ligne. L'avenir de cette loi sera prochainement connu de tous puisqu'un vote est prévu vendredi devant la Chambre des Représentants.