Du coup, 38 Etats américains poursuivent désormais la firme et demandent même le nom de celui qui a développé le code et de celui qui l'a autorisé dans les voitures. C'est en tout cas l'avis du procureur général du Connecticut, Richard Blumenthal.
Sur un site officiel de l'Etat américain, la demande précise que « Nous demandons à Google d'identifier les individus responsables du code de snooping et comment Google ne savait pas que ce code a permis aux voitures Street View de collecter les données diffusées à travers les réseaux Wi-Fi. »
A défaut de réponse claire, une action collective pourrait se poursuivre. D'un côté, si l'insertion du code est une erreur, la firme s'en sortira à bon compte, sinon les ennuis risquent de continuer.