Lucide quant à sa situation, mais fière de son héritage, Motorola fait peau neuve. Nouveau langage visuel, nouvelles campagnes de pub visant à rajeunir sa clientèle : tout y passe. Une table rase qui, lorsqu’on est journaliste tech, force le respect et intrigue. Les promesses sont-elles tangibles, ou nous agite-t-on simplement du verbiage marketing au visage ?
Difficile à dire au sortir d’un briefing presse aussi enjoué et incarné que celui auquel nous avons participé la semaine dernière. Mais soyons clairs : si les ambitions de reconquête affichées par Motorola nous ont donné à voir une marque qui se retrousse les manches et qui en veut, les nouveaux smartphones lancés par le constructeur sur le marché ne soutiennent absolument pas cet idéal.
- Autonomie démentielle
- Les photos de jour
- Le contraste de l'écran LCD
- Compatible 5G pour pas trop cher
- Un écran 720p atrocement calibré
- Moins performant que le Moto G 5G
- Le rapport qualité-prix n'y est pas
Motorola Moto G50 : la fiche technique
Première anicroche : le positionnement du Motorola Moto G50. Qualifié de moyenne gamme, le téléphone est lancé au même prix que le très bon Motorola Moto G 5G que nous testions en fin d’année dernière. Pourquoi cet embouteillage ? Motorola n’a pas su nous répondre ; arguant que ce dernier était à considérer comme « en fin de vie », pour mieux laisser la place au Moto G50 que voici.
Fiche technique Motorola Moto G50
Taille de l'écran | 6.5 pouces |
Taux de rafraîchissement | 90Hz |
Mémoire interne | 64 Go |
Mémoire vive (RAM) | 4 Go |
Capacité de la batterie | 5000 mAh |
Charge rapide | Non |
Définition du / des capteur(s) arrière | 48+5+2 mégapixels |
Système d'exploitation | Android |
Version du système d'exploitation | 11 |
Surcouche Android | Stock |
Assistant vocal | Google Assistant |
Taille de l'écran | 6.5 pouces |
Type d'écran | LCD IPS |
Définition de l'écran | 720 x 1600 pixels (HD+) |
Taux de rafraîchissement | 90Hz |
Densité de pixels | 269 |
Écran HDR | Non |
Mémoire interne | 64 Go |
Stockage extensible | Oui |
Processeur | Snapdragon 480 |
Finesse de gravure | 8nm |
Nombre de cœurs CPU | 8 |
Fréquence CPU | 2GHz |
GPU | Adreno 619 |
Mémoire vive (RAM) | 4 Go |
Capacité de la batterie | 5000 mAh |
Batterie amovible | Non |
Recharge sans-fil | Non |
Charge rapide | Non |
Puissance de la charge rapide | 10W |
Nombre de caméras (avant & arrière) | 4 |
Définition du / des capteur(s) arrière | 48+5+2 mégapixels |
Définition du / des capteur(s) avant | 13 mégapixels |
Enregistrement vidéo | 1080p60 |
Flash Frontal | Non |
Taille des photosites objectifs arrière | 0.8 µm ; 1.12 µm |
Taille des photosites objectifs frontaux | 1.12 µm |
Ouverture objectif photo arrières | ƒ/1,7 ; ƒ/2,4 ; ƒ/2,4 |
Ouverture objectif photo frontaux | ƒ/2,2 |
Zoom Optique | Non |
Carte(s) SIM compatible(s) | Nano-SIM |
Compatible double SIM | Oui |
Compatible 5G | Oui |
Wi-Fi | ac |
Bluetooth | 5 |
NFC | Oui |
GPS | Oui |
Type de connecteur | USB-C |
Lecteur biométrique à empreinte digitale | Oui |
Capteur de reconnaissance faciale | Reconnaissance faciale 2D |
Acceleromètre | Oui |
Gyroscope | Oui |
Prise Jack | Oui |
Nombre de haut-parleurs | 1 |
Hauteur | 164.9mm |
Largeur | 74.9mm |
Epaisseur | 9mm |
Poids | 192g |
Certification IP | Non |
DAS tête | 0.99 W/kg |
DAS tronc | 1.49 W/kg |
DAS membres | 3.18 W/kg |
Le hic, c’est que ce nouveau modèle nous apparaît moins alléchant sur tous les aspects. Son processeur ? Moins rapide. La photo ? Moins polyvalente. Mais le pire, c’est son écran. Une dalle 720p en 2021 sur un téléphone vendu 249 €. Il n’y a plus guère que Motorola qui se risque à ce genre d’exercice périlleux sur le marché. Même le Redmi Note 10, vendu 199 €, propose du Full HD+. Mieux ! Il s’agit d’une dalle AMOLED.
Dans sa boîte, le Moto G50 est livré avec un adaptateur secteur 10W, un câble USB-C, un kit mains libres et une coque de protection en silicone transparent.
Design : une bonne prise en main
Malgré un écran 6,5 pouces, le Moto G50 affiche encore de larges bordures et ne peut donc pas être qualifié de « compact ». Toutefois, ses dimensions sont bien équilibrées et son poids bien réparti pour une prise en main satisfaisante.
Fidèle à ses habitudes, Motorola reprend ici l’essentiel de ses marqueurs. On trouve donc un bouton dédié à Google Assistant (non reconfigurable) juste au-dessus de la réglette du volume et du bouton de mise sous tension. À l’arrière, on retrouve également l’excellent capteur d’empreintes qui, bien qu’un peu old school, fait parfaitement son travail.
Les différents capteurs photo ne sont pas proéminents pour un sou, et assurent donc au téléphone une stabilité parfaite lorsqu’il est posé à plat.
Petite originalité de ce Moto G50 : il profite d’un contour plus plat que sur les autres appareils du constructeur. Un petit changement qui ne paie pas de mine, mais qui contribue à moderniser (un peu) la formule.
Le nouveau Motorola n’embarque qu’un seul haut-parleur, sur la tranche basse. Il a pour voisin le port USB-C et jack 3,5 mm.
Enfin, rappelons que le smartphone ne sera pas forcément le meilleur ami des maladroits. Il n’est pas certifié IP contre les éclaboussures ou l’immersion, et aucune information ne nous a été fournie sur le verre qui protège l’écran. Autant dire qu’on n’est pas sur du Gorilla Glass de dernière génération. Le tour et le dos du smartphone sont en plastique qui, pour le coup, a l’air plutôt résistant aux chocs.
Écran : ni fait, ni à faire
En toute franchise, je n’explique pas qu’on puisse encore, en 2021, et a fortiori pour un « renouveau » se prendre un mur aussi facilement évitable.
On l’a dit : le Moto G50 est doté d’un écran LCD de 6,5 pouces affichant une définition HD+. Ce qui nous donne une densité de pixels de 269 ppp seulement. Pour le dire autrement, ça pique les yeux. Au point que la police de caractère affiche sur certaines applications un crénelage que l’on pensait ne plus jamais revoir sur des smartphones aujourd’hui.
Pourtant, Motorola a jugé bon d’offrir à son écran une fréquence de rafraîchissement de 90 Hz. C’est fluide, mais c’est moche. Rappelons aussi que, si l’écran du Moto G 5G était plafonné à 60 Hz, il disposait — pour le même prix — d’une dalle Full HD+.
Mais si ce n’était que ça. Figurez-vous que l’écran est également très mal calibré. Avec les modes d’affichage proposés, vous aurez le choix entre : une température des couleurs trop chaude (6150K), ou absolument glaciale (jusqu’à 8070K). Rappelons que nous cherchons à nous rapprocher le plus possible de la valeur de 6500K.
Le mode « Couleurs naturelles » est donc le pis-aller pour lequel nous avons opté. Trop chaud donc, il est aussi handicapé par une surdose de rouge dans la courbe RGB qui dénature complètement les couleurs. Avec notre sonde X-Rite et le logiciel de calibration Calman Ultimate, nous apprenons qu’il ne couvre que 93,7 % du spectre sRGB, et 73,6 % du DCI-P3. Un score qui n’évolue pas le moins du monde, même en optant pour le mode d’affichage « Saturé ». Côté justesse des couleurs, le delta E s’établit à 3,22. Ce qui n’est pas si mal au regard de la catastrophe décrite dans les lignes précédentes.
Pour ce qui est de la luminosité, l’écran du Moto G50 est dans la moyenne. Avec un pic calculé à 510 cd/m², il restera lisible en plissant un peu des yeux lorsque vous êtes en plein soleil. Saluons aussi le taux de contraste de la dalle, calculé à 1880:1. Certes, nous ne sommes pas sur de l’AMOLED, mais les noirs nous apparaissent suffisamment profonds pour ne pas inscrire cela dans la liste de nos griefs à son encontre.
Audio : un son correct
Le Moto G50 ne dispose que d’un seul haut-parleur, situé sur la tranche inférieure du téléphone. Celui-ci offre un son correct, suffisamment équilibré pour profiter de la musique ou de l’écoute d’un podcast, d’une vidéo…
La prise jack est tout aussi volontaire, bien qu’elle manque un peu de puissance. Nul doute que les possesseurs de casques haut de gamme n’y trouveront pas leur compte. Pour ce qui est des écouteurs fournis en revanche, ils sont correctement alimentés et produisent un son plat mais loin d’être honteux.
Côté fonctionnalités audio, le Moto G50 fait le minimum syndical. Un égaliser est de la partie, et c’est à peu près tout. Pour les amateurs de casques et écouteurs sans-fil, mauvaise nouvelle : le smartphone n’est compatible qu’avec le codec basse-définition SBC.
Performances : en recul face au Moto G 5G
Difficile d’expliquer les choix opérés par Motorola au moment de la conception de ce Moto G50. Alors que le Moto G 5G, son prédécesseur sorti récemment, affichait de très bons résultats avec son Snapdragon 750G, le constructeur se repositionne ici sur un Snapdragon 480 bien moins capable.
S’il est compatible 5G et gravé lui aussi en 8 nm, les cœurs de son processeur n’évoluent pas dans la même catégorie. Et ça se ressent au niveau des performances.
Sur AnTuTu, le Moto G50 s’en tire avec 288 805 points. Le Moto G 5G obtenait plus de 310 000 sur ce même test. Sur Geekbench, qui met plus particulièrement à l’épreuve le processeur, le constat est le même. 500 points en single-core contre 658 points sur l’ancien modèle. 1602 points en multi-core contre 1948 points face au Moto G 5G. Victoire par K.O.
Le GPU fait également moins bien. Sur SlingShot Extreme on repart avec 2 463 points (contre 2 758) et 983 points sur Wild Life (non disponible au moment du test du Moto G 5G). La situation n’évolue pas non plus sur PC Mark.
Dans les faits, le Moto G50 n’est pas un téléphone lent. Il est bien sûr limité par ses 4 Go de RAM et aura du mal à passer rapidement d’une application à une autre. Mais une fois que l’on navigue sur une page en particulier, tout se passe plutôt bien.
Il faut toutefois vous prévenir que si vous comptiez jouer à des jeux gourmands sur ce téléphone, considérez immédiatement un autre mobile. Ici, et même en qualité faible, Genshin Impact est incapable de se stabiliser à 30 images par seconde.
Logiciel : un Android Stock plutôt propre
Motorola fait dans le simple et l’efficace côté interface, et c’est tant mieux. Elle reprend les traits d’Android Stock, en ajoutant seulement quelques menus spécifiques pour des fonctionnalités très particulières. Le modèle qui nous a été prêté par la marque embarque Android 11 et la mise à jour de sécurité de mars 2021. Il bénéficie des DRM Widevine L1 pour la lecture de contenus HD sur les plateformes de SVoD.
Pour ce qui est des fonctionnalités, nous n’avons rien de particulier à sortir du lot cette fois. Tout ce qui fait le sel d’Android 11 est présent ; rien ne nous semble manquer à l’appel, sauf éventuellement un écran Always-On. Mais cela est impossible du fait de l’absence d’écran AMOLED — la fonctionnalité consommerait trop d’énergie.
Pêle-mêle, on retrouve dans le Moto G50 un mode sombre, un gestionnaire de bien-être numérique, la navigation gestuelle et les options habituelles concernant la confidentialité. On peut éventuellement activer l’option permettant d’afficher rapidement le panneau de notifications d’un glissement du doigt sur le capteur d’empreintes digitales au dos.
Comme sur les précédents smartphones de la marque, on ne trouvera en guise de bloatwares qu’un Facebook et le Motorola Hub — tous deux désinstallables.
Autonomie : enfin, le point fort
S’il y a un domaine dans lequel Motorola excelle, c’est bien l’autonomie. Avec sa batterie de 5 000 mAh, le Moto G50 assure une endurance quasi record sur son segment de marché. Mais rappelons qu’il s’agit d’un écran HD+.
Au total, nous avons pu profiter du smartphone pendant 46 heures et un total astronomique de 12 heures 37 minutes. Le tout en jouant, écoutant de la musique et en passant beaucoup de temps sur Twitch et Twitter.
Malheureusement, il faudra se montrer patient pour tout ce qui touche à la recharge. Avec son bloc 10 W, il faut compter 2 heures 30 minutes pour passer de 0 à 100 %. Après 30 minutes, le téléphone n’aura récupéré que 25 % d’autonomie.
Photographie : correct
Nous disions plus haut que le Moto G50 était moins polyvalent que le G 5G en photographie. Et pour cause, ce dernier embarquait a minima un second capteur en l’objet d’un ultra grand-angle.
Sur le G50, on ne retrouve guère qu’un grand-angle, tout juste accompagné de deux modules macro/profondeur qui sont censés aider à réaliser des portraits ou des photos de très près.
Côté technique, il s’agit d’un capteur Sony de 48 mégapixels de 1/2.0". Un modèle que l’on a déjà retrouvé chez quantité d’autres constructeurs, capable de livrer des images en 12 mégapixels (photosites 1,6 µm) ou en 48 mégapixels (photosites 0,8 µm).
Grand-angle : fait le travail
On nourrissait peu de doute dans la capacité du capteur principal à fournir des images de bonne facture. Nous l’avons dit : il a déjà trouvé sa place depuis des années dans quantité de smartphones.
Aussi en journée et par temps clair, nous ne trouvons rien de particulier à redire sur les résultats. L’exposition est bonne, les couleurs naturelles et le contraste bien dosés. De plus, la diffraction de la lentille est minime ; on constate peu de perte de qualité dans les bords.
Mais la lenteur du processeur oblige à accompagner le smartphone dans l’exercice. Rangez trop rapidement le Moto G50 après avoir déclenché l’obturateur, et vous êtes bons pour une photo floue. Non, ici il faut maintenir l’appareil en place histoire d’être sûr que votre cliché immortalisera correctement la scène présentée.
Comme dit au-dessus, il est possible de choisir plusieurs modes de capture. Soit des images de 12 mégapixels avec des pixels de 1,6 µm, soit des images de 48 mégapixels avec des pixels de 0,8 µm. On déconseille vivement cette dernière option tant elle fait disparaître presque tous les détails du résultat. On constate un lissage excessif et une perte de microcontraste qui évoquerait pratiquement l’application d’un filtre. Bref : à fuir.
Doté de facultés HDR, le Moto G50 est bien équipé pour les scénarios de haute dynamique. Ici, on constate que l’activation du mode idoine permet de récupérer des détails dans le ciel. Même chose pour les ombres, qui se voient ici surtout rééquilibrées en termes de température.
Zoom : n’y pensez pas
Nous n’allons pas nous attarder sur cette partie. Comme vous l’a déjà appris la fiche technique, le Moto G50 ne propose pas de téléobjectif. Si vous souhaitez zoomer, ce sera directement dans l’image, jusqu’à un grossissement 8x.
Comme on pouvait s’y attendre, le résultat n’est pas fameux, et vous vous retrouverez la plupart du temps avec une bouillie de pixels dont le sujet est difficilement déchiffrable.
Reconnaissons malgré tout que le contraste et les couleurs sont plutôt bien préservés dans ce cas de figure.
Portrait et macro : qui peut le plus peut le moins
Aidé par ses deux capteurs « gadgets », le Moto G50 est mi-figue mi-raisin question portraits.
Quand la lumière s’y prête, le smartphone est capable de détourer correctement son sujet et de proposer un flou d’arrière-plan convaincant. Le constat est aussi positif sur les animaux, mais un peu moins sur les statues ou autres objets du quotidien qui sont parfois mal interprétés par le capteur.
Le module photo avant propose quant à lui des selfies malheureusement beaucoup trop lisses pour qu’on y trouve un intérêt. Comme si un filtre poussif était appliqué par défaut.
Enfin le module macro ne fait pas de merveilles, bien au contraire. En réalité, et en l’absence d’autofocus, c’est simplement la croix et la bannière pour réussir à faire correctement le point sur son sujet à main levée. De plus, on ne voit tout simplement pas l’intérêt de l’exercice tant la focale ne permet pas de s’attarder vraiment sur les détails. On zappe.
Nuit : des clichés nocturnes très bruités
Le capteur grand-angle du Moto G50 est capable de s’en sortir sans trop de problèmes en intérieur avec une petite lumière d’ambiance. Il faudra néanmoins se montrer très prudent au moment de déclencher et ne pas faire le moindre mouvement au risque de ruiner la photo avec un flou de bougé parasite. Et non, le capteur n’est pas stabilisé.
À l’extérieur, le capteur n’y voit pas grand-chose. Il faudra systématiquement passer par le mode Photo nocturne pour exposer convenablement les images. Le problème, c’est que le capteur est tout bonnement incapable de faire le point dans l’obscurité, et que le bruit numérique gâche systématiquement le résultat.
En bref : le Moto G50 n’est pas un bon prétendant au titre de meilleur photophone noctambule du marché.
Vidéo : 1080p60 uniquement
Le Moto G50 propose peu d’options au vidéaste pour s’adapter à son goût. On nous laissera simplement choisir entre du 1080p60 ou 1080p30, avec ou sans stabilisation électronique.
Mais quel que soit votre choix, le résultat sera décevant. Pour cause : le bitrate du fichier est très largement insuffisant pour offrir une image de qualité. Bardée d’artefacts de compression, elle offre un triste spectacle au spectateur non averti.
Par défaut, la stabilisation est toutefois correcte, même si on n’échappe pas aux à-coups lors d’un déplacement horizontal.
Motorola Moto G50 : l’avis de Clubic
En nous relisant, nous avons presque l’impression d’avoir été sévères avec le Motorola Moto G50. Mais en reprenant point par point la liste de nos griefs à son encontre, impossible d’être plus enthousiaste. Pour nous, le dernier-né de Motorola ne fait tout simplement pas le poids sur le marché actuel.
Commercialisé beaucoup trop cher pour la prestation qu’il offre, on retient surtout de lui un écran 720p qui pique les yeux et une calibration d’usine complètement dans les choux. Par chance, c’est un cador en termes d’autonomie. Mais il n’est pas le seul à se montrer endurant sur ce segment.
Chez Redmi, pour ne citer que lui, on trouve le Note 10 qui, pour 50 € de moins, vous offre à la fois de meilleures performances, un écran AMOLED Full HD+ très lumineux et plus de polyvalence en photographie.
Motorola tente un retour en force avec son Moto G50 et se prend les pieds dans le tapis. Commercialisé beaucoup trop cher pour la prestation offerte, il ne fait pas le poids face à la concurrence. Doté, certes, d'une grande autonomie, il nous demande de faire bien trop de concessions.
- Autonomie démentielle
- Les photos de jour
- Le contraste de l'écran LCD
- Compatible 5G pour pas trop cher
- Un écran 720p atrocement calibré
- Moins performant que le Moto G 5G
- Le rapport qualité-prix n'y est pas
Test réalisé sur un smartphone prêté par le constructeur