La jeune pousse londonienne menée par Carl Pei nous revient avec non pas un, mais deux smartphones de milieu de gamme. Après la sensation Nothing Phone (2a), il va sans dire que j'attendais de pied ferme son successeur. Je vous spoile : je n'ai pas été déçu - loin de là.

Eh oui, si forcément le Nothing Phone (3a) Pro attire tous les regards en figurant parmi les premiers smartphones midrange à adopter une optique périscopique, nous avons choisi de nous intéresser d'abord au modèle Phone (3a) classique. Vendu au même prix, très agressif, que son prédécesseur (349 euros), il nous intrigue autant pour ses nouveautés originales que nous détaillerons ici, mais aussi parce que nous voulons nous assurer que l'essai pouvait être transformé.

Alors sans plus de cérémonie, plongeons les pieds dans le plat et découvrons de quel bois le Nothing Phone (3a) se chauffe !

Les plus
  • Un Phone (2a) en mieux, et toujours aussi peu cher
  • Une autonomie impressionnante
  • Un bon téléobjectif
  • Un smartphone performant, qui ne chauffe jamais
  • De très bonnes idées logicielles (et un support de 6 ans)
Les moins
  • Une partie photo déséquilibrée
  • Pas de charge sans-fil
  • Encore beaucoup de reflets à l'écran

Test réalisé sur un smartphone prêté par le constructeur.

Dans la boîte du Nothing Phone (3a)

  • Câble USB-C vers USB-C.

Design : une évolution dans la continuité

Ce n'est pas vraiment du côté design que la marque a fait le plus d'efforts cette année. Cela dit, il n'existe toujours aucun autre smartphone qui ressemble à ceux de Nothing. Même à tarif contenu, la jeune marque britannique produit des smartphones remarquables, à l'identité forte. Et, dans un marché où toutes les références (surtout de milieu de gamme) se ressemblent, ça fait du bien !

Toujours l'un des smartphones les plus originaux du marché. ©Pierre Crochart pour Clubic
Toujours l'un des smartphones les plus originaux du marché. ©Pierre Crochart pour Clubic

On retrouve donc toujours ce dos transparent (ce ne sont pas vraiment les composants que l'on aperçoit), et ce système à LED Glyph qui sert aussi bien de lampe torche que de flash ou d'indicateur de notifications. Par rapport au Phone (2a), ce nouveau venu est un peu plus lourd et large. Rien de particulièrement notable, mais cela reste un beau bébé.

Le passage de deux à trois appareils photo dans le bloc dédié se fait sans douleur sur le design, qui s'en accommode fort bien. Ce n'est pas tout à fait la même limonade pour le Phone (3a) Pro - mais c'est une autre histoire.

Attention, le smartphone est assez grand et large. ©Pierre Crochart pour Clubic.com

Non, la grande nouveauté du Phone (3a), c'est ce nouveau bouton ajouté sur la tranche droite, sous le bouton power. Baptisé Essential Key, celui-ci représente à la fois la meilleure idée et l'innovation la plus contrariée de Nothing. Je vous en reparle plus bas, promis.

Si l'ensemble est donc tout à fait remarquable, je reste assez chagriné par les tranches du smartphone. Sur le modèle blanc qui nous a été prêté, le rendu est assez cheap. Il faut bien que l'aspect abordable du smartphone se rappelle à nous de temps à autre, remarquez.

Vous allez (BEAUCOUP) vous tromper entre l'Essential Key et le bouton Power. ©Pierre Crochart pour Clubic

Du reste, la résistance du smartphone évolue avec un dos maintenant en verre et une certification IP64 contre IP54 l'année dernière.

Écran : rien à redire

Comme bien d'autres smartphones de son rang, le principal problème de l'écran du Nothing Phone (3a) est son importante réflectance. Le film de protection apposé en usine est non seulement très friand de traces de doigts, mais accentue aussi sensiblement les reflets, surtout en extérieur.

Dommage, car la luminosité est au demeurant excellente. Le fabricant annonce un pic à 3 000 nits - si nous n'en sommes clairement pas là, la dalle reste lisible en toute circonstance.

L'écran est une bonne surprise. ©Pierre Crochart pour Clubic

Affichant une définition Full HD avec une fréquence d'affichage variable (60 ou 120 Hz), l'écran propose une fluidité impeccable et une réactivité parfaite. Les couleurs sont suffisamment vives, sans paraître exagérément saturées, et le point blanc nous apparaît juste, même avec les réglages par défaut. La plupart des midranges du marché ne peuvent clairement pas en dire autant !

Performances : une fluidité inespérée

Après l'excellente surprise qu'a été son prédécesseur sur les performances, Nothing ne pouvait pas se rater sur ce point. Et c'est effectivement encore une belle réussite : avec sa puce Snapdragon 7s Gen 3 (déjà aperçue sur le Redmi Note 14 Pro+) et ses 12 Go de mémoire vive (8 Go sur le modèle basique), le Nothing Phone (3a) est d'une polyvalence redoutable.

Des résultats très honorables. ©Pierre Crochart pour Clubic

Le smartphone développe des performances équivalentes à un flagship d'il y a deux ou trois ans, et offre à ce titre une réactivité tout à fait impressionnante. Autant l'écrire : je n'ai jamais, je dis bien jamais, eu l'impression d'utiliser un téléphone à 349 euros.

Une excellente impression encore confirmée en jeu. Sur l'exigeant Genshin Impact, on peut profiter de graphismes en qualité moyenne tout en maintenant un framerate compris entre 45 et 55 images par seconde. Mieux : la chauffe est parfaitement maîtrisée, et le SoC ne souffre d'aucun throttling qui viendrait tirer ses performances vers le bas. Un tour de force.

Le Phone (3a) sait se montrer joueur. ©Pierre Crochart pour Clubic

Interface : un smartphone de milieu de gamme qui innove

Livré avec Android 15, via la surcouche Nothing OS 3.1, le Nothing Phone (3a) ne fait rien comme les autres. Malgré son tarif très accessible, il n'est pollué par aucun bloatware. Moins que le Xiaomi 15 Ultra, vendu 1 500 euros - à bon entendeur.

Mieux, le Nothing Phone (3a) innove. On ne s'attend absolument pas à ce qu'un smartphone à 349 euros propose quoi que ce soit qui sorte du cadre. Pourtant, le dernier-né de Nothing prend le risque avec son Essential Key et l'Essential Space associé.

Le thème monochrome (par défaut) est plutôt illisible à mon goût. ©Pierre Crochart pour Clubic

Outre Gemini et une gomme magique, le smartphone des Londoniens ne dispose pas d'une puissance de calcul suffisante pour proposer nombre d'outils d'IA tels qu'on en trouve sur d'autres références du marché. Alors, la marque trouve des moyens détournés de proposer des features pouvant s'y apparenter. Et l'Essential Space, c'est un petit peu ça.

Grâce à la touche dédiée sur la tranche droite de l'appareil (que j'ai confondue avec le bouton d'allumage plus souvent qu'à mon tour), on peut prendre une capture d'écran et l'agrémenter d'une note (textuelle ou vocale). Celle-ci ne va pas se ranger dans notre photothèque, mais dans l'Essential Space, qui est une sorte de gestionnaire de screenshots glorifié.

L'Essential Space, la grande idée du Nothing Phone (3a). ©Pierre Crochart pour Clubic

Un peu à la manière de l'application Pixel Screenshots présentée par Google il y a quelque temps, l'Essential Space effectue de la reconnaissance visuelle, transcrit vos notes vocales et les résume, et se montre capable de, par exemple, générer une to-do list si l'une de vos notes vocales parle d'effectuer une tâche à un moment donné de votre journée.

L'Essential Space est un gestionnaire de screenshots glorifié. ©Pierre Crochart pour Clubic

Je suis sincèrement impressionné par cette prise de risque de la part de Nothing. Je parle de prise de risque, car il ne s'agit pas que d'une banale feature : il s'agit d'un bouton physique sur lequel va naturellement reposer votre pouce. Vous allez l'utiliser, que ce soit volontairement ou par erreur.

Malgré cela, je dois aussi dire que je ne suis pas la cible. Je prends assez peu de notes avec mon téléphone, et encore moins vocales. J'ai mes petites habitudes organisationnelles avec mes captures d'écran… bref, tout cela ne me parle pas. Mais je ne peux pas balayer d'un revers les efforts entrepris par Nothing.

Rassurez-vous : les icônes peuvent retrouver leur couleur. ©Pierre Crochart pour Clubic

Parlant d'efforts, j'aimerais aussi souligner les nombreuses possibilités de personnalisation de l'interface. On peut évidemment troquer l'aspect monochrome (et illisible, dans mon cas) des icônes pour leurs couleurs d'origine. L'écran de verrouillage peut s'agrémenter de nombreux widgets (pensez iOS), et on peut varier les plaisirs avec une fonction de génération d'images par IA qui ne s'en sort pas trop mal pour les visuels abstraits.

Bref… Un logiciel très solide, dépourvu de distractions et servi par des animations d'une impressionnante fluidité, qui recevra quatre mises à jour Android pour six années de correctifs de sécurité. Une nouvelle fois : à ce prix, c'est tout à fait impressionnant.

Appareil photo : des incohérences qui ne gâchent pas (trop) le plaisir

Forcément moins bien équipé que son grand frère le Nothing Phone (3a) Pro, le modèle standard améliore cependant la copie de son prédécesseur grâce au rajout d'un téléobjectif - qui se paie toutefois au prix d'un ultrawide de bien moins bonne qualité que l'an dernier.

La configuration photo du Nothing Phone (3a) :

  • Grand-angle : 50 Mpx, 1/1.57", ƒ/1.9 ; OIS ;
  • Ultra grand-angle : 8 Mpx, 1/4.0", ƒ/2.2 ;
  • Téléobjectif 2x : 50 Mpx, 1/2.74", ƒ/2.0 ;
  • Selfie : 32 Mpx, 1/3.44", ƒ/2.2.
Que valent les appareils photo du Nothing Phone (3a) ? ©Pierre Crochart pour Clubic

Grand-angle

La caméra principale est tout à fait recommandable pour tous les usages. Si le capteur n'est pas d'une taille incroyable et que son ouverture est modeste, il produit des photos très correctes en journée.

Le piqué n'est pas à se décrocher la mâchoire, mais le niveau de détail demeure intéressant sur toute la surface de l'image. Nothing opte par ailleurs pour un traitement au contraste assez fort. Cela vient donner un côté un peu dramatique à tous les clichés, ce qui n'est pas pour me déplaire.

La caméra principale est tout à fait recommandable pour tous les usages. ©Pierre Crochart pour Clubic
©Pierre Crochart pour Clubic
©Pierre Crochart pour Clubic
©Pierre Crochart pour Clubic
©Pierre Crochart pour Clubic
©Pierre Crochart pour Clubic
©Pierre Crochart pour Clubic
©Pierre Crochart pour Clubic

Ultra grand-angle

L'ultrawide dégringole de 50 à 8 mégapixels cette année. Je ne suis pas fâché : j'utilise personnellement assez peu les ultracourtes focales. Ici, il faudra donc proscrire l'usage de cette caméra secondaire lorsque le temps est trop mauvais ou que la lumière se fait rare. Le bruit est omniprésent, et tout est globalement mal dégrossi.

On remarque néanmoins que la colorimétrie varie assez peu, par rapport à l'appareil photo principal. Un très bon point, encore une fois, pour un smartphone abordable.

© Pierre Crochart pour Clubic
©Pierre Crochart pour Clubic
©Pierre Crochart pour Clubic.com
©Pierre Crochart pour Clubic
©Pierre Crochart pour Clubic
©Pierre Crochart pour Clubic
©Pierre Crochart pour Clubic

Téléobjectif / Zoom

Nothing joue la prudence pour son premier téléobjectif de la gamme (a). Répliquant une longueur focale de 50 mm, ce zoom optique 2x profite de 50 mégapixels pour s'exprimer.

Zoom 2x. ©Pierre Crochart pour Clubic
Zoom 2x. ©Pierre Crochart pour Clubic
Zoom 2x. ©Pierre Crochart pour Clubic
Zoom 2x. ©Pierre Crochart pour Clubic
Zoom 30x. ©Pierre Crochart pour Clubic

Et c'est une réussite. Le rendu est très proche du grand-angle ; on ne remarque aucune aberration chromatique et le piqué est très intéressant pour un module secondaire. Une vraie belle surprise, même si l'on déconseillera d'utiliser le zoom numérique 4x proposé via l'interface de l'application Caméra, qui piétine déjà de nombreux détails. Naturellement, le zoom numérique 30x fait bien pire.

Zoom 2x. ©Pierre Crochart
Zoom 4x. ©Pierre Crochart
Zoom 10x. ©Pierre Crochart

Photos de nuit

Des trois capteurs, c'est naturellement le grand-angle (le plus grand) qui s'en sort le mieux en basse lumière. Dans les scénarios nocturnes, il porte toute la prestation photo à bout de bras. L'ultra grand-angle est disqualifié d'office, et le téléobjectif a beaucoup de mal à faire le point correctement pour proposer quelque chose d'intéressant dans ce genre d'usage.

C'est le grand-angle qui s'en sort le mieux en basse lumière. ©Pierre Crochart pour Clubic
©Pierre Crochart pour Clubic
©Pierre Crochart pour Clubic
©Pierre Crochart pour Clubic
©Pierre Crochart pour Clubic

Portraits et selfies

Si le zoom n'est pas très à l'aise en basse lumière, il l'est déjà beaucoup plus en mode portrait. 50 mm, c'est la focale idéale pour s'amuser en toute circonstance, et avec tout type de sujet.

Mode portrait. ©Pierre Crochart pour Clubic
©Pierre Crochart pour Clubic

L'aspect très contrasté des photos sied particulièrement bien aux portraits, qui sont par ailleurs fort bien détaillés. On note parfois quelques petites incohérences sur la colorimétrie, néanmoins, avec une carnation aux tons verdâtres qui n'est pas très heureuse.

©Pierre Crochart pour Clubic
©Pierre Crochart pour Clubic
©Pierre Crochart pour Clubic
©Pierre Crochart pour Clubic
©Pierre Crochart pour Clubic
©Pierre Crochart pour Clubic
Selfie / portrait appareil photo avant. ©Pierre Crochart pour Clubic

Vidéo

La vidéo n'est pas le terrain de prédilection du Nothing Phone (3a). Avec le grand-angle, on arrive à un résultat pas trop vilain en 4K à 30 images par seconde (ips). Mais, tout cela manque clairement de peps.

Captation 4K à 30 ips avec le grand-angle. ©Pierre Crochart pour Clubic

L'ultra grand-angle est, bien entendu, à bannir du fait de sa résolution famélique. Quant au téléobjectif, il se débrouille bon an mal an, mais pèche par son manque de stabilisation.

Captation 1080p à 60 ips avec l'ultra grand-angle. ©Pierre Crochart pour Clubic

Captation 1080p à 60 ips avec le zoom. ©Pierre Crochart pour Clubic

Autonomie : un nouveau record pour Nothing

Le Nothing Phone (3a) est l'un des smartphones les plus endurants que j'ai jamais testés. Ne vous tracassez même pas : il est largement capable de tenir deux jours complets. Dans notre protocole habituel, assez demandeur en ressources et donc relativement épuisant pour le SoC et la batterie, j'ai pu cumuler près de 10 h de temps d'écran.

La dernière fois qu'un smartphone de milieu de gamme s'en est si bien sorti, c'était le OPPO Reno12 Pro, avec lequel le Nothing Phone (3a) partage sa place au club très fermé des smartphones ayant dépassé les 19h30 sur le test d'autonomie de PCMark.

Une bien belle endurance. ©Pierre Crochart pour Clubic

Si la batterie demeure identique au précédent modèle, la puissance de charge s'améliore un peu et passe à 50 watts. Avec un adaptateur secteur compatible, on patiente un peu plus de 55 minutes pour une recharge complète. Attention : le Nothing Phone (3a) ne supporte pas la recharge sans-fil.

Nothing Phone (3a) : Prix, disponibilité et concurrence

Le Nothing Phone (3a) est déjà disponible dans les coloris blanc, bleu et noir.

  • 8+128 Go : 349 euros ;
  • 12+256 Go : 399 euros.

Un prix d'appel très agressif, qui le confronte au Samsung Galaxy A36, au Redmi Note 14, au Motorola G85 ou encore au POCO X7.

Nothing Phone (3a) : l'avis de Clubic

Conclusion
Note générale
10 / 10

Je ne vais pas y aller par quatre chemins : le Nothing Phone (3a) est l’un des meilleurs smartphones que j’ai testés ces dernières années. Et je ne parle pas uniquement du milieu de gamme.

En plaçant les bons curseurs aux bons endroits, et en parvenant à maintenir son smartphone à un prix stable, accessible et cohérent, Nothing s’assure de crouler sous les louanges.

Le Phone (3a) est un smartphone qui ne vous donne jamais l’impression qu’il n’a coûté que 349 euros. Il offre une autonomie absolument stellaire sans sacrifier les performances ; un écran lumineux et fluide en toute circonstance ; une prestation photo qui tient la dragée haute à bien des smartphones mieux dotés, et se paie aussi le luxe d’améliorer sa partie logicielle avec un support étendu.

Des défauts ? Bien sûr, il en a. Mais aucun qui, selon nous, est rédhibitoire pour une facture aussi peu salée. Le Nothing Phone (3a) va devenir ma réponse réflexe à la question « alors, quel smartphone tu me conseillerais ? ».

Les plus
  • Un Phone (2a) en mieux, et toujours aussi peu cher
  • Une autonomie impressionnante
  • Un bon téléobjectif
  • Un smartphone performant, qui ne chauffe jamais
  • De très bonnes idées logicielles (et un support de 6 ans)
Les moins
  • Une partie photo déséquilibrée
  • Pas de charge sans-fil
  • Encore beaucoup de reflets à l'écran
Sous-notes
Design et construction
9
Écran
9
Performances
9
Autonomie et charge
10
Photo et vidéo
9
Logiciel et mises à jour
10

Fiche technique Nothing Phone (3a)

Résumé
Taille de l'écran6.7 pouces
Taux de rafraîchissement120Hz
Mémoire interne256 Go
Mémoire vive (RAM)12 Go
Capacité de la batterie5000 mAh
Charge rapideOui
Définition du / des capteur(s) arrière50 Mpx ; 50 Mpx ; 8 Mpx
Caractéristiques techniques
Système d'exploitationAndroid
Version du système d'exploitationAndroid 15
Surcouche AndroidNothing OS 3.1
Assistant vocalGemini
Affichage
Taille de l'écran6.7 pouces
Type d'écranAMOLED
Définition de l'écran2392 x 1080 pixels
Taux de rafraîchissement120Hz
Densité de pixels387 ppp
Écran HDROui
Mémoire
Mémoire interne256 Go
Performance
ProcesseurSnapdragon 7s Gen 3
Finesse de gravure4nm
Nombre de cœurs CPU8 cœurs
Fréquence CPU2.5GHz
GPUAdreno 710
Mémoire vive (RAM)12 Go
Batterie
Capacité de la batterie5000 mAh
Charge rapideOui
Puissance de la charge rapide50W
Appareil Photo
Nombre de caméras (avant & arrière)4
Définition du / des capteur(s) arrière50 Mpx ; 50 Mpx ; 8 Mpx
Définition du / des capteur(s) avant32 Mpx
Enregistrement vidéo4K30 ; 1080p 60
Stabilisateur caméraOptique et Numérique
Ouverture objectif photo arrièresƒ/1.9 ; ƒ/2.0 ; ƒ/2.2
Ouverture objectif photo frontauxƒ/2.2
Zoom Optique2x
Réseau
Carte(s) SIM compatible(s)Nano-SIM
Compatible double SIMOui
Compatible 5GOui
Compatible VoLTEOui
Connectivité
Wi-Fi6
Bluetooth5.4
NFCOui
Equipement
Type de connecteurUSB-C
Lecteur biométrique à empreinte digitaleOui
Prise JackNon
Caractéristiques physiques
Hauteur163.5mm
Largeur77.5mm
Epaisseur8.4mm
Poids201g
Certification IPIP64
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