Malgré son nom, le Galaxy Z Flip 4 est la troisième itération du smartphone pliant grand public de Samsung. Le constructeur a choisi l'an dernier de passer du Z Flip initial au Z Flip 3 afin de conserver une cohérence avec la numérotation du Z Fold, son autre smartphone pliant destiné à une utilisation plus professionnelle.
- Qualité de construction
- Design
- Écran pliable de bonne qualité
- Écran externe pratique
- Performances globales
- Autonomie améliorée
- Charge "ultra-rapide" pas si rapide
- Pas de chargeur fourni
Sur le papier, le nouveau venu affiche des caractéristiques intéressantes et doit en théorie corriger les défauts du Galaxy Z Flip 3 (autonomie décevante, entre autres). Est-ce vraiment le cas ? Pour le savoir, nous avons vécu avec lui pendant deux semaines.
Fiche technique Samsung Galaxy Z Flip 4
Mémoire interne | 128 Go, 256 Go, 512 Go |
Mémoire vive (RAM) | 8 Go, 10 Go |
Capacité de la batterie | 3700 mAh |
Charge rapide | Oui |
Définition du / des capteur(s) arrière | 12 Mpx, 12 Mpx |
Système d'exploitation | Android |
Version du système d'exploitation | Android 12 |
Surcouche Android | OneUI 4.1.1 |
Assistant vocal | Google Assistant, Bixby |
Taille de l'écran | 6.71 pouces |
Type d'écran | Dynamic Amoled 2X pliant |
Définition de l'écran | 1080 × 2640 pixels |
Taux de rafraîchissement | 120Hz |
Densité de pixels | 426 ppp |
Écran HDR | Oui |
Taille de l'écran | 1.9 pouces |
Type d'écran | Super AMOLED |
Définition de l'écran | 260 × 512 pixels |
Mémoire interne | 128 Go, 256 Go, 512 Go |
Stockage extensible | Non |
Processeur | Qualcomm SnapDragon 8+ Gen 1 |
Finesse de gravure | 4nm |
Nombre de cœurs CPU | 8 |
Fréquence CPU | 3.19GHz |
GPU | Adreno 730 |
Mémoire vive (RAM) | 8 Go, 10 Go |
Capacité de la batterie | 3700 mAh |
Batterie amovible | Non |
Recharge sans-fil | Oui |
Charge rapide | Oui |
Puissance de la charge rapide | 25W |
Nombre de caméras (avant & arrière) | 3 |
Définition du / des capteur(s) arrière | 12 Mpx, 12 Mpx |
Définition du / des capteur(s) avant | 10 Mpx |
Enregistrement vidéo | 4K@30/60fps, 1080p@60/240fps, 720p@960fps |
Stabilisateur caméra | Optique |
Flash arrière | LED |
Flash Frontal | Non |
Taille des photosites objectifs arrière | 1.8 µm, 1.12 µm |
Taille des photosites objectifs frontaux | 1.22 µm |
Ouverture objectif photo arrières | f/1.8, f/2.2 |
Ouverture objectif photo frontaux | f/2.4 |
Carte(s) SIM compatible(s) | Nano-SIM, eSIM |
Compatible double SIM | Oui |
Compatible 5G | Oui |
Compatible VoLTE | Oui |
Wi-Fi | 6 |
Bluetooth | 5.2 |
NFC | Oui |
GPS | Oui |
Infrarouge | Non |
Type de connecteur | USB Type-C 2.0 |
Lecteur biométrique à empreinte digitale | Oui |
Capteur de reconnaissance faciale | Reconnaissance faciale 2D |
Acceleromètre | Oui |
Gyroscope | Oui |
Capteur de lumière ambiante | Oui |
Prise Jack | Non |
Nombre de haut-parleurs | 2 |
Hauteur (Ouvert) | 165.2mm |
Hauteur (Plié) | 84.9mm |
Largeur (Ouvert) | 71.9m |
Largeur (Plié) | 71.9m |
Epaisseur (Ouvert) | 6.9mm |
Epaisseur (Plié) | 15.9mm |
Poids | 187g |
Certification IP | IPX8 |
DAS tête | 1.15 W/kg |
DAS tronc | 1.2 W/kg |
Design et ergonomie : rien ne change
Pas de révolution au niveau du design : le Z Flip 4 est identique à son prédécesseur. Il reprend donc l’aspect d’un téléphone à clapet (même s’il est à des années-lumière des antiques Startac de Motorola !) ou d’un poudrier.
Il faut avoir un compas dans l’œil ou prendre le temps de le mesurer pour remarquer qu’il est un peu moins long lorsqu’il est déplié (165,2 mm contre 166 mm) et un peu moins large (71,9 mm contre 72,2 mm). Son poids est quant à lui légèrement revu à la hausse (187 grammes, soit 4 grammes en plus).
Samsung affirme avoir encore amélioré la charnière : nous le croyons volontiers, même si rien ne change en apparence. Le constructeur la certifie pour tenir au moins 200 000 ouvertures et fermetures.
La face arrière est elle aussi recouverte d’un verre à la finition mate du plus bel effet. Cela lui évite d’être sensible aux salissures et empreintes de doigts. Le châssis est quant à lui fait d’un aluminium durci devant en théorie mieux supporter une chute accidentelle. L’appareil bénéficie d’une certification IPX8 assurant son étanchéité lors d’une immersion accidentelle dans l’eau douce (1 mètre pendant 30 minutes maxi).
Samsung propose le Z Flip 4 en quatre couleurs : lavande, graphite, or rose et bleu. Si cela ne vous satisfait pas, optez alors pour l’édition Bespoke, disponible uniquement sur le site du constructeur. Vous pourrez alors choisir la teinte de la charnière et du châssis parmi trois teintes (gris, or, noir) ainsi que celles des faces avant et arrière (jaune, blanc, bleu, vert, rouge).
Nous reviendrons un peu plus loin sur les performances de l’écran principal. On se contentera ici de préciser qu’il est toujours recouvert d’une feuille de verre pliant et d’une protection en plastique qu’il ne faut en aucun cas retirer. Celle-ci le rend particulièrement sensible aux salissures et traces de doigts. Dommage.
La pliure n’est pas encore invisible, mais se fait plus discrète. Elle est visible lorsque l’écran est éteint ou sous certains angles en utilisation. On la perçoit toujours lorsqu’on passe le doigt dessus, mais la sensation n’a rien de gênant.
Finissons ce rapide tour du propriétaire en signalant la présence d’une caméra dorsale constituée de deux modules qui ont le bon goût de ne déplacer que très faiblement de la face arrière. La caméra frontale est quant à elle composée d’un seul module prenant place dans une mini perforation le l’écran.
Toujours aussi compact et bénéficiant d’une finition irréprochable, le Galaxy Z Flip 4 est une belle réussite ergonomique. Une fois replié, il tient sans aucun problème dans une poche ou dans un petit sac à main. Il comblera donc les amateurs de grands écrans ne souhaitant pas s’encombrer d’un smartphone volumineux.
Un écran bien né
L’écran du Z Flip 4 est constitué d’une dalle Foldable Dynamic Amoled 2x de 6,7 ’’ affichant 1080x2640 pixels. Absolument identique à celle équipant son prédécesseur, elle dispose d’une fréquence de rafraîchissement adaptative montant jusqu’à 120 Hz. Afin d’économiser la batterie, on pourra imposer un fonctionnement en 60 Hz.
Certifié HDR10+ il s’avère très lumineu (1200 nits maxi en HDR) et reste parfaitement lisible même en plein soleil.
La restitution colorimétrique est globalement très satisfaisante. En conservant les réglages par défaut, on constate un léger boost des couleurs afin de rendre l’image plus flatteuse à l’œil. Le résultat est superbe, à défaut d’être complètement fidèle. On pourra corriger cela en ajustant les paramètres d’affichage et notamment en choisissant le mode « Naturel ».
L’écran secondaire est quant à lui constitué d’une dalle Super Amoled de 1,9 ’’ affichant 260 x 512 pixels. Il est protégé par une feuille de verre Gorilla Glass Victus+ de Corning, le rendant moins sensible aux rayures. Il affiche lui aussi une image lumineuse et reste lisible en plein soleil. On reviendra un peu plus loin sur son usage.
À n’en pas douter, la qualité de l’écran est sans aucun doute l’un des points forts du Z Flip 4. L’expertise de Samsung en matière de technologie OLED n’est plus à démontrer, y compris en matière d’écrans pliants. Si l’on excepte la pliure toujours perceptible, rien ne différencie cette dalle de celle d’un smartphone traditionnel d’excellente qualité.
Très bonnes performances
Le Z Flip 4 embarque un SoC Snapdragon 8+ Gen 1 conçu par Qualcomm. Il s’agit du modèle le plus puissant actuellement produit par le fondeur. Il est accompagné de sa fidèle puce graphique Adreno 730 et de 8 Go de mémoire de travail. Notre modèle de test dispose de 256 Go de stockage Flash de type UFS 3.1, non extensible, cette capacité nous semblant plus que suffisante pour une utilisation avancée.
Avec un tel équipement, on est en droit d’attendre d’excellentes performances. Afin de le vérifier, nous avons passé le Z Flip 4 au banc d’essais… et les résultats nous ont un peu surpris.
Le test Antutu, évaluant les performances globales, lui attribue un score de 884 585 points. 3D Mark Mobile Wild Life Extreme, dédié à l’appréciation des capacités graphiques, le gratifie de 2169 points. Enfin GeekBench renvoie un score de 4008 points en multicœurs (1298 points en monocœur). Si tout cela est loin d’être mauvais, on s’attendait toutefois à un peu mieux.
Compte tenu du SoC embarqué, le score Antutu par exemple devrait dépasser le million de points : ce n’est pas le cas. Pourquoi ? Tout simplement parce que le mécanisme de dissipation thermique n’est pas aussi efficace que sur un smartphone conventionnel. La faible épaisseur de l’appareil, conjuguée aux contraintes volumiques dues à la présence d’une charnière, a forcé les ingénieurs de Samsung à effectuer quelques concessions.
Si l’on ne souhaite pas griller le SoC, il faut réduire sa fréquence de fonctionnement lorsqu’il devient trop chaud : cela a donc un impact sur les performances. C’est ce qu’on appelle le throttling, bête noire des utilisateurs intensifs et des gamers. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que Samsung n’y va pas avec le dos de la cuillère : en moins de trois minutes d’utilisation intensive, le SoC ne fonctionne plus qu’à 60 % de sa fréquence nominale. Ensuite, la fréquence ne baisse quasiment plus (heureusement !)
Cela n’empêche pas le Z Flip 4 de s’acquitter sans problème de l’essentiel des tâches qu’on lui confie. Lors de nos tests, nous n’avons pas constaté de ralentissement gênant sur les applications très demandeuses en ressources. Les jeux 3D actuels fonctionnent eux aussi correctement et il faudra juste accepter le dégagement de chaleur assez important après une quinzaine de minutes de jeu.
Audio : étonnamment bon
Le boîtier fin et très encombré du Z Flip 4 ne nous laissait pas tellement d’espoir en matière de qualité audio. Et pourtant, nous avons été (agréablement) surpris par la qualité du son produit par les deux haut-parleurs.
Sans surprise, les basses sont un peu en retrait, ce qui était prévisible au regard de la taille de l’espace de résonance disponible. Les médiums sont clairs et équilibrés, ce qui permet de restituer les voix très correctement.
L’absence de jack audio oblige de passer par un adaptateur USB-C ou d’utiliser des écouteurs sans fil. À ce sujet, le Z Flip 4 est compatible Bluetooth 5.2 et dispose d’une certification Dolby Atmos.
En plus des codecs habituels (y compris aptX), il prend en charge le tout nouveau SSC (Samsung Seamless Codec), censé fournir une qualité « audio haute définition en 24 bits ». À condition, bien entendu, d’utiliser des écouteurs compatibles comme les tout nouveaux Galaxy Buds2 Pro annoncés conjointement au Z Flip 4.
Logiciel : OneUI ne fait pas un pli
Le Z Flip 4 embarque Android 12 et la version 4.1.1 de OneUI, la surcouche conçue par Samsung. Très proche de l’interface d’Android Stock, elle comble ces principales lacunes, offre de nouvelles possibilités intéressantes et s’adapte aux particularités des smartphones du coréen.
On ne sera donc guère étonné de voir apparaître quelques possibilités propres aux deux écrans du Z Flip 4. Lorsqu’il est replié, l’écran externe (tactile) donne désormais accès à plus d’informations que précédemment.
On peut ainsi personnaliser l’affichage avec des GIF, photos/vidéos ou avatars, sélectionner les widgets qui apparaîtront ou encore afficher des notifications. Plus intéressant, il peut aussi faire office de viseur lorsqu’on souhaite prendre une photo sans ouvrir le smartphone.
Samsung a eu la bonne idée d’adapter certaines applications afin de tirer parti d’un dépliage partiel du smartphone (mode Flex). C’est par exemple le cas de l’appareil photo, dont le viseur et les commandes sont placés différemment afin de faciliter leur accès. La plupart des applications standard de Samsung bénéficient de Flex.
Certains développeurs tiers s’y sont mis (comme Google avec Duo, ou Videolan avec VLC player). Pour les autres, il est toujours possible de forcer l’apparition d’un volet de commande en passant par les réglages.
Parfois cela fonctionne correctement et parfois pas vraiment. On peut ajuster le comportement pour chaque application en allant modifier les réglages spécifiques à Flex dans les paramètres.
Pour le reste, OneUI 4.1.1 et Android 12 fonctionnent avec une belle fluidité sur le Z Flip 4. Lors de nos tests, nous n’avons à aucun moment remarqué » de ralentissement notable ou de plantage, y compris en utilisation intensive. À n’en pas douter, OneUI reste l’une des surcouches les plus agréables du moment, même si elle prend un petit coup de vieux par rapport au ColorOS d’Oppo que nous jugeons encore plus agréable.
Autonomie : amélioration appréciable
Le Z Flip 4 embarque une batterie Li-Po de 3700 mAh que l’on charge au choix en USB-C ou par induction. Comme Apple, Samsung a fait le choix détestable de ne plus fournir d’adaptateur électrique. Si vous n’en possédez pas un, il faudra donc l’acheter.
Cette pingrerie, justifiée par un prétexte « écologique » peut à l’extrême rigueur passer sur un smartphone d’entrée de gamme. Mais sûrement pas pour un modèle valant plus de 1000 euros dont le constructeur vante la charge ultrarapide.
Celle-ci n’a d’ailleurs d’ultrarapide que le nom puisqu’elle permet de regonfler la batterie à 50 % en 30 minutes. On est loin des la quinzaine de minutes réclamées par Oppo, realme et Honor… De plus, il faut impérativement passer par le chargeur ultrarapide 25 Watts Samsung (celui qui n’est pas fourni, donc) facturé 19,90 euros.
Le Z Flip 4 offre une autonomie que nous jugeons très correcte. En utilisation normale (c’est-à-dire sans abuser du jeu ou des applications exigeantes en ressources), on dépasse allègrement la journée sans avoir à recharger la bête. Ce n’est pas mal du tout si l’on se rappelle que le Z Flip 3 ne tenait pas la journée. On ne peut qu’apprécier les efforts déployés par Samsung afin d’augmenter l’autonomie du produit.
En utilisation intensive (jeu, prise de vues fréquentes, utilisation à outrance de la 5 G, etc) la batterie du Z Flip 4 vous permettra quand même de boucler une journée complète. Là aussi, on ne peut que s’en féliciter.
Pour clore le chapitre énergétique, précisons que le smartphone peut être chargé par induction (15 Watts maxi) et qu’il est compatible avec la charge inversée (4,5 Watts) afin de redonner de l’énergie à des écouteurs ou à une montre connectée à bout de souffle.
Photo : bon, mais pas exceptionnel
La caméra dorsale du Z Flip 4 est composée de deux modules :
- Principal : Capteur 12 Mpxl (Taille 1/1,76 ’’, photosites de 1,8 µm) ; objectif 24 mm ouvrant à f/1,8 ; autofocus Dual Pixel ; stabilisation optique
- Ultra grand-angle : Capteur 12 Mpxl (photosites de 1,12 µm) ; objectif ouvrant à f/2,2 et angle de vision de 123°
La caméra frontale dispose quant à elle d’un capteur 10 Mpxl (photosites de 1,22 µm) et d’un objectif 26 mm ouvrant à f/2,4.
La principale caractéristique du Z Flip 4 est d’être équipé d’un écran pliant, pas d’avoir une caméra hors du commun. Cela ne veut pas dire qu’elle est mauvaise, loin de là ! Elle est même plutôt très bonne.
En luminosité correcte, les images produites par le module principal sont plus qu’honorables. Certes, les couleurs sont un peu boostées pour rendre le résultat plus flatteur à l’œil.
Même chose en ultra grand-angle, avec toutefois un prévisible manque de piqué sur les bords de la scène. Rien de bien dramatique puisqu’il faut examiner l’image en zoomant à 100 % afin de le constater.
L’absence de zoom optique impose le passage par son équivalent numérique. Le résultat s’avère très correct en 2x et plus qu’honorable en 4x si l’on ne zoome pas trop sur l’image.
Avec un peu d’indulgence, on pourra accepter le rendu en zoom 10x, valeur maximale proposée par l’appareil photo.
En basse luminosité ou en prise de vue nocturne, l’ultra grand-angle et le module principal produisent des images exploitables, même si l’on constate la présence de bruit numérique sur les à-plats de couleurs.
Là aussi, rien de vraiment dramatique tant que l’on ne zoome pas trop sur l’image. Sans surprise, ces défauts sont amplifiés par le zoom numérique, les images restant tout de même acceptables.
La réalisation de portraits tire parti de la génération d’un flou d’arrière-plan artificiel. À ce petit jeu, l’IA s’en sort souvent correctement, mais se laisse parfois piéger par les scènes un tant soit peu complexes.
On apprécie grandement de pouvoir créer des selfies avec la caméra dorsale grâce à l’écran externe sans avoir à ouvrir le smartphone. Il peut aussi être activé lorsque l’écran est déplié, ce qu’apprécieront les sujets dont on réalise le portrait !
Dans tous les cas, nous avons été bluffés par la précision de l’autofocus et nous n’avons jamais raté une image par sa faute. Bon point aussi pour la bonne gestion des plages dynamiques étendues, le mode HDR étant ici pertinemment implémenté.
Enfin, la captation vidéo peut se faire en 4K 60 im/s maxi. Les séquences enregistrées sont agréables et bénéficient d’une stabilisation honorable. Citons la présence d’une fonction « super-ralenti » efficace et d’un mode « vue du réalisateur » permettant d’incruster en temps réel dans l’image principale ce que filme la caméra frontale. Les créateurs de reels destinés aux réseaux sociaux apprécieront…
Samsung Galaxy Z Flip 4 : l'avis de Clubic
Compact lorsqu’il est plié, le Galaxy Z Flip 4 n’a rien à envier aux smartphones premium lorsqu’il est déployé. Identique sur bon nombre de points à son prédécesseur, il dispose d’une bien meilleure autonomie électrique et d’une caméra dorsale un peu améliorée.
Bon point pour l’écran externe que nous jugeons très pratique lorsque le smartphone est replié. Nous apprécions aussi la puissance globale de traitement disponible, même si elle est parfois bridée afin de ne pas trop faire chauffer le smartphone. Toutefois, nous regrettons vivement la non-fourniture d’un chargeur avec le smartphone, surtout à ce niveau de prix.
- Qualité de construction
- Design
- Écran pliable de bonne qualité
- Écran externe pratique
- Performances globales
- Autonomie améliorée
- Charge "ultra-rapide" pas si rapide
- Pas de chargeur fourni