Nous avions brièvement pris en main la version chinoise du Magic 7 Pro d'Honor et il nous avait impressionnés.
Maintenant qu'il est disponible en Europe, nous avons passé plus d'un mois avec le nouveau flagship de la marque. Tient-il les promesses de son cousin asiatique ? Vous le saurez en lisant ce test !
- Excellent écran
- Très bonnes performances
- IA très prometteuse
- Qualité photo
- Rapidité de charge
- Pas de chargeur fourni
- Prix élevé
Design et ergonomie
Chez Honor, on ne change pas une recette qui fonctionne : on l’améliore un peu. C’est en tout cas notre première pensée lors de la prise en main du Magic 7 Pro, dont les dimensions et le design sont très proches de ceux du Magic 6 Pro.
On retrouve donc en face avant un écran de 6,8 pouces perforé en sa partie supérieure d’une gélule accueillant les deux modules de la caméra frontale. Ils assurent entre autres une reconnaissance faciale efficace et rapide. Le lecteur d’empreintes ultrasonique prend place sous la dalle et s’avère d’une grande fiabilité.
La construction en sandwich - deux feuilles de verre enserrant un châssis métallique - reste toujours d’actualité et l’on retrouve les traditionnelles touches mécaniques sur le flanc droit. Rien de nouveau non plus en matière de connecteurs, puisqu’on retrouve un port USB-C ainsi qu’un antique émetteur/récepteur infrarouge (aucune application préchargée ne l’utilise).
La caméra dorsale est toujours aussi imposante. Elle prend place dans une excroissance circulaire rappelant la forme d’un objectif photographique. Elle héberge toujours trois modules, quasiment identiques à ceux du Magic 6 Pro. Honor a choisi de donner à ses modules techniques (autofocus laser et ToF) l’apparence d’un quatrième objectif. Sûrement pour rendre l’ensemble plus harmonieux.
Le Magic 7 Pro est certifié IP68/IP69, c’est-à-dire qu’il résistera à l’immersion pendant une trentaine de minutes, mais aussi à un jet d’eau sous pression. L’écran est quant à lui protégé par une feuille de verre « Honor NanoCrystal Shield » annoncé comme très résistant.
S’il ne révolutionne pas le genre, le Magic 7 Pro reste un produit agréable à prendre en main et à utiliser au quotidien. On aimerait quand même qu’Honor fasse preuve d’un peu plus d’audace en matière de design plutôt que de se reposer sur ses acquis.
Un écran plus que réussi
L’écran est construit autour d’une dalle OLED LPTO affichant affichant 1280 x 2800 pixels (densité de 453 ppp). Comme tout modèle haut de gamme, il dispose d’un taux de rafraîchissement variable 1-120 Hz et offre une excellente luminosité de 1600 nits maxi (5000 nits en pic HDR).
Les certifications HDR10+ et Dolby Vision sont bien entendu de la fête, ainsi qu’une flopée de technologies destinées à réduire la fatigue oculaire. Citons pour l’exemple AI Defocus afin de réduire la myopie transitoire, AI Circadian Night Display adaptant l’affichage nocturne ou encore une polarisation circulaire rendant l’image plus naturelle.
Tout cela produit une image d’excellente qualité en toutes circonstances. La colorimétrie est d’une remarquable fidélité pour peu que l’on choisisse le préréglage « couleurs normales » plutôt que « couleurs vives », qui booste les teintes afin de les rendre plus flatteuses à l’œil.
Il ne manque plus qu'à caser les caméras frontales sous la dalle afin de supprimer la perforation toujours nécessaire. Certes, Samsung et quelques autres (Nubia, notamment) s’y sont mis, mais la qualité de l’image capturée s’en ressent trop pour l’instant. Patience…
Puissance, charge et autonomie : tout va bien !
Une puissance de calcul impressionnante
Le Magic 7 Pro utilise le Snapdragon 8 Elite, soit le SoC de Qualcomm le plus puissant actuellement disponible. Il est épaulé par 12 Go de mémoire vive et embarque 512 Go de mémoire de stockage (non extensible). L’affichage est géré par le sous-système vidéo Adreno 830 intégré au SoC.
Le Magic 7 Pro obtient la bagatelle de 2 767 866 points au test Antutu qui évalue la puissance globale de l’appareil. 3DMark Wild Life Extreme, qui évalue les capacités de la puce d’affichage, lui octroie 6 532 points tandis que Geekbench crédite le processeur principal de 8 395 points en multicoques (2 981 en monocœur).
En clair, cela veut dire que le Magic 7 Pro est une véritable bête de course. Mieux encore : il pique à l’OPPO Find X8 Pro le titre du smartphone le plus puissant passé entre nos mains. Rien que ça. On peut donc lui confier les tâches les plus exigeantes ou s’amuser avec les jeux 3D dernier cri sans l’ombre d’un problème. Genshin Impact, qui commence certes à vieillir, mais qui reste toujours aussi friand en puissance d’affichage, s’exécute sans accroc en qualité maximale et au framerate maxi.
Nous avons toutefois remarqué que l’appareil chauffait dans certains cas, notamment après de longues sessions de jeu 3D. L’impact de cette surchauffe est toutefois limité, puisqu’après deux heures d’utilisation intensive, le throttling (diminution de la cadence du SoC afin de le protéger le SoC d’une montée en chaleur) reste maîtrisé puisque la baisse de fréquence se limite à 15 %.
Performances énergétiques
Autonomie
Lors de notre prise en main du modèle chinois, nous avions été impressionnés par la capacité de 5810 mAh de la batterie Silicium-Carbone. Quelle ne fut pas notre déception de constater que celle équipant le modèle vendu en Occident plafonnait à 5 270 mAh !
Interrogé sur cette différence, Honor France nous a expliqué que les batteries de plus de 5 500 mAh nécessitaient un traitement spécifique afin d’être exportées en Europe. Manifestement, Honor n’a pas souhaité l’appliquer à ses produits, chose qu’a pourtant faite la concurrence : les OnePlus 13 et 13R sont ainsi équipés d’une batterie de 6 000 mAh.
En insistant un peu, il nous a été confié que la raison principale était de diminuer le coût de revient du smartphone. Une façon comme une autre de maximiser le bénéfice fait sur le dos des consommateurs européens. Rappelons que le Magic 7 Pro en version 12 Go + 256 Go est disponible en Chine pour 770 euros HT avec la batterie 5810 mAh…
Très bien, mais cela donne quoi en matière d’autonomie ? Elle reste correcte, voire très bonne. En utilisation normale, celle où l’on n’abuse pas des jeux, du streaming et de la captation photo/vidéo, nous avons atteint deux jours complets.
Nous avions pris le soin de sélectionner la résolution d’affichage intelligente, qui utilise le plus souvent les résolutions « basse » (2100 x 960 pixels) et « standard » (2450 x 1120 pixels) plutôt que « élevée » (2800 x 1280 pixels). Autre petit truc qui économise l’énergie, la désactivation de l’affichage « Always on » choisit par défaut.
En mode geek, où l’on utilise l’appareil pour jouer plus de deux heures, streamer des vidéos, prendre une cinquantaine de photos et discuter en ligne, on dépasse tout juste une journée complète. Là aussi, ce résultat est plus qu’honorable pour un tel produit… mais on n’aurait pas dit non à une batterie plus puissante !
Charge rapide, mais chère
Honor ne fournit plus de chargeur avec son smartphone haut de gamme et c’est bien dommage. Contrairement à une idée répandue par le marketing des constructeurs, la directive européenne régissant cet aspect n’interdit pas de fournir un chargeur avec un smartphone.
Elle précise simplement que le consommateur doit avoir la possibilité de l’acheter sans bloc d’alimentation. Donc, rien n’empêche les constructeurs d’ajouter un bon dans la boîte de l’appareil permettant d’obtenir gratuitement un chargeur, notamment avec un smartphone haut de gamme.
Le Magic 7 Pro est compatible avec la charge rapide 100 Watts à condition d’avoir le bloc d’alimentation qui va bien. Celui-ci coûte tout de même 80 euros en prix public (40 euros s’il est acquis avec le smartphone sur la boutique en ligne Honor). Passer de 1 à 100 % demande alors une trentaine de minutes.
Les inconditionnels de la charge par induction (il y en a) seront heureux d’apprendre qu’avec le chargeur sans-fil d’Honor 80 Watts il suffira d’une quarantaine de minutes pour passer de 1 à 100 %. La petite merveille vaut tout de même 100 euros (50 euros, si acheté avec le smartphone sur la boutique en ligne du constructeur)…
L'IA, de plus en plus présente dans MagicOS
Le Magic 7 Pro embarque Android 15 et la version 9.0 de MagicOS, la surcouche maison remplaçant l’interface standard de l’OS de Google. Avant d’aller plus loin, précisons que le constructeur garantit la fourniture de 5 ans de mises à jour Android et 6 ans de patches de sécurité.
Magic Portal s’enrichit de nouvelles fonctions
MagicOS 9.0 fait la part belle à Magic AI , son intelligence artificielle. Apparue courant 2024 en réaction au Galaxy AI de Samsung (Honor, comme tous ses concurrents, a été pris de court par l’annonce du coréen), elle a comme objectif d’aller au-devant des désirs de l’utilisateur.
Son interface principale est Magic Portal, sorte de halo lumineux se transformant en barre applicative lorsqu’on sélectionne un élément à l’écran (texte, image, page Web, etc.). Celle-ci propose une liste d’applications pouvant traiter la sélection : pour en choisir une, il suffit de le faire glisser sur l’icône correspondante (envoi d’une image vers l’application de messagerie, vers une story Instagram, etc.).
Parmi les propositions, « Espace favoris » nous semble très intéressant. Il s’agit d’une sorte de fourre-tout où l’on peut stocker du texte, des photos ou des pages Web afin d’y revenir plus tard. On peut bien entendu passer par Magic Portal pour y ajouter un élément.
Honor a aussi prévu un geste nettement plus simple pour y stocker du contenu : faire glisser verticalement trois doigts sur l’écran. Un message confirme la bonne réalisation de l’opération. Si l’app n’est pas compatible avec Espace favoris, une capture d’écran sera enregistrée.
Les éléments de l’Espace Favoris peuvent ensuite être transformés en une note que l’on retrouvera dans l’application éponyme concoctée par Honor. Dès lors, il devient possible de la résumer automatiquement à l’aide de l’IA, de changer sa mise en forme, de lui appliquer d’autres modifications ou de la partager.
Une IA parfois trop sensible, mais prometteuse
L’application Notes recèle quelques fonctions intéressantes, comme l’enregistrement audio, puis la transcription automatique, la génération de procès-verbaux ou la traduction en temps réel. Tout serait pour le mieux dans le meilleur des mondes s’il n’y avait pas quelques bugs gênants.
Citons pour l’exemple un affichage erroné du nombre de mots (il s’agit plutôt du nombre de caractères) ou le très énervant message « impossible de générer un compte-rendu, car des informations sensibles ont été détectées dans le texte original ». Il apparaît régulièrement, même si le contenu est aussi anodin qu’un test de produit ou une interview on ne peut plus banale…
Pilotage par le regard
Lors du Mobile World Congress de l’an dernier, Honor avait suscité l’admiration avec sa démonstration technologique de suivi du regard. Il s’agissait alors de piloter une voiture en regardant des zones de l’écran d’un smartphone. Ce n’est certes pas une telle fonction qui est proposée dans MagicOS 9, mais plus modestement une gestion des notifications… et ce n’est déjà pas mal !
Lorsqu’une bannière de notification apparaît à l’écran, il suffit de la regarder pour y faire apparaître un pointeur. En la fixant pendant quelques secondes, elle ouvrira l’application correspondante. Même si le suivi du regard n’en est qu’à ces débuts, il s’avère très spectaculaire. À n’en pas douter, il va offrir à moyen terme de nouvelles façons de piloter son smartphone… entre autres !
On ne peut qu’apprécier les efforts déployés par Honor afin de proposer une IA efficace et originale, même si quelques petits bugs de jeunesse sont encore présents. Ils devraient disparaître lors de prochaines mises à jour.
Photo & vidéo
La caméra dorsale du Magic 7 Pro se compose de trois modules :
- Principal : capteur 50 Mpxl ; objectif à double ouverture f/1,4 — f/2 ; stabilisation optique
- Ultra grand-angle : capteur 50 Mpxl ; objectif ouvrant à f/2 ; stabilisation numérique
- Téléobjectif : capteur 200 Mpxl, zoom optique 3x périscopique ouvrant à f/2,6 ; stabilisation optique.
Les évolutions matérielles sont mineures par rapport au Magic V6 Pro : seul le téléobjectif périscopique change sensiblement avec un nouveau capteur 200 Mpxl et le passage du zoom optique à 3X (2,5x pour le Magic 6 Pro). Et pourtant, la qualité d’image, déjà excellente, est en hausse.
Honor explique ces améliorations par son investissement dans la photographie computationnelle. Plutôt que de changer le matériel sans arrêt, pourquoi ne pas faire évoluer la façon dont le signal est traité ? Cela revient moins cher à la fabrication, car le coût des composants est déjà amorti tout en limitant la R&D au développement logiciel.
Le constructeur a donc carburé sec afin d’essorer au maximum les capacités du matériel existant. Puis il a saupoudré le tout d’une grosse couche d’intelligence artificielle toute belle, toute neuve. Baptisée « A I Falcon Camera 3.0 », elle améliore grandement la qualité des images prises avec le téléobjectif. En plein jour, le résultat est nickel en 3x (limite optique du zoom) et tient parfaitement la route jusqu’en 20x, voire 30x.
Au-delà, c’est la fonction « AI Super Zoom » qui prend le relais. On l’active grâce à l’icône apparaissant dans l’interface dans des conditions de prise de vue bien précises (mode photo, bonne luminosité, zoom supérieur à 30x). Honor déconseille d’utiliser AI Super Zoom pour photographier des personnes. Pourquoi ?
Tout simplement parce que la fonction est basée sur une intelligence artificielle générative. Une fois la photo shootée, elle est passée à la moulinette de l’IA dans le Cloud Honor. Celle-ci « devine » les détails de la scène que le matériel n’a pas été capable d’enregistrer. Souvent, ça fonctionne bien… et parfois moins.
Quand ça ne marche pas, l’image ressemble plus à une peinture plus qu’à une photo. Mais la plupart du temps, le résultat s’avère convaincant, car l’IA n’hésite pas à ajouter des détails, quitte à ce qu’ils ne soient pas ceux de la scène réelle. Cela peut passer pour les réseaux sociaux, mais peut-on encore parler de photographie du réel ? On a comme un gros doute. Heureusement, il reste possible de comparer les versions avec et sans traitement IA afin de sélectionner celle qui convient le mieux.
Si l’on fait abstraction de cet étonnant AI Super Zoom, les images produites par le Magic 7 Pro sont conformes à la réalité et s’avèrent de très bonne qualité. La colorimétrie est fidèle, les aberrations chromatiques absentes et le mode nocturne convaincant. Le mode nocturne produit lui aussi de belles images avec le module principal et le téléobjectif. Celles de l’ultra grand-angle sont tout à fait convenables, même si elles sont un cran en dessous en matière de netteté.
La partie portrait, concoctée avec la complicité du Studio Harcourt, produit de très beaux résultats. Le Bokeh est convaincant et il faut souvent examiner l’image de très près pour comprendre que le flou d’arrière-plan a été généré artificiellement.
Bon point aussi pour la prise de vue en rafale qui shoote à la cadence de 10 im/s sur 100 images maxi. On aime aussi la prise de vue par détection de mouvement, particulièrement efficace pour les photos d’action ou pour photographier un enfant en bas âge (les jeunes parents savent).
Honor Magic 7 Pro : l'avis de Clubic
Le Magic 7 Pro est un smartphone haut de gamme dont on apprécie sa qualité de construction et son écran irréprochable. La puissance de calcul procurée par le Snapdragon Elite 8 de Qualcomm en fait une bête de course capable de faire tourner les applications les plus exigeantes. Elles seront d’autant plus à l’aise qu’il dispose de 12 Go de RAM et de 512 Go de stockage.
L’aspect photographique est une véritable réussite. On apprécie le travail effectué par le constructeur sur son téléobjectif périscopique qui produit de belles images. Honor propose une solution originale afin d’améliorer le rendu des images prises entre 30x et 100x. Baptisée AI Super Zoom, elle n’est pas parfaite, mais produit la plupart du temps des résultats convaincants.
La collaboration avec le Studio Harcourt est toujours d’actualité, pour le plus grand bonheur des amateurs de portraits. Bon point également pour le mode rafale 10 im/sec et la possibilité de shooter des photos d’action qualitative.
L’autonomie s’avère très correcte. Elle aurait pu être exceptionnelle si Honor avait équipé le Magic 7 Pro de la même batterie que la version chinoise. Ce n’est pas la première fois que le constructeur se montre chiche à ce niveau pour ses produits vendus hors d’Asie. Même regret pour le chargeur rapide, fourni en Asie, mais pas en Europe. On peut comprendre ce choix pour un produit d’entrée ou milieu de gamme, mais sûrement pas pour un smartphone haut de gamme.
Reste la question du prix, forcément élevé, compte tenu du positionnement de ce smartphone convaincant. Le Magic 7 Pro est vendu en France en une unique configuration 12 Go + 512 Go au prix de 1 299 euros hors promotion, soit au même prix que son prédécesseur au lancement. Le temps adoucira fatalement ce prix élevé, comme il l’a fait avec le Magic 6 Pro dont le tarif a baissé de 30 % au bout d’un an.
- Excellent écran
- Très bonnes performances
- IA très prometteuse
- Qualité photo
- Rapidité de charge
- Pas de chargeur fourni
- Prix élevé
Fiche technique Honor Magic 7 Pro
Taille de l'écran | 6.8 pouces |
Taux de rafraîchissement | 120Hz |
Mémoire interne | 512 Go |
Mémoire vive (RAM) | 12 Go |
Capacité de la batterie | 5270 mAh |
Charge rapide | Oui |
Définition du / des capteur(s) arrière | 50 Mpx, 200 Mpx, 50 Mpx |
Système d'exploitation | Android |
Version du système d'exploitation | 15 |
Surcouche Android | MagicOS 9 |
Assistant vocal | Gemini |
Taille de l'écran | 6.8 pouces |
Type d'écran | LTPO OLED |
Définition de l'écran | 1280 x 2800 pixels |
Taux de rafraîchissement | 120Hz |
Densité de pixels | 453 ppi |
Écran HDR | Oui |
Mémoire interne | 512 Go |
Stockage extensible | Non |
Processeur | Snapdragon 8 Elite |
Finesse de gravure | 3nm |
Nombre de cœurs CPU | Octa-core |
Fréquence CPU | 4.32GHz |
GPU | Adreno 830 |
Mémoire vive (RAM) | 12 Go |
Capacité de la batterie | 5270 mAh |
Batterie amovible | Non |
Recharge sans-fil | Oui |
Charge rapide | Oui |
Puissance de la charge rapide | 100W |
Nombre de caméras (avant & arrière) | 4 |
Définition du / des capteur(s) arrière | 50 Mpx, 200 Mpx, 50 Mpx |
Définition du / des capteur(s) avant | 50 Mpx |
Enregistrement vidéo | 4K@24/30/60fps, 1080p@24/30/60/120/240fps |
Stabilisateur caméra | Optique et Numérique |
Flash arrière | LED |
Flash Frontal | Non |
Taille des photosites objectifs arrière | 1.2 µm, 0.61 µm |
Taille des photosites objectifs frontaux | 0.6 µm |
Ouverture objectif photo arrières | f/1.9, f/2.6, f/2.0 |
Ouverture objectif photo frontaux | f/2.0 |
Zoom Optique | 3x |
Carte(s) SIM compatible(s) | Nano-SIM, eSIM |
Compatible double SIM | Oui |
Compatible 5G | Oui |
Compatible VoLTE | Oui |
Wi-Fi | 7 |
Bluetooth | 5.4 |
NFC | Oui |
GPS | Oui |
Infrarouge | Oui |
Satellite | Oui |
Type de connecteur | USB Type-C 3.2 |
Lecteur biométrique à empreinte digitale | Oui |
Capteur de reconnaissance faciale | Reconnaissance faciale 3D |
Acceleromètre | Oui |
Gyroscope | Oui |
Capteur de lumière ambiante | Oui |
Prise Jack | Non |
Nombre de haut-parleurs | 2 |
Hauteur | 162.7mm |
Largeur | 77.1mm |
Epaisseur | 8.8mm |
Poids | 223g |
Certification IP | IP68/IP69 |
Indice de réparabilité | 8.1 |
DAS tête | 0,85 W/kg |
DAS tronc | 1,29 W/kg |
DAS membres | 2,98 W/kg |