Test Galaxy S25 Ultra : Samsung tient les promesses d’Apple !

Comme chaque début d’année, Samsung renouvelle les Galaxy S, dont le S25 Ultra est le porte-étendard technologique. Côté matériel, il s’agit d’une simple mise à jour de composants sans véritable surprise. Mais côté logiciel, ce n’est pas la même chose puisque Samsung fait évoluer OneUI 7.0 et Galaxy AI d’une façon spectaculaire.

À tel point qu’il nous a semblé évident de s’attarder bien plus que d’habitude sur les nouvelles capacités de Galaxy AI. Samsung aurait-il tout compris en matière de smartphone en proposant un véritable assistant ? Mieux : on pense même que le coréen surpasse largement Apple en rendant réelles les promesses que la Pomme a faites à ses fidèles… et qui attendent toujours !

Galaxy AI : votre nouveau meilleur ami ?

L’aspect logiciel est à notre avis la principale nouveauté du Galaxy S25 Ultra. Certes, la quincaillerie évolue un peu, mais ce n’est pas le plus important. C’est pour cela que nous avons souhaité vous parler en premier de ce qui fait le réel intérêt du Galaxy S25 Ultra : le couple formé par OneUI 7.0 et Galaxy AI.

Le S24 Ultra innovait avec l’ajout de Galaxy AI, l’intelligence artificielle de Samsung, dans la surcouche maison. Nous vous avions dit l’an dernier tout le bien que nous pensions de cette initiative, même si certaines fonctions restaient à notre avis améliorables.

Samsung a manifestement écouté l’avis des utilisateurs et en a tenu compte. Le principal reproche fait à Galaxy AI était son maniement peu intuitif : parfois, il fallait chercher un bout de temps pour trouver comment invoquer une fonction.

Ce n’est plus le cas avec l’IA équipant les Galaxy S24 : il suffit de presser la touche latérale afin d’invoquer l’assistant IA et de lui formuler votre requête. Elle sera traitée localement par Bixby, qui passera le relais à Gemini si elle ne concerne pas que les données locales. Celui-ci accédera alors au net afin de satisfaire votre demande.

Comme Apple Intelligence, mais qui fonctionne

Ce principe de fonctionnement vous rappelle quelque chose ? À nous aussi, puisque c’est la promesse faite par Apple Intelligence. L’IA de la Pomme devrait s’appuyer sur Siri, Chat GPT intervenant en seconde instance. Sauf qu’avec Samsung, pas besoin d’employer le conditionnel : ça fonctionne dès aujourd’hui. Et même très bien.

On peut, par exemple, demander à l’IA de trouver les cinq prochains matches de son équipe préférée et de les inscrire dans l’agenda, avec un rappel. Comme ça, impossible de marquer la retransmission. Ou alors de créer une note comportant les 15 films ayant fait le plus d’entrées sur les trois dernières années.

L’assistant est aussi capable de répondre à des questions nettement plus terre-à-terre. Vous ne trouvez pas un réglage du smartphone ? Demandez-le à l’assistant et il vous l’affichera. Pas mal, non ?

Galaxy AI facilite aussi l’organisation de soirées entre amis : demandez-lui de vous indiquer un restaurant italien se situant dans un rayon de 5 km et proposant des plats végétariens. Puis d’envoyer un SMS à vos amis afin de leur communiquer l’adresse et la date du dîner.

Actions interapplications

L’exécution de ce type de demandes est rendue possible par ce que Samsung appelle les « cross app actions », soit les actions interapplications. L’IA détermine les services dont elle va avoir besoin afin d’exécuter la requête, puis enchaîne les actions.

Actuellement toutes les applications de Samsung, celles de Google ainsi que WhatsApp et Spotify peuvent être sollicitées afin de réaliser ces requêtes. Samsung et Google mettent à disposition des développeurs une API ouverte permettant à leurs applications d’être prises en charge par Galaxy AI.

L’assistant personnel ne se limite pas à cela. Il peut aussi afficher des informations tout au long de la journée afin de vous assister efficacement. Baptisé « Now Brief », il prend la forme d’une capsule s’affichant en bas de l’écran de verrouillage.

Le matin, par exemple, vous aurez le droit à la météo, une liste de vos rendez-vous ou des échéances, de votre liste de choses à faire. Une playlist audio, générée à partir de vos goûts musicaux sur Spotify, vous sera aussi proposée afin de bien démarrer la journée. Les premiers jours, Now Brief n’est pas très bavard et propose un service minimum. Au fil des jours, l’IA apprend à vous connaître et vous donnera de plus en plus d’informations pertinentes.

Briefing quotidien

Now Brief se manifestera aussi tout au long de la journée : vous avez un rendez-vous à venir ? Il vous préviendra lorsqu’il faudra prendre la route. Vous arrivez à la salle de sport ? Une playlist tonique sera suggérée. Vous pourrez même définir des routines afin de gérer votre domicile. Pas besoin que tous les produits domotiques soient d’origine Samsung : il suffit qu’ils comprennent le protocole de communication Thread pour être pilotés.

Nous devons avouer que nous sommes épatés par l’efficacité de l’assistant Galaxy AI, qui vise juste la plupart du temps. Bien sûr, tout n’est pas parfait et il lui arrive de commettre quelques erreurs. Mais rien de bien dramatique !

Extension du domaine de l'IA

Les fonctions déjà présentes dans Galaxy AI, notamment en matière de génération de texte, d’images et de retouche photo, restent disponibles. Mieux : elles s’améliorent et deviennent plus simples d’accès. Tout texte sélectionné à l’écran peut être traduit, résumé ou reformaté dans la foulée. Cela permet de récupérer des informations sur une page web et de la retravailler selon ses désirs.

L’assistant d’écriture est désormais disponible depuis quasiment toutes les apps textuelles, y compris depuis WhatsApp, ce qui devrait permettre à certains utilisateurs de s’affranchir des fautes de grammaire et d’orthographe.

La barre latérale est intelligemment exploitée. Elle donne ainsi accès aux principaux outils de création générative, parmi lesquels « Outils de créations ». Celui-ci peut générer des images à partir d’un croquis, d’un prompt ou d’une photo de la galerie, ou même la compléter selon vos désirs.

La gomme magique, présente dans les outils d’édition d’image de la galerie, a été perfectionnée. Elle sait désormais sélectionner plus précisément des objets et crée un fond encore plus cohérent lors de l’effacement d’un objet.

Quelques soucis mineurs

Étonnamment, les autres fonctions de retouches faisant appel à l’IA ne sont pas disponibles depuis le menu d’édition. Pour accéder à la remastérisation, à l’effacement des reflets ou aux effets d’animation en arrière-plan, il faut passer par l’item « détails » du menu de la galerie.

Espérons que Samsung corrigera enfin cette incohérence, présente depuis quelques années, et ajoutera ces fonctions au menu consacré aux outils IA de la galerie.

Vous l’aurez compris, nous sommes enthousiasmés par nouvelles capacités de Galaxy AI, et notamment par son assistant personnel. Il est désormais capable de solliciter plusieurs applications afin d’exécuter une requête. L’IA devient enfin utile et utilisable par tout le monde, sans connaissance technique particulière : vous demandez, il exécute.

Mieux encore : Samsung tient la promesse faite par Apple avec Apple Intelligence. Mais ici, tout est disponible immédiatement et fonctionne de façon satisfaisante. Sans pépin…

On a demandé à Samsung si ces améliorations seront aussi proposées aux possesseurs des produits de la génération précédente (S24, Flip et Fold). À ce jour, nous n’avons pas eu de réponse officielle.

Design & ergonomie : arrondir les angles

Le design et l’ergonomie du Galaxy S25 Ultra évoluent peu par rapport à son prédécesseur. Les angles sont un peu plus arrondis afin de créer un air de famille avec les S25 et S25+, tandis que les flancs s’aplatissent. L'appareil est un poil plus compact que le S24 Ultra (162,8 × 77,6 × 8,2 mm contre 162,3 × 79 × 8,6 mm) sans que cela soit véritablement visible à l’œil nu. Avec un poids de 218 g, il perd 15 g sur la balance. Là aussi cela ne se ressent pas vraiment, mais on apprécie l’effort.

Malgré cette réduction de volume, Samsung réussit à caser un écran plus grand. Pas de quoi se relever la nuit puisqu’il mesure 6,9 ’’ de diagonale, soit 0,1 ’’ (2,54 mm) en plus. Petit à petit, le constructeur réduit les bordures noires qui entourent la dalle. À ce rythme, elles vont bientôt disparaître sans recourir à une astuce de type waterfall.

Pour le reste, aucun changement notoire. Les touches mécaniques prennent place sur le flanc droit, le tiroir pour cartes SIM et le port USB-C sur la face inférieure. Ils sont toujours accompagnés d’un logement pour le stylet S-Pen, l’un des principaux points distinctifs de la famille Ultra.

© Marc Mitrani pour Clubic

Celui-ci ressemble comme un frère à celui équipant le S24 Ultra, tout en accusant une grosse différence : la connexion Bluetooth, qui autorisait Air Action (déclenchement photographique à distance, notamment) disparaît. Afin de bien marquer cette différence, les S Pen des deux générations ne sont pas compatibles, l’emplacement du nouveau modèle n’accueillant pas l’ancien.

Enfin, pas de changement notoire sur la face arrière, toujours aussi épurée. On remarque toutefois que Samsung a pris le soin de décaler les objectifs de quelques pouillèmes de millimètre afin de rendre impossible l’utilisation d’accessoires du S24 Ultra.

Écran : toujours aussi bon

On ne va pas en faire des tonnes sur l’écran du S25 Ultra, vu qu’il est techniquement identique à celui de son prédécesseur… à un détail près.

Donc : l’affichage du S25 Ultra est assuré par une dalle Dynamic LPTO AMOLED 2X de 6,9 ’’ affichant 1440 × 3120 pixels (elle mesurait 6,8’’ sur le S24 Ultra, c’est le détail dont on parlait). Il est conforme HDR10+ et offre une luminosité maxi de 2600 nits en pic HDR. LPTO oblige, il dispose d’une fréquence de rafraîchissement variant entre 1 et 120 Hz.

Comme nous l’avions déjà constaté pour le S24 Ultra, l’écran est une petite merveille de précision et de fidélité colorimétrique. On prendra soin de choisir le mode d’affichage « Naturel » dans les paramètres, plutôt que de rester sur le réglage par défaut « Vif » qui booste un peu trop les couleurs.

Par défaut, le S24 Ultra affiche les images en FHD+ (2340 × 1080 pixels) afin de réduire la consommation électrique. On pourra choisir la définition nominale QHD+ (3120 × 1440 pixels). Dans certains cas (jeux, par exemple), cela améliorera l’image tout en vidant plus rapidement la batterie.

Si l’autonomie est votre préoccupation première, passe en mode HD+ (1560 x 720 pixels), nettement moins consommatrice d’énergie. En usage quotidien, cette définition passe sans aucun problème, puisqu’il faut avoir le nez collé à l’écran pour percevoir une différence.

Comme l’an dernier, force est de constater que Samsung propose ici un écran irréprochable dont l’image s’avère assez lumineuse pour rester lisible, même en plein soleil.

Performances & autonomie

Les performances sont excellentes

Le Galaxy S25 Ultra embarque le SoC Snapdragon 8 Elite de Qualcomm et 12 Go de RAM LPDDR5X. Selon les modèles, le stockage interne non extensible est composé de 256 Go, 512 Go ou 1 To de mémoire Flash UFS 4.0.

Sur le papier, ces spécifications laissent penser que le S25 Ultra est une bête de course. Spoiler : c’est effectivement le cas. Il obtient 2 453 200 points au benchmark Antutu qui évalue sa puissance globale.

Geekbench, qui mesure les performances du CPU, le crédite de 9671 points en fonctionnement multicœurs (3043 points en monocœur.) Enfin 3DMark Mobile, qui mesure ses capacités graphiques, lui octroie 6800 points au test Wild Life Extreme.

Plus que jamais, le Galaxy S25 Ultra peut exécuter les tâches les plus complexes sans aucun problème. Il fait des merveilles sur les jeux vidéo les plus exigeants en ressources. Genshin Impact et PUBG s’exécutent avec fluidité à un niveau de détail maximal. Bluffant.

Lors de nos tests, nous avons noté que le throttling était présent de manière assez régulière…. Et pas qu'un peu puisqu'il peut réduire la fréquence de fonctionnement de 80 % ! Ces chutes sont régulières et durent à peine quelques secondes. Cela ne semble pas avoir d'impact sur les performances globales, y compris lorsqu'on exécute des jeux exigeants comme ceux que nous avons cités.

Autonomie & charge : rien ne change (malheureusement)

Le Galaxy S25 Ultra conserve la batterie de 5000 mAh non amovible de son grand frère. Si cette capacité était au top il y a un an, ce n’est plus le cas : la plupart des flagships de la cuvée 2025 disposent de batterie variant entre 5200 mAh et 6000 mAh. Le S25 Ultra tient-il tout de même la route ?

En utilisation typique, on peut atteindre les deux jours. Dans notre cas, il s’agit de scroller sur les réseaux sociaux et le Web, de dialoguer en SMS ou messageries instantanées et bien sûr de profiter des joies du multimédia dans les transports en commun. Nous sommes bien conscients que notre quotidien est sûrement différent du vôtre : cette évaluation est donc subjective.

Si l’on abuse des bonnes choses de la vie numérique (pendant un jour de vacances ou un week-end pluvieux), on dépasse tout de même la journée avant de devoir passer par la case recharge. Compte tenu de l’équipement du S25 Ultra, ce n’est pas si mal. Samsung indique qu’il travaille plus que jamais la main dans la main avec Qualcomm afin d’optimiser ses drivers et dispositifs énergétiques. Manifestement, c’est une affaire qui roule !

Depuis l’an dernier, la charge rapide de Samsung est passée au 45 watts sur la série Ultra. C’est bien, mais ça pourrait être mieux, la concurrence s’envolant sans ciller vers les 65, 80 ou même 120 watts. Le chargeur n’est pas fourni, mais nous avions toujours en notre possession le bloc d’alimentation Samsung qui-va-bien.

Le passage de 0 à 100 % s’effectue en 62 minutes. C’est correct, sans plus. La charge par induction s’effectue en 15 watts maxi. Enfin la charge inversée, filaire ou par induction, peut s’avérer utile pour transmettre un peu d’énergie à autre smartphone ou a des écouteurs à bout de souffle.

Photographie et vidéo : toujours au top

Photo : l'utra grand-angle fait la différence

Le Galaxy S25 Ultra comporte cinq modules photographiques : un pour la caméra frontale et quatre pour la caméra dorsale.

Camera dorsale :

• Module principal : capteur 200 Mpxl Samsung ISOCELL HP2 (1/1,3'' ; photosite 0,6 μm) ; objectif 23 mm f/1,7 ; OIS ; autofocus Dual Pixel
• Ultra grand-angle : capteur 50 Mpxl (photosite 0,7 μm) ; objectif ouvrant à f/1,9 ; champ couvert 120° ; OIS ; autofocus Dual Pixel
• Téléobjectif 3x : capteur Sony 10 Mpxl (1/3,52" ; photosite 1,12 μm) ; objectif 69 mm f/2,4 ; OIS ; autofocus Dual Pixel
• Téléobjectif 5x périscopique : capteur 50 Mpxl Sony IMX 875 (1/2,52" ; photosite 0,7 μm) ; objectif 115 mm f/3,4

Caméra frontale :

• capteur 12 Mpxl (1/2, 82″ ; photosite 0,7 μm) ; objectif 26 mm f/2,2 ; autofocus Dual Pixel

Samsung ne s’est pas vraiment cassé la tête pour la caméra dorsale du S25 Ultra, identique à celle de son prédécesseur. Seule exception notable, le passage du capteur de l’ultra-grand-angle à 50 Mpxl, assorti d’un objectif plus lumineux.

En plein jour, les images produites sont excellentes jusqu’en 5x et restent de très bonne tenue à 10x. On peut aller jusqu’à 30x sans trop de problèmes, valeur à partir de laquelle l’IA commence à peiner sur les détails. On évitera de s’aventurer entre 50x et 100x (valeur maximale du zoom numérique) où la perte de détail devient difficilement acceptable.

En faible éclairage, on peut utiliser le zoom sans problème majeur jusqu’en 5x. Entre 5x et 10x, le résultat est exploitable, mais souffre d’une perte de détail. On évitera de s’aventurer au-delà, ce qui n’est de toute façon pas permis en mode nuit.

Le changement de capteur et l’objectif plus lumineux ont-ils une véritable influence sur l’ultra-grand-angle ? Pas tant que cela : les photos sont très bonnes en plein jour, mais restent tout à fait acceptables si la luminosité ! ère baisse. Dans ce cas, on préférera le mode nocturne, dont l’IA est plutôt bien entrainée.

Comme nous l’avions constaté avec le S24 Ultra, le mode portrait fournit d’excellentes images. Le flou d’arrière-plan artificiel est en général excellent. Bien sûr, il reste possible de piéger l’IA sur les scènes complexes, même si le S25 Ultra se sort mieux que prévu de notre test « la porte Lescot » qui piège généralement les IA.

Vidéo : du LOG pour les pros

La principale évolution de la partie vidéo est la possibilité de capter des séquences au format LOG, qui est à l’image animée ce que le RAW est à la photographie. Cela n’intéressera que les vidéastes chevronnés qui pourront ainsi calibrer leurs couleurs comme ils le souhaitent en post-production.

Autre nouveauté amusante, la Gomme audio permet d’effacer une catégorie de bruits d’un enregistrement (bruits de la circulation, vent, etc.) L’opération s’effectue après la captation, ce qui permet de gommer des sons indésirables de clips réalisés avec une autre caméra. La gomme audio fonctionne parfois correctement, parfois pas (notamment si l’environnement est trop bruyant).

On regardera avec attention l’évolution de cette nouvelle possibilité, dont on aimerait qu’elle s’applique aussi aux images animées. Après tout, le Snapdragon 8 Elite est capable de le faire, Qualcomm en ayant fait la démonstration lors de son annonce.

Pour le reste, le Galaxy S25 Ultra reprend à l’identique les capacités de son prédécesseur. Il sait donc capter des séquences en Ultra HD en 120 im/s en mode vidéo Pro. L’activation du HDR10+ permet de remettre un peu de détail sur les zones sombres d’une scène.

On apprécie toujours autant l’efficacité de la stabilisation ainsi que la qualité du mode ralenti. Celui-ci autorise l’enregistrement en 4K 120 im/s ou Full HD 240 im/s à condition que la scène soit correctement éclairée.

La captation audio est toujours aussi bonne. Si l’on possède des Galaxy Buds 2 Pro ou des 3 Pro, il est possible de se servir de leurs micros afin de capturer un son audio 360° en les portant pendant l’enregistrement.

Le Galaxy S25 Ultra ne démérite ni en photo ni en vidéo. L’évolution du module ultra grand-angle est bienvenue, tout comme la possibilité d’enregistrer des vidéos en format LOG. On regrette tout de même la disparition de la connexion Bluetooth du S-Pen qui le transformait en déclencheur à distance.

Samsung Galaxy S25 Ultra : l'avis de Clubic