Le projet a été applaudi par certains industriels qui pourraient ainsi protéger et déposer des systèmes utilisant des programmes informatiques et des programmes en tant que tels. Voilà qui fait froid dans le dos ... En effet, les brevets logiciels pourraient permettre d'autoriser d'éventuelles revendications sur les programmes informatiques et donc justifier des attaques en justice de n'importe quel auteur, utilisateur, distributeur de logiciels qui emploierait une quelconque fonctionalité/technologie/principe informatique brevetés (par exemple, outre-atlantique, on a déjà entendu parler de brevets sur le caddie électronique, une véritable aberration !).
Rendez-vous donc le 6 juillet, pour un éventuel « ultime tournant » dans ce projet très contesté.