Leur objectif consiste à « renforcer les fonds propres des éditeurs pour soutenir leur croissance », le FSI intervenant « en investisseur avisé dans des entreprises françaises porteuses de projets industriels créateurs de valeur et de compétitivité. » Dans ce cadre, Afdel et FSI vont : déterminer les enjeux du secteur, promouvoir les orientations prises par le FSI à l'égard de l'industrie du logiciel et faciliter le mise en relation entre les entreprises et le Fonds. Par ailleurs, l'Association pourra proposer son expertise au Fonds appelé à juger de la pertinence de projets technologiques qui lui sont soumis.
« Ce partenariat répond à l'une des problématiques les plus critiques de notre industrie : le financement de la croissance, dans un contexte de très forte concentration », a déclaré mercredi dans un communiqué Patrick Bertrand, président de l'Afdel et directeur général de Cegid, éditeur français de logiciels de gestion. Avant d'ajouter : « effort de R&D, accès au marché, développement à l'international, croissance externe : toutes les étapes de la vie d'un éditeur de logiciel sont en effet directement conditionnées par sa capacité de financement. »