Tout commence par une séance de dédicaces prévue par le chanteur Justin Bieber, nouvelle coqueluche des jeunes Américaines, dans un centre commercial de l'état de New York. Mais, quand plusieurs milliers de jeunes filles débarquent, l'événement est annulé, la police craignant pour la sécurité de ces demoiselles. Les autorités demandent donc à un dirigeant de Island Def Jam Records, la maison de disques de Justin Bieber, d'utiliser Twitter pour annoncer l'annulation de la séance de dédicaces.
Selon le quotidien local Newsday, le dirigeant en question n'aurait cependant pas suivi la recommandation de la police, ce qui lui aurait valu son arrestation pour plusieurs motifs, dont la nuisance, la mise en danger de mineurs, et l'obstruction à un organe de l'administration de l'état. « Nous avons demandé son aide pour faire partir la foule à l'aide d'un message Twitter. Mais comme il n'a pas coopéré avec nous, nous avons le sentiment qu'il a mis des vies en danger », a expliqué un porte-parole de la police.