La rumeur a entrainé une forte pression sur le titre de Atos Origin, qui a gagné plus de 22% dans la matinée de jeudi, pour se stabiliser aux alentours de 48 euros, obligeant la société à demander la suspension de la cotation.
Après avoir flirté avec les 200 euros pendant la bulle spéculative en 2000, le cours d'Atos Origin était retombé à environ 22 euros au cours de l'hiver 2002/2003 pour remonter au-delà de 60 euros en 2004 et 2005 et retomber une nouvelle fois, sous les 34 euros, au cours de l'année 2006.